Chère Audrey
2021 | 90 min
Documentaire
Anglais avec sous-titres français
Prix et festivals
Meilleur film documentairePrix Iris - Québec Cinéma, Canada (2023)
Meilleur montage - Film documentaire Prix Iris - Québec Cinéma, Canada (2023)
Grand prix du documentaireRising Sun International Film Festival, Japan (2022)
Meilleur montageBrussels World Film Festival, Belgium (2022)
Gagnant du meilleur long métrage documentaireIndy Film Festival, Indianapolis, É.-U.A. (2022)
Prix philanthropique Dr. Sydney K. Shapiro Phoenix Film Festival, Arizona, É.-U.A. (2022)
Cercle d’or Meilleur documentaire Festival cinéma du monde de Sherbrooke, Sherbrooke, Canada (2022)
Gagnant d'argent - Meilleur long métrage documentaireTokyo Film Awards, Tokyo, Japon (2022)
Meilleur montage pour un documentaireMadrid International Film Festival, Madrid, Espagne (2022)
Prix d'excellence en montageDocs Without Borders Film Festival (2022)
Prix du publicRIDM (Rencontres internationales du documentaire de Montréal), Canada (2021)
Nomination - Meilleures images dans un long métrage documentaireCanadian Screen Awards, Toronto, Canada (2023)
Nomination - Meilleur montage dans un long métrage documentaireCanadian Screen Awards, Toronto, Canada (2023)
Nomination - Meilleure musique originale dans un long métrage documentaireCanadian Screen Awards, Toronto, Canada (2023)
Nomination - Meilleur documentaire canadienVancouver Film Critics Circle, Canada (2023)
Nomination - Meilleure musique originale pour un long métrage documentaireCanadian Screen Music Awards, Canada (2022)
Cinéaste militant de renom, Martin Duckworth a consacré son existence à la paix et à la justice. Mais il a maintenant remisé sa caméra pour servir la cause la plus importante de toute sa vie : il prend soin de sa femme qui traverse les derniers stades de la maladie d’Alzheimer, et son amour pour elle grandit alors qu’il porte un regard rétrospectif sur une vie et une carrière formidables.
Bande-annonce
Synopsis
Cinéaste militant de renom, Martin Duckworth a consacré son existence à la paix et à la justice. Mais il a maintenant remisé sa caméra pour servir la cause la plus importante de toute sa vie : prendre soin de sa femme, Audrey Schirmer, qui traverse les derniers stades de la maladie d’Alzheimer. Acceptant courageusement chaque nouvelle étape avec délicatesse et résilience, Martin témoigne d’une loyauté inconditionnelle, car il trouve chaque jour de nouvelles raisons de l’aimer.
À l’aide d’extraits des films de Martin et de photographies saisissantes de sa femme, Chère Audrey brosse un portrait complexe de la réalité crue, mais non moins tendre du couple et nous rappelle ses aventures, depuis sa présence en première ligne dans les manifestations contre la guerre du Vietnam jusqu’au mouvement de contre-culture hippie.
Le film témoigne de façon poignante de l’amour et du dévouement de Martin, qui s’intensifient au fil des décennies.
Tandis qu’Audrey dépérit graduellement — et que Jacqueline, la fille autiste du couple, a du mal à composer avec la maladie de sa mère —, Martin se dévoue corps et âme pour apporter à leur vie une part de sens et de créativité.
À propos de Martin et Audrey
Martin Duckworth
Martin Duckworth est un documentariste et directeur photo canadien de renom. Ayant grandi pendant la Grande Dépression, il a amorcé sa carrière cinématographique à 30 ans, au plus fort de la révolution hippie des années 1960. Ses films, primés, témoignent de son sens artistique et de sa conscience sociale. Il a voyagé à travers le monde, réalisé 30 films et assuré la direction photo ou la prise de vues d’une centaine d’autres. C’est ainsi qu’il a vu les horreurs de la guerre au Vietnam, au Cambodge, au Japon et en Afghanistan. En 2015, il a reçu l’une des plus grandes distinctions au Québec, le prix Albert-Tessier, qui souligne un apport exceptionnel dans le domaine du cinéma.
