Une personne comme moi
2021 | 80 min
Sélections et prix
Prix du public RogersHot Docs Canadian International Documentary Festival, Toronto, Canada (2021)
Grand Prix Alternative Spirit Award – DocumentaireFlickers' Rhode Island International Film Festival, États-Unis (2021)
Prix du meilleur long métrage documentaireLas Cruces International Film Festival, Nouveau-Mexique (2022)
Sélection officielleNorthwestFest International Documentary Festival, Alberta, Canada (2021)
Sélection officielleDOXA Documentary Film Festival, Vancouver, Canada (2021)
Sélection officielleCinéfest Sudbury International Film Festival, Ontario, Canada (2021)
Sélection officielleLGBT Film Festival, Varsovie, Pologne (2021)
Sélection officielleNewport Beach Film Festival, Californie (2021)
Sélection officielleSeattle Queer Film Festival, États-Unis (2021)
Sélection officielleVictoria Film Festival, Colombie-Britannique (2022)
Sélection officielleAvailable Light Film Festival, Whitehorse, Yukon (2022)
Sélection officielleBig Sky Documentary Film Festival, Montana, États-Unis (2022)
Dans le long métrage documentaire Une personne comme moi, de Sean Horlor et Steve J. Adams, Drake, un jeune homme gai originaire de l’Ouganda, laisse derrière lui son univers familier en vue de trouver les valeurs universelles auxquelles tout le monde a droit : être la personne que l’on est et aimer qui l’on veut sans crainte de faire l’objet de discrimination, de persécution ou de violence. Des personnes queers qui ne se connaissent pas s’unissent pour organiser sa réinstallation à Vancouver, mais se voient tenues de s’engager pour un an auprès de ce nouvel arrivant et se débattent avec les conditions difficiles de cette prise en charge. Ensemble, Drake et les gens qui le parrainent entreprennent une émouvante quête de liberté personnelle qui nous amène à constater que, dans un monde où il faut constamment lutter pour le droit d’exister, la survie devient en soi une victoire.
Synopsis long
Drake, un dynamique jeune homme gai de 22 ans originaire de l’Ouganda, laisse derrière lui son univers familier en vue de trouver les valeurs universelles auxquelles tout le monde a droit : être la personne que l’on est et aimer qui l’on veut sans crainte de faire l’objet de discrimination, de persécution ou de violence.
À Vancouver, sous la bannière de Rainbow Refugee, un organisme sans but lucratif qui aide au parrainage privé de personnes LGBTQ+ demandeuses d’asile, un groupe formé de membres de la communauté queer qui ne se connaissent pas s’engage à devenir son principal réseau de soutien durant un an. Le parcours mouvementé de Drake et les défis qu’il doit affronter au quotidien dans les mois qui suivent son arrivée ne sont pas sans rappeler l’expérience de vie de certains des membres du groupe : Marlon, un homme noir gai, a lui aussi dû changer de ville afin de vivre ouvertement son homosexualité ; David peine à trouver un emploi stable après des études supérieures ; la transition de genre de Kay est un long chemin chargé d’émotions vers la liberté. Alors que les problèmes se multiplient sous l’effet d’une pandémie mondiale inattendue, le groupe s’interroge sur son rôle, sur son engagement et sur les conditions de la prise en charge. L’essentiel du travail consiste à subvenir aux besoins de base de Drake, mais les choses se compliquent lorsqu’il s’agit d’assurer l’indispensable soutien affectif et psychologique ainsi que le mentorat nécessaire durant les douze prochains mois.
Adoptant l’approche du cinéma-vérité, le long métrage documentaire Une personne comme moi, de Sean Horlor et Steve J. Adams, dévoile les infinies nuances de générosité et d’incertitude entourant le parrainage privé des demandeuses et demandeurs d’asile. Chronique de l’aventure entreprise par Drake et par les gens qui le parrainent, le film révèle que, dans un monde où il faut constamment lutter pour le droit d’exister, la survie devient en soi une victoire.
