WaaPaKe (Demain)
2023 | 80 min
Documentaire
Version originale anglaise, sous-titrage cri et français
Prix et festivals
Sélection officielleAvailable Light Film Festival, Canada (2024)
Sélection officielleVictoria Film Festival, Canada (2024)
Prix du meilleur film de la Colombie-BritanniqueVancouver International Film Festival, Canada (2023)
Sélection officielleImagineNative Film + Media Arts Festival, Canada (2023)
Sélection officielleYellowknife International Film Festival, Canada (2023)
Sélection officielleRencontres internationales du Documentaire de Montreal (RIDM), Canada (2023)
Une production de l’Office national du film du Canada
Le documentaire éminemment personnel WaaPaKe (Demain) de Jules Arita Koostachin, Ph. D. soulève une question difficile : « Qui sommes-nous sans notre douleur ? »
Au fil des générations, la souffrance des survivantes et survivants des pensionnats a irradié et entraîné des conséquences sur les familles et les communautés autochtones. Enfants, parents et grands-parents ont lutté contre ce traumatisme innommé dont témoignent les effets persistants du colonialisme : dépendance, violence morale et relations rompues.
Désireuse d’aider les enfants des survivantes et survivants, y compris elle-même et sa famille, la réalisatrice prend la délicate décision de passer devant la caméra et de participer au cercle de vérité. Des membres de sa famille immédiate ainsi que de nombreuses voix venues de communautés autochtones à travers l’île de la Tortue se joignent à elle pour accomplir cet acte de solidarité courageux. Dépassant la nécessité d’enterrer le traumatisme intergénérationnel, WaaPaKe (Demain) nous invite à défaire les nœuds du silence et à évoluer ensemble vers la liberté et la force collectives.
EN UNE ET DEUX PHRASES
En une phrase
Par la vérité, la liberté et la force, le documentaire éminemment personnel de Jules Arita Koostachin, Ph. D. défait les nœuds du silence qui ont tant fait souffrir les survivantes et survivants des pensionnats.
En deux phrases
Au fil des générations, la souffrance des survivantes et survivants des pensionnats a irradié et entraîné des conséquences sur les familles et les communautés autochtones. Le documentaire éminemment personnel de Jules Arita Koostachin (Ph. D.) WaaPaKe (Demain) dépasse le traumatisme intergénérationnel : il nous invite à défaire les nœuds du silence et à évoluer ensemble vers la liberté et la force collectives.
SYNOPSIS LONG
Le documentaire éminemment personnel WaaPaKe (Demain) de Jules Arita Koostachin, Ph. D. soulève une question difficile : « Qui sommes-nous sans notre douleur ? »
Au fil des générations, la souffrance des survivantes et survivants des pensionnats a irradié et entraîné des conséquences sur les familles et les communautés autochtones. Enfants, parents et grands-parents ont lutté contre ce traumatisme innommé dont témoignent les effets persistants du colonialisme : dépendance, violence morale et relations rompues.
Désireuse d’aider les enfants des survivantes et survivants, y compris elle-même et sa famille, la réalisatrice prend la délicate décision de passer devant la caméra et de participer au cercle de vérité. Des membres de sa famille ainsi que de nombreuses voix venues de communautés autochtones à travers l’île de la Tortue se joignent à elle pour accomplir cet acte de solidarité courageux. Chaque parcours est singulier, mais en partageant les expériences vécues, on explore des moyens de créer un espace, d’apaiser le sentiment de chaos et d’ouvrir de nouvelles pistes vers l’avenir.
La réalisatrice recourt à une gamme de techniques cinématographiques novatrices — collage, paysages sonores, décoration scénique — afin d’illustrer non seulement les remous intérieurs complexes et profonds, mais les niveaux multiples des histoires racontées, enracinées dans la terre elle-même. Lorsqu’une personne apprend à manifester activement son amour et à rompre le cycle de la maltraitance, ses manières d’être autochtones et sa créativité s’expriment — que ce soit par le cinéma, la poésie ou l’apprentissage des méthodes de chasse ancestrales — et elles jouent un rôle énorme.
Dépassant la nécessité d’enterrer le traumatisme intergénérationnel, WaaPaKe (Demain) nous invite à défaire les nœuds du silence et à évoluer ensemble vers la liberté et la force collectives.
