Une fille tranquille
2023 | 86 min 15 s
Documentaire
Version originale avec sous-titres en français
Prix et festivals
Sélection officielleBelleville Downtown DocFest, Canada (2024)
Sélection officielleAvailable Light Film Festival, Canada (2024)
Sélection officielleAtlantic International Film Festival, Halifax, Nouvelle-Écosse (2023)
Nomination - Meilleur long métrage documentaireSilver Wave Film Festival, Canada (2023)
Sélection officielleRendez-vous Québec Cinéma (2024)
Dans Une fille tranquille, le cinéaste montréalais Adrian Wills s’engage à dénouer, devant la caméra et en temps réel, le mystère entourant l’histoire complexe de son adoption à Terre-Neuve. Encouragé par un mince indice sur son document d’adoption, il amorce un périple de deux ans qui le mènera de la beauté sauvage de l’extrême-est du Canada à la chaleur rougeoyante de l’Arizona. Ce qu’il déterre lui fait saisir le sens du mot « famille », alors qu’il découvre d’inquiétants parallèles entre sa vie et celle de la mère biologique qu’il n’a jamais connue.
Combinant des conversations profondément personnelles, des séquences en 16 mm et des images éblouissantes, ce poignant long métrage documentaire transforme une quête d’identité en un vœu, celui de donner une voix à cette fille tranquille. Et du même élan, l’hommage que rend ici le cinéaste à la résilience de sa mère biologique révèle la sienne.
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SYNOPSIS LONG
Jusqu’où chercher la vérité ?
« Quand on est adopté, on se sent isolé toute sa vie », confie d’emblée le cinéaste montréalais Adrian Wills dans son nouveau – et poignant – documentaire Une fille tranquille. De la beauté sauvage de l’Extrême-Est canadien à la chaleur rougeoyante de l’Arizona, la caméra le suit dans une odyssée de deux ans durant laquelle il apprendra des vérités, parfois bouleversantes, sur son adoption à Terre-Neuve au début des années 1970. Encouragé par un mince indice sur son document d’adoption, Adrian s’engage à filmer tout ce qu’il découvre en temps réel.
Même si, sa vie durant, il s’est employé à cerner son histoire familiale, ce qu’il déterre lui fait saisir le sens du mot « famille », alors qu’il découvre d’inquiétants parallèles entre sa vie et celle de la mère biologique qu’il n’a jamais connue. Dans la communauté farouchement catholique où elle vivait, cette célibataire que tout le monde décrit comme « une fille tranquille » avait devant elle un avenir radicalement limité. Mais d’autres faits, plus sombres et plus troublants, poussent le cinéaste à creuser davantage, quitte à affronter ses propres vulnérabilités et les événements survenus après son adoption à l’âge de quatre mois seulement.
Sur son île natale dans l’Atlantique, il est frappé par l’esprit communautaire et la générosité de gens travailleurs qui ont foi tant en leur religion qu’en leurs semblables. Si leur réalité paraît aux antipodes de la vie urbaine de Montréal, ville de sa famille adoptive, chacune recèle sa part de secrets. L’auteur terre-neuvien Michael Crummey fait d’ailleurs remarquer au cinéaste que « même la plus petite communauté renferme le monde entier — avec tout ce qu’il comporte de bon et de mauvais ».
Émaillant ses conversations profondément personnelles de séquences en 16 mm empreintes de poésie et d’images éblouissantes, Adrian Wills éclaire les dures réalités d’une vie complexe sous un jour éminemment humain. Son film transforme une quête d’identité en un vœu, celui de donner une voix à cette fille tranquille. Et du même élan, l’hommage qu’il rend à la résilience de sa mère biologique révèle la sienne.
UNE ET DEUX LIGNES
En deux lignes
Dans Une fille tranquille, le cinéaste montréalais Adrian Wills découvre, devant la caméra et en temps réel, des vérités surprenantes sur l’histoire complexe de son adoption à Terre-Neuve. Des faits troublants lui révèlent toute la résilience de sa mère biologique et, en fin de compte, la sienne. Ce poignant long métrage documentaire, qui combine des conversations profondément personnelles, des séquences en 16 mm et des images éblouissantes, transforme sa quête d’identité en un vœu, celui de donner une voix à cette fille tranquille.
En une ligne
Lorsque le cinéaste Adrian Wills se met à enquêter, en temps réel, sur l’histoire entourant son adoption, son périple lui révèle des vérités qu’il n’aurait jamais soupçonnées et des réalités troublantes qu’il avait tenté d’oublier.