UNE ET DEUX LIGNES
En deux lignes
Une personne comme moi suit les parcours parallèles de Drake, un demandeur d’asile gai originaire de l’Ouganda, et de membres de la communauté queer vancouvéroise qui ne se connaissent pas, mais s’unissent pour soutenir sa réinstallation au Canada. Ensemble, l’espace d’une année, les protagonistes entreprennent une quête de liberté personnelle qui nous amène à constater que, dans un monde où il faut constamment lutter pour le droit d’exister, la survie devient en soi une victoire.
En une ligne
Lorsque des personnes queers qui ne se connaissent pas s’unissent pour soutenir un jeune homme gai originaire de l’Ouganda qui demande l’asile au Canada, des défis inattendus les conduisent vers une émouvante quête de liberté personnelle.
Entretien avec les réalisateurs Sean Horlor et Steve J. Adams
Pourquoi vouliez-vous faire ce film ?
Steve : J’ai grandi en me détestant, parce que j’étais gai. Il m’a fallu beaucoup de temps pour être à l’aise avec la personne que j’étais. L’idée de départ était d’explorer la communauté queer actuelle et, d’une certaine manière, d’écrire une lettre d’amour à cette communauté que j’avais fini par adorer. C’était une façon d’aller à la découverte de la communauté queer pour, en fin de compte, en apprendre davantage sur qui j’étais.
Nous avons commencé nos recherches en 2015. Trump se présentait à la présidence et des sentiments anti-immigration et anti-réfugiés se propageaient dans la société et sur les réseaux sociaux. D’un côté, des informations fausses circulaient ; un membre de ma famille avait partagé un mème anti-immigration très répandu prétendant que les réfugiés recevaient plus du gouvernement que les prestataires de retraite, et cela faisait grand bruit. De l’autre côté, des gens allaient à l’encontre de ça, et j’ai commencé à voir des publications en ligne de groupes récoltant des fonds pour parrainer des réfugiés LGBTQ+. Chaque groupe était formé d’une dizaine de personnes et travaillait avec Rainbow Refugee à ce que la personne parrainée arrive en toute sécurité au Canada.
Sean : Lorsqu’on fait face à des problèmes d’envergure mondiale, comme la crise des réfugiés ou la persécution de personnes queers partout dans le monde, il n’est pas rare qu’on se dise qu’on n’y peut rien ou que ces problèmes sont beaucoup trop gros pour qu’une seule personne puisse s’y attaquer. Nous voulions faire ce film pour montrer qu’il est possible, en tant qu’individu, de faire avancer les choses de manière concrète et significative. Au Canada, n’importe qui, queer ou hétéro, peut former un cercle de parrainage. D’autres pays étudient ce qui se fait ici, et nous espérons que ce film permettra à des programmes similaires de voir le jour ailleurs dans le monde.
Quels ont été les plus grands défis de ce projet ?
Sean : Les 11 personnes bénévoles qui ont accepté de participer à ce film ne se sont rencontrées qu’au moment de la toute première réunion organisée par Rainbow Refugee, alors que la caméra tournait déjà. Elles ne se connaissaient pas du tout et devaient apprendre à travailler ensemble avec une équipe de tournage qui observait tous leurs faits et gestes. Cela a été un défi tant pour nous que pour elles, parce que dans un film comme celui-là, les gens qu’on voit à l’écran vous confient ce qu’ils ont de plus intime en toute confiance.
Un autre défi était que ce film était consacré à notre propre communauté, la communauté queer, et que bien des expériences que nous avions vécues avaient des traits communs avec celles des protagonistes d’Une personne comme moi. Il est arrivé, parfois, alors qu’on tournait ou pas, que quelqu’un décrive de la violence, de la discrimination ou de la persécution ou encore ses difficultés relatives à ses liens familiaux, à sa sexualité ou à son genre et que cela éveille en moi de douloureux souvenirs. C’est une chose que je n’ai jamais eu à affronter avec d’autres films.
Steve : L’un des plus gros défis posés par ce film était que nous n’en connaissions pas le scénario à l’avance. Nous ne connaissions pas ses protagonistes au début du tournage et personne ne nous connaissait. À partir du moment où le cercle s’est formé, nous avons dû rapidement établir un lien avec chaque membre. Nous avons dû nous informer de l’emploi du temps de chaque personne, lui demander ce qu’elle était prête à montrer à la caméra et jusqu’à quel point la perspective d’être filmée lui convenait. Nous avons passé des journées et des semaines à être très angoissés, à nous dire que nous faisions intrusion dans la vie de ces gens et à jouer les funambules pour ne pas trop nous imposer, tout en sachant que s’ils ne voulaient pas être filmés, notre film n’avait pas d’histoire.