ENTREVUE AVEC LA RÉALISATRICE JULES ARITA KOOSTACHIN, Ph. D.
Votre travail s’adresse-t-il à des groupes de personnes en particulier ? Et avec WaaPaKe, quel public espérez-vous toucher ?
Lorsque je produis de nouvelles œuvres, je pense avant tout à ma communauté — une communauté autochtone. Et ce, parce que j’ai été élevée par mes grands-parents cris et par ma mère. Cela fait partie de mon ADN que d’amorcer mon histoire à partir de ce lieu de connaissance. J’ai grandi dans la langue et la culture cries, et il est inévitable que cela transparaisse dans ma pratique du récit. Lorsqu’on rend visite à des personnes aînées, ou à des gardiennes et gardiens du savoir, et qu’ils transmettent des histoires et des enseignements, on ne retient que ce qu’on est capable d’entendre. Entendre signifie s’asseoir et écouter… sans les bombarder de questions ni essayer de leur soutirer leur savoir. Écouter signifie s’intéresser et prêter attention — tout est une question d’intérêt. Il en va de même pour mon travail : en tant qu’artiste, il m’est parfois difficile d’exprimer pleinement mon message dans l’histoire parce qu’il vient de mon âme. Il provient d’un lieu de recherche de la vérité. Il est parfois difficile de mettre des mots, surtout lorsqu’on parle de ses propres expériences ou avec son cœur. Je veux que les gens s’intéressent activement à mon travail et apprennent quelque chose sur les peuples autochtones. Pour ma part, si un film me touche vraiment, je le regarde encore et encore. J’en retire chaque fois quelque chose de nouveau, et je crois que c’est parce que j’ai changé dans l’intervalle. C’est l’aspect le plus intéressant dans le fait de raconter des histoires, et cela signifie que le récit autochtone est porteur d’un pouvoir d’action.
Pour moi, WaaPaKe ressemble à une prière. Lorsqu’on prie, on demande des conseils et, souvent, on ne trouve pas forcément les réponses, mais on entame le processus en lançant tout cela dans l’univers. WaaPaKe est un récit personnel sur la recherche de la paix intérieure. Il parle de pardon et de l’espoir d’un avenir meilleur. Il m’a fallu beaucoup de temps afin de choisir la bonne plateforme pour transmettre ma vérité, et je suis reconnaissante du fait que les choses se soient déroulées ainsi. C’est une histoire douloureuse, et je sais que je me suis beaucoup retenue, mais je suis heureuse d’avoir fait ce choix. Pendant la production, j’ai invité quelques camarades ayant vécu des expériences similaires à m’aider en communiquant leurs propres expériences de traumatismes intergénérationnels. J’ai été stupéfaite de voir à quel point nos conversations étaient éloquentes et puissantes. Je me suis sentie honorée et encore plus forte de faire partie de leur parcours.
Craignez-vous que les gens interprètent votre travail différemment de la manière dont vous l’avez voulu ?
Non, mais je respecte les protocoles autochtones de mise en récit et je m’assure de faire souvent le point avec moi-même. Je suis prudente à l’extrême et me soucie beaucoup de faire ce qu’il faut. Mon travail, je le fais d’abord pour un public autochtone et j’estime que les personnes appartenant au peuple colonisateur peuvent effectuer la recherche elles-mêmes si elles ne comprennent pas les thèmes centraux ou le contexte. En tant que personne qui raconte, je suis responsable et je dois rendre des comptes à ma communauté, et c’est donc là que réside ma préoccupation. Si quelqu’un est dans l’erreur, ce n’est pas grave. J’espère simplement que cette personne repartira avec des questions et qu’elle trouvera les réponses elle-même, et non aux dépens d’un ou une Autochtone. C’est émotivement épuisant que de devoir toujours expliquer notre douleur. Nous essayons encore de comprendre les répercussions du colonialisme et d’exprimer ce que nous avons vécu. Nous sommes encore si proches du traumatisme qu’il n’est pas possible d’en parler avec un certain recul, du moins à l’heure actuelle.
Quel est votre premier souvenir de création artistique ?