Martin a notamment réalisé 12,000 Men (prix Golden Sheaf, Yorkton, 1978), Retour à Dresden (prix Golden Sheaf, 1986), Une histoire de femmes (Prix de l’Association québécoise des critiques de cinéma, 1980), Plus jamais d’Hiroshima (prix Génie, 1984), Nos derniers jours à Moscou (Meilleure réalisation, FIFA, 1987), Oliver Jones in Africa (Golden Dukat, Mannheim, 1990) et A Brush with Life (Meilleur film, Hot Docs, 1994). À titre de directeur photo, il apparaît au générique des films Christopher’s Movie Matinee (Mort Ransen, 1968), Le jaune en péril (Michael Rubbo, 1970), Le bonhomme (Pierre Maheu, 1972), Richesse des autres (Maurice Bulbulian, 1973), Falasha: Exile of the Black Jews (Simcha Jacobovici, 1983), La bombe en bonus (Claire Nadon et Audrey Schirmer, 1986), Entre deux mondes (Barry Greenwald, 1990), Seeing Red (Julia Reichert et Jim Klein, 1993), Maureen Forrester: The Diva in Winter (Donald Winkler, 1999), Return to Kandahar (Paul Jay et Nelofer Pazira, 2003), Professeur Norman Cornett (Alanis Obomsawin, 2009), Ma vie réelle (Magnus Isacsson et Franck Le Coroller, 2012) et Granny Power (Jocelyn Clarke et Magnus Isacsson, 2014). Martin a aussi assuré la prise de vues de films tournés par des cinéastes comme Gilles Groulx, Donald Shebib et Peter Watkins.
Il est un descendant de Nicholas Austin, fondateur d’Austin au Québec et l’un des premiers quakers de la province. Il a grandi dans le quartier Notre-Dame-de-Grâce (NDG), à Montréal. Il a fréquenté l’école secondaire à Halifax, en Nouvelle-Écosse, l’Université Yale et l’Université de Toronto. Il possède un baccalauréat et une maîtrise en histoire. Son père, Jack Duckworth, a été secrétaire général du YMCA de NDG et de Halifax. Sa mère, la Canadienne Muriel Duckworth, était une pacifiste et militante bien connue. Martin a épousé Audrey Schirmer, photographe et militante sociale, qui a collaboré avec lui à un certain nombre de projets. Ils ont eu trois enfants : Nicholas, Jacqueline et Danielle. Martin est également père de jumelles qu’il a eues d’un premier mariage, Marya et Sylvia, et de deux autres filles, Natascha et Anana, qu’il a eues d’un deuxième. Il est toujours un ardent défenseur de la paix mondiale.
Audrey Schirmer
Photographe et militante sociale, Audrey Schirmer est née à Springfield, au Massachusetts. Après avoir obtenu son diplôme de l’Université de Boston en plein soulèvement étudiant de 1968, elle a étudié la photographie à New York et elle est ensuite devenue photographe pigiste, en première ligne des manifestations contre la guerre du Vietnam.
Outre ses nombreuses collaborations avec son mari, le documentariste Martin Duckworth, Audrey a présenté diverses expositions de photos, dont nombre de clichés d’enfants d’immigrants et des mouvements pacifistes.
C’est elle qui a créé le département de photographie au Centre Saidye-Bronfman à Montréal, en 1972, où elle a enseigné pendant 16 ans. Elle s’est ensuite entièrement consacrée à sa fille autiste, Jacqueline.
Elle a reçu un diagnostic de maladie d’Alzheimer en 2013 et est décédée le 27 décembre 2019.