Comment avez-vous surmonté ces défis ?
Sean : C’est le genre de film auquel on ne cesse de réfléchir, même une fois à la maison, quand les caméras sont coupées, et il a exercé beaucoup de pression sur notre couple. Steve et moi sommes ensemble depuis 11 ans, et nous avons monté notre entreprise de production un an après le début de notre relation. Nous nous disputons rarement à propos du travail, alors quand cela a commencé à se produire, au moment où le groupe de parrainage de Drake s’est désintégré, nous avons compris que les choses n’allaient pas bien. Mais l’un des avantages de travailler avec son conjoint ou sa conjointe, c’est qu’on sait déjà comment soutenir l’autre durant les moments difficiles. L’industrie du cinéma repose sur les relations et la confiance. Il n’y a personne en qui j’ai plus confiance que Steve. Nous formons une équipe, et réussir à rester soudés durant 15 mois de tournage continu avec une multitude de défis inattendus nous a confirmé que nous pouvons travailler ensemble.
Steve : Je ne suis pas vraiment sûr d’avoir relevé ces défis. Nous avons vécu une année entière de stress provoqué par des poussées d’adrénaline, et je suis sûr à 99 % que j’ai maintenant des cheveux blancs à cause de ce film. J’aime bien comparer le moment du tournage à la pêche. On partait filmer en espérant que tout se passerait bien, qu’on obtiendrait à la caméra ce dont on avait besoin et qu’on pourrait ensuite travailler sur tous ces moments filmés. Il s’agissait de trouver le bon rythme et de comprendre que l’histoire n’allait pas s’écrire à un moment précis du tournage. Ce film m’a beaucoup appris sur la patience et le fait de s’en remettre au processus.
Qu’est-ce qui a été le plus surprenant ou le plus gratifiant durant le tournage ?
Steve : Une des choses les plus surprenantes que j’ai apprises est qu’avec Internet, la culture est devenue mondiale. Quand nous avons commencé à travailler sur ce projet, j’avais beaucoup d’idées préconçues au sujet des réfugiés LGBTQ+. Ces idées toutes faites encombraient mon esprit. Quand Drake est arrivé et que nous avons commencé à échanger, j’ai constaté avec grande surprise que nous écoutions la même musique et que nous regardions les mêmes émissions de télé. Nous avions déjà une connexion culturelle à partir de laquelle il nous a été possible de créer un lien, et cela m’a surpris. Je pense qu’on oublie facilement qu’Internet nous relie, et de bien plus de façons qu’on ne pourrait le croire.
Sean : Le processus de parrainage a vraiment remis en cause l’idée que je me faisais des personnes demandeuses d’asile et de ce que signifie le fait de s’engager pour soutenir quelqu’un qui vit des moments très difficiles. Quand les choses ne vont pas comme prévu, êtes-vous en mesure de travailler de concert avec les autres, même si vous n’êtes pas d’accord avec le résultat final ? Vous est-il possible de faire acte de présence sans porter de jugement ? Pouvez-vous respecter l’autonomie de quelqu’un, même si cette personne prend des décisions avec lesquelles vous n’êtes pas d’accord ? Une des choses les plus surprenantes et gratifiantes que j’ai retirées de cette expérience est une meilleure compréhension de mes propres limites et de la différence entre vouloir soutenir et vouloir sauver quelqu’un.
Quelles ont été les répercussions de la COVID-19 sur votre film ?
Steve : Lorsque la pandémie de COVID-19 a atteint le Canada, en mars 2020, nous en étions au septième mois de la production. Nous avions trouvé notre vitesse de croisière et l’histoire se profilait. Et puis, la pandémie a tout changé. Tous les fils de l’histoire que nous suivions, toute la facture visuelle du film, tout est tombé à l’eau. Nous avons dû tout reprendre depuis le début.
Quand la production a été interrompue, nous avons proposé à l’ONF que les protagonistes filment ce qui se passait dans leur vie à ce moment-là avec un iPhone 11 Pro. Au montage final du film, les scènes tournées avec un téléphone se sont révélées être les moments les plus intimes. Sans la pandémie, nous n’aurions peut-être pas pu capter ces moments-là.