ENTRETIEN AVEC LE RÉALISATEUR ADRIAN WILLS
Lorsque vous avez commencé à tourner le film, votre intention était de révéler, en temps réel, ce que vous alliez découvrir. Pourquoi ce choix ?
J’ai vu beaucoup de films sur l’adoption avant de faire Une fille tranquille et je voulais créer quelque chose qui reflète ce que je ressentais, ce sentiment de ne rien savoir et de me sentir coupé du reste du monde en raison de mon adoption. Je voulais inviter le public à vivre cette expérience de manière vraie. C’est pourquoi j’ai accepté de révéler mon histoire de la même façon qu’elle se révélait à moi : en temps réel et à l’écran.
Y a-t-il eu un moment où cette transparence a été particulièrement exigeante ou libératrice ?
En tant que cinéaste, j’ai l’habitude de suivre un scénario et un ou une protagoniste. Pour Une fille tranquille, je suis devenu ce protagoniste ! À l’origine, mon intention était de trouver ma mère biologique, de découvrir Terre-Neuve et de reconstituer la personne que j’aurais pu être dans une autre vie. Mais je n’avais pas prévu que cette quête me mènerait au cœur même de mes incertitudes, de mon insécurité et de mes peurs. C’était très exigeant, car tout était filmé, la surprise comme, parfois, l’accablement.
Lorsque j’ai appris que ma mère biologique, Mary Margaret, était décédée — exactement à l’âge que j’avais quand j’ai réalisé ce film —, tout a changé pour moi ; pas uniquement dans le film, mais également dans ma vie. J’ai dû faire le deuil douloureux de quelqu’un que je n’avais pas connu et, en même temps, de quelque chose que je ne pouvais pas avoir. Au même moment, je rencontrais sa famille et prenais connaissance de son histoire, et je découvrais des sentiments que je ne croyais pas pouvoir ressentir. Quelque chose mourait et quelque chose naissait en même temps. Cette transparence de ma démarche m’a permis de tout montrer à l’écran.
Beaucoup de mythes circulent au sujet de l’adoption. Y en a-t-il un que votre histoire réussit à déconstruire ?
L’idée que, comme dans un film de Disney, un enfant arrive dans une nouvelle famille qui l’enveloppe de son amour désintéressé et bienveillant. Et que cet enfant trouvera forcément un monde et une vie meilleurs. Ça arrive, évidemment ! Mais, comme tout mythe, ça ne prend pas en compte les nuances et les difficultés que l’enfant connaîtra tout au long de sa vie parce qu’il n’est pas issu de cette famille adoptive. C’est quelque chose qu’il sait pertinemment au fond de lui. Il n’a pas ce sentiment d’appartenance confortable qui lui permet, en regardant ses parents, de comprendre d’où il vient, en comparant leur manière de rire ou de s’exprimer, par exemple, ou encore la taille de leurs mains ou la forme de leur nez aux siennes. Il a plutôt cette impression de déconnexion, que j’ai moi-même vécue et que j’ai aussi vue chez ma petite sœur. Plus je me suis intéressé aux histoires d’adoption des autres et plus j’ai compris que ce sentiment de profonde déconnexion est commun à celles et ceux qui ont été adoptés. Mais on en parle rarement. C’est ce que je voulais aborder en faisant ce film, et j’ai aussi fini par constater à quel point on reste attaché à sa lignée biologique.
Votre famille adoptive et votre famille biologique ont vécu à la même époque, mais dans des situations extrêmement différentes. Pourtant, l’une et l’autre avaient des secrets. Pourquoi les familles ont-elles des secrets ?
C’est compliqué, la famille. Je ne sais pas s’il y a des secrets dans toutes les familles, mais je peux dire qu’ils ont défini la mienne. Ce qui est fou, c’est que j’ai été adopté dans un milieu urbain, où l’un de mes parents travaillait dans l’univers de la mode, alors que je venais d’une famille très pratiquante établie dans une petite ville. Ces environnements étaient à l’opposé l’un de l’autre, et pourtant, les deux familles avaient leurs secrets. Nous, les humains, avons toutes et tous des secrets, il me semble. Et le fait de les révéler nous grandit, la plupart du temps. Les secrets qu’on dévoile sont comme des couches de peau morte qui finissent par tomber, comme celle du serpent quand il mue : c’est ce que j’ai ressenti en faisant ce film et ce que j’ai observé chez les sœurs de Mary Margaret et les autres personnes que j’ai rencontrées durant le tournage.