Mot du réalisateur
Après l’école de cinéma, j’ai d’abord travaillé avec Martin Duckworth. C’était en 1991, à l’Office national du film du Canada, et j’étais monteur adjoint du film de Martin sur la guerre du Golfe, Armé pour la paix. Dès le début, la ferme volonté qu’avait Martin d’exprimer ses convictions dans ses films m’a inspiré. Nous sommes toujours restés en contact, mais ce n’est qu’il y a quatre ans, après que sa femme, Audrey Schirmer, a reçu un diagnostic de maladie d’Alzheimer, que notre amitié a commencé à se resserrer. J’allais chez lui à quelques semaines d’intervalle et je tournais des séquences les montrant avec leur fille autiste, Jacqueline. Je ressortais de chaque visite ému de leur authenticité absolue. Je ne doutais pas un instant que celle-ci transparaîtrait dans le film. Dans les années qui ont suivi, j’ai aussi appris les nombreuses péripéties, parfois tragiques, qu’a vécues Martin.
Bien qu’il eût réchappé d’un accident d’auto qui avait failli lui coûter la vie au Mexique et qu’il eût assisté à des massacres en tournant au front dans des pays dévastés par la guerre aux quatre coins du monde, il restait optimiste. Les souffrances et la mort dont il a été témoin lui ont appris combien chaque instant de la vie est précieux. C’est quelque chose dont j’ai aussi pris conscience après la longue bataille menée par ma mère, atteinte de la maladie de Lou-Gehrig, dans les années 1990. Comme ce fut le cas pour Martin, mes expériences de la maladie et de la mort ont changé mes priorités. Traverser de pareils moments transforme l’ordinaire en extraordinaire.
J’ai tourné Chère Audrey en hommage à Audrey, à Martin et à leur famille. Pendant cette pause collective en cette nouvelle ère de COVID, nous mettons en question ce qui importe et nous nous tournons vers l’urgence de vivre. Dans cet esprit, Chère Audrey est un cadeau qui arrive à point nommé — un rappel des choix que nous faisons et des familles que nous fondons, et une invitation pour nous tous à mieux prendre soin les uns des autres.
La vraie vie au cinéma, sans fard
Chaque fois que je demandais à Martin si je pouvais venir filmer, j’étais surpris qu’il ne dise jamais non. Durant ces quatre années, j’ai accumulé presque 50 jours de tournage (et au moins 90 heures de séquences documentaires). Par conséquent, l’auditoire a un accès privilégié et incroyable à des moments intimes, alors que Martin et sa famille affrontent la plus rude épreuve de leur vie. Il s’agit là d’un portrait cru, sans compromis, d’une famille en crise, tourné et monté dans un style inspiré de la tradition du cinéma-vérité. Martin Duckworth assurant la narration dans ses propres mots (extraits d’une quinzaine d’heures d’entrevue), nous suivons les hauts et les bas de sa vie remarquable.
Ce film est tiré de la vraie vie. De moments de la réalité d’un couple vieillissant, mais toujours amoureux, qui se bat et persévère même si les dés sont pipés. La vraie vie d’une fille autiste, maintenant adulte, qui doit composer avec la perte. Combinant entrevues impromptues, conversations spontanées et moments émouvants de leurs vies, la narration au présent donne à l’auditoire le sentiment d’y être vraiment. Un monde en soi, mis en relief par l’atmosphère d’un appartement faiblement éclairé, rempli d’ombres. Une existence presque suspendue dans le temps.