Quand j’étais enfant, je dessinais, je jouais des instruments de musique à l’école, je dansais et je me perdais dans mon propre monde. C’est mon imagination qui m’a sauvée d’une enfance difficile. Je suis une artiste et j’adore créer. Je deviens très concentrée : c’est formidable de se perdre dans le processus de création. J’ai monté ma première pièce de théâtre lorsque j’étais en quatrième année et j’ai vite compris que j’avais un don. C’était une production médiocre, mais je savais que le récit, sous toutes ses formes, était ce dont j’avais besoin pour être vraiment heureuse.
Selon vous, quel rôle votre culture joue-t-elle dans votre créativité ?
La culture crie est tout pour moi. Je sais que, lorsque les gens me regardent, ils ont leurs propres attentes et leur propre compréhension de mon identité en raison de la façon dont je me présente. Je suis une Crie pure laine. La langue anglaise m’a été apprise plus tard dans ma jeune vie, et nous n’avons jamais eu de livres à la maison, seulement des bibles cries. Ne me plaignez pas non plus (si vous le faites, je vous invite à réfléchir à votre propre colonialisme), car j’ai eu deux grands-parents cris extraordinaires qui vivaient de la terre et m’ont enseigné l’importance de l’oralité. Avec le recul, je n’aurais pas voulu qu’il en soit autrement. C’est en allant à l’école et en affrontant toute la haine émanant du système éducatif que je me suis sentie le moins en sécurité. J’ai intériorisé tous ces faux récits, ce qui m’a causé beaucoup de remous intérieurs inutiles. C’est ma culture qui a alimenté ma flamme et m’a incitée à aller de l’avant sans complexes dans le travail que je fais !
WaaPaKe est tissé de plusieurs couches de médias : photos, collages, animations. Était-ce votre vision dès le départ, ou celle-ci s’est-elle développée au fur et à mesure que vous travailliez sur le film ?
Lorsque je suis sur le point de me lancer dans un nouveau projet, c’est la démarche qui m’intéresse. Tout tient à la réflexion, aux discussions et au travail en collaboration avec d’autres artistes. Ma vision débute généralement par une question. Avec WaaPaKe, elle a commencé par « Qui suis-je sans son traumatisme ? » et ç’a été notre point de départ. Comme je l’ai dit, raconter une histoire est comme une prière. WaaPaKe reflète le magnifique processus artistique qui consiste à prier et à trouver une communauté.
En donnant la parole à votre mère, vous parvenez très bien à rendre compte de l’effort qu’il faut aux personnes aînées pour parler de ces thèmes, et les mots produisent leur effet. Y a-t-il eu des défis à relever ? Des moments où vous avez dû faire très attention ?
Je dois toujours être prudente avec ma mère. Parfois, j’ai envie de tout dire de façon frontale, mais je me suis vite rendu compte que je devais être prudente. Je dois gérer notre passé avec précaution, pour l’instant en tout cas. Bien sûr, je dois me censurer, mais cela dit, je mérite aussi de dire ma vérité et de guérir de mon traumatisme d’enfance. Pour l’instant, par respect, je vais garder mon histoire pour moi. Lorsque vous êtes l’enfant d’une personne survivante, vous endossez le rôle d’aidant. C’est ma réalité. C’est pourquoi je sacrifie ma vérité dans son intégralité.
Comment avez-vous créé cet espace sécuritaire ?
Prendre mon temps pendant la production, c’est prendre soin de moi, et poser des questions difficiles pendant la postproduction est également nécessaire. Je ne pense pas que l’on puisse vraiment créer un « espace sûr », mais on peut essayer de faire de son mieux — c’est pourquoi il existe des protocoles de mise en récit autochtones. Si je ne me sens pas à l’aise avec quelque chose, je suivrai mon instinct.
Votre intention était d’inviter à la guérison en entamant ces conversations. Se sont-elles poursuivies au sein de votre famille et de votre cercle après la réalisation du film ?
Depuis mon enfance, j’ai été tourmentée par les histoires d’horreur de ma mère sur les pensionnats autochtones et, pour être honnête, je n’ai plus envie de les entendre. C’est trop douloureux, mais je m’assois en silence et j’écoute ses histoires. Tout ce que j’ai toujours voulu, ce sont des relations saines avec ma famille. Je pense que le processus de guérison est un parcours personnel et qu’il appartient à chaque personne de trouver l’aide dont elle a besoin.