Sean : La phase de montage a dû commencer avant même que nous ayons une fin pour le film, avec sept mois de production encore devant nous. Nous avons travaillé à distance avec le monteur Graham Kew, via Evercast, et nous n’avons jamais passé de temps ensemble dans une salle de montage, ce qui pour nous est une première.
Nous nous faisions aussi beaucoup de souci pour Drake et nous nous inquiétions de ce que cette pandémie signifierait pour lui durant sa première année au Canada. Ce qui est positif, c’est que tout ce temps que nous avons passé avec les protagonistes du film, l’équipe de l’ONF et l’équipe de postproduction nous a permis de nous soutenir les uns les autres et d’avoir un objectif à poursuivre durant la pandémie. Nous avons vraiment eu de la chance que personne ne contracte le virus durant la production. Finalement, cette période a été l’une des plus occupées de notre vie, et tout cela a orienté le film dans une autre direction.
Matériel promotionnel
Bande-annonce
Extrait : fête de Noël
Extrait : recherche d'emploi
Extrait : trouver sa place
Extrait : Kay et Emily
Images
Équipe
Les participants
Générique
Scénario et réalisation
Sean Horlor et Steve J. Adams
Production
Shirley Vercruysse
Teri Snelgrove
Productrice déléguée
Jennifer Roworth
Direction de la photographie
Farhad Ghaderi
Blake Davey
Montage
Graham Kew
Musique originale
Edo Van Breemen
Johannes Winkler
Conception sonore
Oscar Vargas
Images additionnelles
Bryce Zimmerman
Mike Dinsmore
Vince Arvidson csc
Jeremy Cox
Alfonso Chin
Prise de son
Alex Shamku
Oscar Vargas
Xavier Prat
Sandor Gyurkovics
Jeff Henschel
David Pullmer
Coordonnateur technique
Wes Machnikowski
Coordonnateur de production principal
Nathan Conchie
Assemblage
Freya Maude
Recherche
Melissa James
Assistantes de production
Eli Morris
Frankie Tear
Katy Tooth
Assistante au son
Milena Salazar
Traduction
Amos Kambere pour Umoja Operation Compassion Society
LAT Multilingue Traduction et Marketing
Coloriste
Sam Gilling
Montage en ligne
Serge Verreault
Sous-titrage
Zoé Major
Mixage
May Guimarães
Kevin Morales
Musicien
Jeffrey Innes
Coordonnateur technique
Luc Binette
Générique
Jason Lau
Alain Ostiguy
Mettant en vedette (dans l’ordre d’apparition)
Emily
Marlon
Aheri
David
Shira
Anthony
Kay
Chris
Adam
Michael
Brenda
Drake
Issa
Rayan
Conrad
Nous remercions tout particulièrement
Ali Z.
Christopher Zupan
Danny Ramadan
Emily Cooper
Emily Kydd
George Baptist
Hana Prochazkova
Hikmat Termos
Jack Fox
Lizzy Karp
Mathew G.