Des quelque 55 films que j’ai réalisés ou montés, trois ont particulièrement influencé ma vision de Chère Audrey : God Comes as a Child, Elefanti et Hollywood et les Indiens. God Comes as a Child raconte l’histoire de ma mère, Florence Perrella, durant les dernières années de son combat contre la maladie de Lou-Gehrig, alors qu’elle écrit de la poésie sur cette période difficile de sa vie. Elefanti relate l’histoire de Mario Lattoni, un homme de 90 ans incarcéré dans un camp d’internement en Ontario durant la Deuxième Guerre mondiale, et de son fils mort d’une surdose d’héroïne. Le film montre les conséquences de cette détention de trois ans sur lui et sur d’autres Italiens, ainsi que sur des Allemands et des Japonais. Dans God Comes as a Child et Elefanti, je suis fasciné par des personnages complexes qui nous laissent plonger dans leur monde, de sorte qu’on se sent proche d’eux et de leur histoire bouleversante. Dans Hollywood et les Indiens (comme dans Chère Audrey), des extraits d’autres films bien connus sont minutieusement intégrés à des archives historiques et à des entrevues en profondeur. Il en résulte une mosaïque visuelle captivante qui confère de plus nombreuses couches de sens à la thèse développée dans le film. Par leur extraordinaire fusion de films historiques et d’archives, leur portrait intimiste d’épreuves et d’endurance, ces trois films m’ont inspiré des choix créatifs pour Chère Audrey.
Évasion fantaisiste par l’animation
Le recours à l’animation confère à Chère Audrey une structure magique et dynamique. Bien que ce long métrage ne comporte qu’environ cinq minutes d’animation, celle-ci joue un rôle important. Seule l’animation permet de traduire les nombreux souvenirs fascinants de Martin qui semblent planer, défiant les règles de la gravité. Je pense entre autres à une scène où il explique qu’il a escaladé le Machu Picchu et campé dans les ruines de l’ancienne cité. On pouvait encore faire ça, en 1971. C’est en regardant le ciel étoilé cette nuit-là qu’il a décidé d’épouser Audrey et de fonder une famille. L’animation nous entraîne au Machu Picchu et à de nombreux autres endroits, ce qui crée des évasions amusantes et rafraîchissantes tout au long du film.
Amalgame d’archives impressionniste
Outre l’animation, Chère Audrey renferme un amalgame d’extraits stylisé et impressionniste des 30 films qu’a réalisés Martin, de la centaine de films pour lesquels il a été caméraman ou directeur photo, et d’innombrables photos de famille, en plus d’archives de l’époque, afin d’illustrer les moments clés de sa vie. Chaque retour en arrière historique prépare l’auditoire au jour où il tombe amoureux d’Audrey. Ainsi, l’un des principaux tournants de l’histoire de Martin est le Vietnam. Ce dont il a été témoin au cours de son tournage en 1969, au plus fort de la guerre du Vietnam, a transformé le hippie insouciant qu’il était en un homme épris de paix mondiale et de justice sociale. Peu après, Martin a rencontré Audrey dans une manifestation contre la guerre à Toronto.
Sous-texte et sens exprimés en musique
La musique joue un rôle important dans le paysage sonore stylisé de Chère Audrey, ajoutant au film une touche d’enjouement, d’originalité et d’espoir. Elle constitue une force du récit qui confère du sous-texte et du sens à presque chaque scène. Elle amène l’auditoire à se poser des questions, le stimule et constitue ainsi un moyen efficace de contrer les difficultés et la noirceur du film.
Pertinence sociale et portée
Chère Audrey est d’abord et avant tout une histoire d’amour. C’est le portrait d’un homme qui célèbre la vie et éprouve un amour inaltérable pour sa femme et sa famille. Un homme qui n’abandonne jamais et qui comprend toute la valeur de chaque instant.
L’histoire de la vie intrépide de Martin constituait l’élément fondamental pour donner un caractère plus universel et « englobant » au film. C’était essentiel pour faire contrepoids à la bataille de la famille contre la maladie d’Alzheimer. Grâce à l’intégration des moments les plus inspirants de sa vie et de la crise familiale actuelle, Martin devient le héros de l’histoire, et le film prend une dimension épique. Les retours en arrière, aux moments les plus marquants de sa vie, alternent avec des scènes de la vie familiale actuelle et de son combat contre la maladie d’Alzheimer. C’est une vie qu’on croirait un peu sortie d’un roman. Une vie qui ne pourrait qu’être le fruit de l’imagination.