Bande-annonce
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Extraits
Affiche
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Images
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Équipe
Générique
Écrit et réalisé par
Jules Arita Koostachin Ph.D.
Productrice
Teri Snelgrove
Productrice déléguée
Jennifer Roworth
Direction de la photographie
Michael Bourquin
Montage
Jessica Dymond
Musique originale
Justin Delorme
Avec la participation de
Rita Okimawinninew
Asivak Koostachin
Joseph Dandurand
Maisie Smith
Jules Arita Koostachin
Pawaken Koostachin-Chakasim
Tapwewin Koostachin-Chakasim
Mahiigan Koostachin
Connor Nichol
Lynn Power
En souvenir de
Stevie Nichol et Peter Okimawinninew
Directrice de production
Angie Nolan
Prise de son
Ramsay Bourquin
Kaitlyn Redcrow
Images additionnelles
Cameron Watts
Asivak Koostachin
Opérateur
Cameron Watts
Machiniste
Joey Aleck
Scénographie
Yolonda Skelton
Conception du titre et des graphiques animés
James Monkman
Coiffure et maquillage
Sheleah Bradley
Courtney Yellow-Quill
Coordonnateurs de production
Nathan Conchie
Jas Calcitas
Maddy Chang
Assistants de production
Alexandra Knowles
Sarah Kelley
Mike Nichol
Richard Wilson
Bárbara Rafaela Guimaraes Costa
Conseillère clinique enregistrée
Lynn Power
Recherche
Erika MacPherson
Angie Nolan
Conception sonore
Humberto Corte
Mixage
Isabelle Lussier
Montage des dialogues
Andrea Velarde Mosquera
Montage des arrière-plans
James Neves
Coloriste
Serge Verreault
Infographiste
Bun Lee
Coordonnateur technique
Wes Machnikowski
Remerciements
Chi Mii’kwetch
Jessie Anthony
Sam Bob
Roger Brown et Fiona Schmiegelow
Jake Chakasim
Première Nation Kwantlen
Lara Mazur
Cheryl McKenzie
Ben Miljure
Chris Sheldon et Sim Camera
Darren Stollings
Colin Van Loon
Mike Wollin et Shoreline Studios
Archives
Adrian Sutherland/Midnight Shine Music
APTN News
Michael Bourquin
James Buffin
Joseph Dandurand
Dre Jules Arita Koostachin
Rita Okimawinninew
Maisie Smith
CTV News (Vancouver)
Archives de l’Office national du film du Canada
World_Wide/Shutterstock.com
Attributions
Aldergrove Star
Langley School District to lower flags in recognition of unmarked indigenous graves,
Matthew Claxton, 26 juillet 2021
Réseau Al Jazeera
Pope apologises for ‘evil’ of Canada’s residential schools,
Personnel du Al Jazeera, 25 juillet 2022
America – The Jesuit Review
A burial site for Indigenous children was found in Canada. Could it happen in the United States?
Kevin Clarke, 14 juin 2021
APTN News
Williams Lake First Nation says its located files showing additional deaths
at former residential school,
Danielle Paradis, 26 janvier 2023
BBC News
Dozens more graves found at former residential school sites,
BBC News, 16 février 2022
BBC News
Jawbone found in possible unmarked residential school grave,
Holly Honderich, 12 janvier 2022
Canada’s National Observer
‘Our people need healing’: We Wai Kai elder on children’s residential school grave site,
Rochelle Baker, 1er juin 2021
Canada’s National Observer
Reflections on National Indigenous Peoples Day by residential school survivors,
Jessica Smith, 21 juin 2022
CBC News
Feds appoint special interlocutor for unmarked graves tied to residential schools,
John Paul Tasker, 8 juin 2022
CBC News
Interlocutor on unmarked graves ‘very concerned’ by feds $2M deal with international organization,
Brett Forester, 9 février 2023
CBC News
New resources help Indigenous communities start process of searching for unmarked graves,
Karen Pauls, 14 juin 2021
CBC News
Research begins into unmarked graves at site of St. Anne’s residential schools,
CBC News, 1er février 2022
CBC News
Sask. First Nation announces discovery of 751 unmarked graves near former residential school,
Bryan Eneas, 24 juin 2021
CBC News
Search of Pine Creek Residential School site in western Manitoba finds
14 possible unmarked graves,
Rachel Bergen, 8 août 2022
CBC News