Moses Mbazira
Megan Lau
Nonna Clark
Paula Amorim
Sandra Chung
Sharon Young
Sizwe Inkingi
Trevor Loke
Remerciements
Rainbow Refugee
Nature Network (Kenya)
Refugee Flag Kenya
40 Love Circle
West Coast Welcome Circle
ROAR Refugees
Foundation Of Hope
Andrew Benson
Brian Nicol
Chad Wilkinson
Elfred Matining
Frances Mahon
Horst Backe
James Chamberlain
James Gough
Jeff Fisher
Lauren Mather
Lex Vides
Lola
Lucifer
Mark Rabnett
Michelle van Beusekom
Phil Walmsley
Ross Johnstone
Sam Aldabak
Sharalyn Jordan
Bob Christie
Simon
Softieshan
Lieux de tournage
Scorer Law Corporation
Vancouver Native Health Society
Douglas College
CAVE Youth Employment Program
Main Street Dance Authority
WISH Drop-In Centre Society
China Cloud Studios
Ride Cycle Club
Aéroport international de Vancouver (Diane Pelosse)
Yuk Yuk’s Comedy Club Vancouver
Opus Art Supplies
Chaos Space — Exposition de photographies
Université Simon Fraser — Harbour Centre
Le Woodward’s Building
Kelly & Kelly
Aunt Leah’s Christmas Tree Lot
Vancouver Pride Society
Musique
BOOM PARTY
Interprétée par Cindy
Composée par Cinderella Sanyu
Publiée chez Sheer Publishing
Avec l’aimable autorisation de Cindy
SOY BONITA
Interprétée par French Horn Rebellion, mettant en vedette Marcy Chin
Composée par David Perlick-Molinari, Robert Perlick-Molinari, Lonique Chin et Luis Doncel
Utilisée avec la permission de Reservoir Media Music (ASCAP) o/b/o
YouTooCanWoo LLC (ASCAP), Party Ensemble Publishing (ASCAP) et Abood Music Limited (PRS)
Avec l’aimable autorisation de toucan sounds
En accord avec ZYNC Music | A Round Hill Company
THE FEAR OF FALLING APART
Interprétée par Geoffroy
Composée par Gabriel Gagnon, Max-Antoine Gendron, Geoffroy Sauvé, Clément Leduc et Nicola Ormiston
Publiée chez Third Side Music
Avec l’aimable autorisation de Bonsound Records
Séquences iPhone
Drake
Kay et Emily
David et Brenda
Conrad
Rayan
Documents d’archives
Refugee Flag Kenya
Rob Newman
Nature Network (Kenya )
Francefootage / Pond5.com
Google
Tribune de la presse parlementaire canadienne
NBC News
Amid ‘Kill the Gays’ bill uproar, Ugandan LGBTQ activist is killed par Tim Fitzsimons
Rolling Stone
More Homos Faces Exposed
The Guardian
‘Gayropa’: challenges and hopes of Europe’s LGBT+ refugees par Bradley Secker
Gay asylum seeker faces deportation from UK to Nigeria par Owen Bowcott
Police arrest 30 at gay pride rally in Moscow par Alexander Winning
LGBT asylum seekers’ claims routinely rejected in Europe and UK par Jon Henley
The Independent
Uganda announces ‘Kill the Gays’ law imposing death penalty on homosexuals par Samuel Osborne
Gay Star News
Chechnya: Police tell parents to ‘kill your gay children or we will’ par Joe Morgan
Associated Press
Gay rights activists take to streets in India par Nirmala George
Ruptly
Nationalists burn LGBT flag while marking 76th anniversary of Warsaw Uprising
Wikipédia
World laws pertaining to homosexual relationships and expression, Silje, en.wikipedia.org/wiki/Homophobia, CC BY-SA 3.0
Administration
Carla Jones
Mise en marché
Kay Rondonneau
Relationniste
Katja De Bock
Conseiller juridique
Peter Kallianiotis
Productrice exécutive
Shirley Vercruysse
Tourné sur le territoire autochtone non cédé appartenant aux peuples salishs du littoral, dont les territoires des Premières nations xwməθkwəy̓ əm (Musqueam), Skwxwú7mesh (Squamish), Stó:lō (Stolo) et Səl̓ílwətaʔ/Selilwitulh (Tsleil-Waututh)
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L’ONF en bref
Fondé en 1939 et unique en son genre, l’Office national du film du Canada (ONF) produit, coproduit et distribue des documentaires et des films d’animation distinctifs, engageants, pertinents et innovants. Incubateur de talents, il est un des plus grands laboratoires de création au monde. Depuis plus de huit décennies, l’ONF permet aux Canadiennes et aux Canadiens de se raconter et de se rencontrer. Ses films sont de plus une ressource éducative fiable et accessible. L’ONF possède également une expertise reconnue mondialement en préservation et en conservation, en plus d’une riche collection vivante d’œuvres qui constituent un pilier important du patrimoine culturel du Canada. Jusqu’à maintenant, l’ONF a produit plus de 14 000 œuvres, dont 6500 sont accessibles gratuitement en ligne sur onf.ca. L’ONF ainsi que ses productions et coproductions ont remporté au-delà de 7000 prix, dont 11 Oscars et un Oscar honorifique récompensant l’excellence de l’organisation dans toutes les sphères de la cinématographie.