Ayant grandi pendant la Grande Dépression, Martin a amorcé sa carrière à 30 ans, au plus fort de la révolution hippie des années 1960. Ses films, primés, témoignent de son sens artistique et de sa conscience sociale. Il a voyagé à travers le monde, réalisé 30 films et assuré la direction photo ou la prise de vues d’une centaine d’autres. C’est ainsi qu’il a vu les horreurs de la guerre au Vietnam, au Cambodge, au Japon et en Afghanistan. Il a survécu à un accident d’automobile qui a failli lui coûter la vie au Mexique, s’est marié trois fois, est le père de sept enfants et trouve encore le temps de défendre avec ardeur la paix dans le monde. Plus récemment, il a reçu l’une des plus grandes distinctions au Québec, le prix Albert-Tessier, qui souligne un apport exceptionnel au domaine du cinéma. La véritable force de Chère Audrey réside dans l’interaction symbiotique entre la vie captivante de Martin et sa situation actuelle avec Audrey et Jacqueline, marquée par le combat contre la maladie d’Alzheimer. Même si chaque fil narratif pourrait se tenir seul, ils dégagent ensemble une force qui leur donne une dimension épique.
Martin et son histoire
Je vois parfois de la fatigue dans le regard de Martin. Mais, malgré la crise douloureuse que vit sa famille, il ne capitule pas. En raison de son optimisme indestructible, je suis convaincu que Chère Audrey touchera les gens et les inspirera. Chaque fois que j’allumais la caméra ou que je montais une courte scène, la magie de la chaleur d’Audrey et Martin et de leur passion pour la vie opérait. Pourtant, même si Martin est devenu un mentor et un modèle pour moi, ce film n’est pas un hommage à la gloire de l’homme, non plus qu’une rétrospective de ses nombreux films. Il s’agit plutôt de la description honnête et crue d’un être humain qui n’est pas toujours parfait et qui livre le combat le plus pénible de sa vie, une lutte qu’il poursuit avec abnégation pour faire ce qu’il faut.
Extraits
Matériel promotionnel
Images
Équipe
Générique
Réalisé par
Jeremiah Hayes
Produit par
Jeremiah Hayes
André Barro
Annette Clarke
Écrit et monté par
Jeremiah Hayes
Caméra et prise de son
Jeremiah Hayes
Musique originale
Walker Grimshaw
Musiciens
Flûte et clarinettes
Patricio Böttcher
Basson
Eric Heidbreder
Violon alto
Nelson Moneo
Violoncelle
Samuel Bisson
Voix
Andrew McLeod
Conception sonore
Mélanie Gauthier
Superviseur des effets visuels et chef de l’animation
Joshua Sherrett
Animation
Dan Buller
Joshua Sherrett
Productrice de la postproduction en animation
Yasmine Amor
Co-scénarisation
Daniel Diaz
Consultants au montage
Ai Umeda
Nicola Zavaglia
Arto Paragamian
Pour Cineflix Productions Inc.