Some searches are done, but other residential school sites in the northeast won’t be checked for several years,
Erik White, 31 janvier 2023
CTV News
Fort Albany Nation embarks on journey to uncover truth behind St. Anne’s Indian Residential School,
Lydia Chubak, 30 janvier 2022
CNN
Search reveals 169 potential unmarked graves at former Canadian residential school, officials say,
Amanda Musa, Aya Elamroussi, 2 mars 2022
CNN
Remains of 215 children found buried near school in Canada,
Paula Newton, 1er juin 2021
Edmonton Journal
Four bands at Maskwacis honour memory of children who perished at residential school,
Anna Junker, 1er juin 2021
Global News
182 human remains in unmarked graves found at site of former residential school in Cranbrook, B.C.,
Amy Judd, Jon Azpiri, 30 juin 2021
Global News
Search uncovers 171 ‘plausible burials’
near Ontario residential school,
Jordan Omstead, 18 janvier 2023
The Canadian Press
International group hired by Ottawa asks to be given a chance on unmarked graves,
Stephanie Taylor, 22 février 2023
The Canadian Press
Supreme Court will not hear from St. Anne’s residential school survivors,Stephanie Taylor, 20 octobre 2022
The Globe and Mail
Interim report on unmarked graves finds Indigenous communities still
face insufficient funding, lack of access to records,
Patrick White, 11 novembre 2022
The New York Times
‘Horrible History’: Mass Grave of Indigenous Children Reported in Canada,
Ian Austen, 5 septembre 2022
The Pillar
After Canadian residential school discoveries, what does ‘reconciliation’ really look like?,
Elisha Valladares-Cormier, 29 juin 2021
Sudbury.com
Chief cautions careful approach to residential school burial site investigation,
Dariya Baiguzhiyeva, 16 juin 2021
Timmins Today
Investigation begins into locating possible burial sites at St. Anne’s,
Dariya Baiguzhiyeva, 26 janvier 2022
Vice
Kids’ Graves Exposed the Horror of Canada’s Residential Schools. Outrage isn’t Enough,
Anya Zoledziowski, 30 septembre 2021
Agente de la mise en marché
Kay Rondonneau
Coordonnatrice de la mise en marché
Julie Fortin
Relationniste
Katja De Bock
Administration
Carla Jones
Productrice exécutive
Shirley Vercruysse
Tourné sur les terres ancestrales des Premières Nations Stz’uminus, səl̓ilwətaɁɬ təməxʷ, celles du Groupe du Traité des Hul’qumi’num, des Nations Sḵwx̱wú7mesh, Stó:lō et xʷməθkʷəy̓əm, des Cayuses, des Umatillas et des Walla-Wallas, des Semiahmoo, des Nations W̱SÁNEĆ,
Kwantlen, sc̓əwaθən məsteyəxʷ , sq̓əc̓iy̓aɁɬ təməxʷ, Tàłtàn, de la Nation de Kwanlin Dün, du Conseil Ta’an Kwäch’än, des Nations de Champagne et d’Aishihik, de la Nation Anishinabek et de la Nation d’Attawapiskat.
La ligne d’écoute téléphonique nationale des pensionnats indiens offre du soutien 24 heures sur 24 aux anciens élèves des pensionnats pour Autochtones, ainsi qu’à leur famille. Composez sans frais le 1-866-925-4419.
© Office national du film du Canada, 2023
Relations de presse
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Nadine Viau
Attachée de presse – Montréal
C. : 514-458-9745
n.viau@onf.ca
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L’ONF en bref
L’ONF est le producteur et distributeur public canadien d’œuvres audiovisuelles primées, qu’il s’agisse de documentaires, d’animations d’auteur, de récits interactifs ou d’expériences participatives. Depuis 1968, l’ONF a produit plus de 300 œuvres signées par des cinéastes inuits, métis et des Premières Nations, constituant ainsi une collection sans pareille de films qui bousculent les récits de la culture majoritaire et proposent des perspectives autochtones aux auditoires d’ici et du reste du monde. L’ONF met en œuvre un plan d’action comportant une série d’engagements, notamment consacrer au minimum 15 % des dépenses globales de production aux œuvres réalisées par des artistes autochtones et rendre la collection de films autochtones de l’ONF plus accessible sur ONF.ca.