VPE, production et administration
Sherri Rufh
VPE, postproduction
Lynn Van Rooyen
Superviseure de la postproduction
Jacqueline Tam
Mise en marché pour Cineflix
VP principale
Mise en marché et communications
Amber Baker
Directrice principale
Mise en marché et communications
Katina Katadotis
Directrice principale
Publicité
Vanessa Marra
Recherche d’archives
Thea Toole
Jeremiah Hayes
Archives utilisées avec l’aimable autorisation de
Audrey Schirmer
AP Archive
Critical Past
Footage For Pro
Getty Images
John Walker
Kinolibrary
Marianna Rydvald
Martin Duckworth
National Archives & Records Administration
Archives ONF
Periscope Film
Collection Watson Kintner, du Penn Museum Film Archives
WPA Film Library
Swarthmore College/Medisch Comite Nederland Vietnam
Pond5
Prelinger Archive
Satu Repo
Shutterstock
Musique additionnelle
The Return, Seaone, Exploring
© Mark Orton Tunguska Music (BMI)
Interprétée par Mark Orton
The Barn (SUA_Facing_the_Truth)
© Mark Orton Tunguska Music (BMI)
Interprétée par Walker Grimshaw
Sunrise at Independence, New West
© Mark Orton Camp Watertown Music (ASCAP)
Interprétée par Tin Hat
Asterisk
© Ben Goldberg Njamin Music (ASCAP)
Interprétée par Tin Hat
Avec l’aimable autorisation de BAG Production Records
Concession de licence grâce à Hans Wendl Produktion
Diminished Capacity
© Robert Burger Manners McDade Music Publishing Ltd. (PRS)
Interprétée par Robert Burger
Concession de licence grâce à Manners McDade Music Publishing Ltd. et Robert Burger
Vive Solo
© Les Editions de la Bascule/Strictly Confidential (BMI) et Crammed Discs
Composée et interprétée par Juana Molina
Bowsprit
© Manners McDade Music Publishing Ltd (PRS) and Western Vinyl
Composée par Robert Griffin Lowe et Michael Allen Muller>
Interprétée par Balmorhea
Jack
© Songs Of Universal, Inc. on behalf of Warner-Barham Music Llc. (BMI)
Composée par Rob Simonsen
Interprétée par Walker Grimshaw
Audrey’s Photo Journey
© Ned Bouhalassa (SOCAN)
Interprétée par Ned Bouhalassa
Montage en ligne
Serge Verreault
Sous-titrage
Zoé Major
Conception graphique
Cynthia Ouellet
Jacques Bertrand Simard
Droits musicaux
Katherina Huck
Key of Harmony Music Publishing
& Ann Mayall
Mixage
Isabelle Lussier
Bruitage
Simon Meilleur
Enregistrement du bruitage
Geoffrey Mitchell
Pour l’Office national du film du Canada
Superviseure de production
Roz Power
Coordonnateurs techniques
Daniel Lord
Christopher MacIntosh
Soutien technique vidéo
Marie-Josée Gourde
Pierre Dupont
Patrick Trahan
Soutien technique audio
Bernard Belley
Coordonnatrice de production principale
Cheryl Murgatroyd
Administration
Leslie Anne Poyntz
Mise en marché
Jamie Hammond
Coordination de la mise en marché
Jolène Lessard
Relationnistes
Jennifer Mair
Nadine Viau
Conseillère juridique
Dominique Aubry
Nous remercions de leur participation
Denise Albert
Fatima Banane
Evelyne Brochu
Nicole Duong
Martin Duckworth
Marya Duckworth
Sylvia Duckworth
David Fennario
Dylan Hetherington
Natascha Thiara Rydvald
Khai Parchment
Satu Repo
Anana Rydvald
Marianna Rydvald
Michael Rubbo
Audrey Schirmer
Danielle Schirmer
Jacqueline Schirmer
Nick Schirmer
David Whiteside
Producteurs exécutifs
Katherine Buck
Annette Clarke
Glen Salzman
Pablo Salzman
© 2021 Cineflix (DEAR AUDREY) Inc. et Office national du film du Canada
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L’ONF en bref
Fondé en 1939 et unique en son genre, l’Office national du film du Canada (ONF) produit, coproduit et distribue des documentaires et des films d’animation distinctifs, engageants, pertinents et innovants. Incubateur de talents, il est un des plus grands laboratoires de création au monde. Depuis plus de huit décennies, l’ONF permet aux Canadiennes et aux Canadiens de se raconter et de se rencontrer. Ses films sont de plus une ressource éducative fiable et accessible. L’ONF possède également une expertise reconnue mondialement en préservation et en conservation, en plus d’une riche collection vivante d’œuvres qui constituent un pilier important du patrimoine culturel du Canada. Jusqu’à maintenant, l’ONF a produit plus de 14 000 œuvres, dont 6500 sont accessibles gratuitement en ligne sur onf.ca. L’ONF ainsi que ses productions et coproductions ont remporté au-delà de 7000 prix, dont 11 Oscars et un Oscar honorifique récompensant l’excellence de l’organisation dans toutes les sphères de la cinématographie.