Au début du film, on ne voit pas les membres de la famille de votre mère biologique, mais ils finissent par participer pleinement. Pouvez-vous nous parler de la façon dont vous avez gagné leur confiance ?
Dès le début, ma tante Ellen et ma cousine Mara m’ont dit qu’elles ne voulaient pas être à l’écran. Mais chaque fois que j’allais à Terre-Neuve pour le tournage, je prenais contact avec elles et nous allions manger un morceau, ou bien elles m’invitaient à souper chez elles. Nous allions marcher et nous parlions. Je leur racontais ce que je découvrais à propos de ma mère biologique, parce que ma tante Ellen en savait peu sur ce qui était arrivé à sa sœur après que celle-ci m’eut donné en adoption. Dès nos premières rencontres, Ellen m’a très gentiment remis un arbre généalogique, des photos de famille et dit tout ce qu’elle savait de la lignée familiale. Mais c’est seulement une fois que nous avons développé une relation plus étroite, en privé, qu’elle a accepté d’être filmée. Je me suis aussi rapproché de ma tante Johannah, par courriel. Je l’ai rencontrée en Arizona et, comme on le voit dans le film, j’en ai appris beaucoup sur Mary Margaret. J’ai appris énormément de choses dont je n’avais aucune idée et que ma tante Ellen ne savait pas non plus, et c’est comme ça que j’ai compris qu’il existait des similitudes entre nos vies respectives. Je dirais donc que la confiance a été gagnée progressivement, grâce à l’honnêteté, au respect et à la douceur dont nous faisions preuve les uns envers les autres, et à cette forme d’amour familial qui émergeait.
Si vous deviez refaire ce film aujourd’hui, y a-t-il quelque chose que vous feriez différemment ?
Mon processus de création était basé sur mon ressenti et sur l’autorisation que je m’accordais de vivre cette expérience. Si j’avais su où mon engagement à faire preuve de transparence et ma profonde croyance en la vérité allaient me mener, est-ce que j’aurais fait ce film ? Je ne le sais pas, mais ce que je sais, c’est qu’il m’a apporté bien plus que tout ce que j’aurais pu imaginer. Avant de le faire, en tant que personne adoptée, je pensais que le monde commençait avec moi et que toute histoire qui me précédait était comme un mur, un mur que je croyais infranchissable. L’histoire de mes origines commençait avec ce mur. Quand le film a été terminé, j’ai compris que ce qui me précédait n’était pas un mur. C’était un barrage, et ce barrage avait cédé, libérant toute mon histoire et une partie de mon identité. Ce film m’a offert une perspective et donné une force que je n’aurais jamais cru avoir.
Il est plutôt rare qu’un homme exprime des émotions complexes à l’écran. À quelle source avez-vous puisé pour vous montrer ainsi vulnérable ?
J’étais perturbé par toute la confusion qui régnait alors autour de l’identité de ma mère biologique et par tous les défis auxquels je faisais face pour trouver de l’information concrète. Chaque fois que je trouvais un nouvel élément, elle se révélait à moi sous un autre jour. C’était un peu comme peler un oignon, couche après couche, pour arriver au cœur. Un peu comme courir après un fantôme pour voir son visage. Et plus j’en apprenais, plus j’avais envie de la protéger.
J’étais manifestement à fleur de peau, mais à partir d’un certain point, je n’ai plus envisagé cette histoire comme un film, mais plutôt comme ma vie. J’avoue que le processus a été ardu. À plusieurs reprises, je me suis retrouvé avec un portrait inachevé d’elle et j’ai dû vivre avec ce portrait incomplet jusqu’à mon séjour suivant à Terre-Neuve. C’est ça qui me rendait le plus émotif : faire le deuil en temps réel d’une mère que je ne rencontrerais jamais. Alors, je n’ai jamais vraiment songé au fait que je me montrais vulnérable en faisant ce film. J’ai simplement abordé avec honnêteté tout ce que je vivais.
Qu’aimeriez-vous que le public retienne de votre film ?
Que la vérité n’est pas toujours facile à entendre. Comme Michael Crummey le fait remarquer dans le film, ça peut sérieusement vous détraquer. Mais ne pas savoir, ne pas regarder les choses en face, c’est un peu comme vivre dans une bulle, ne pas vivre vraiment. La vérité se situe au carrefour de la vie. C’est ce que, moi, j’en ai retenu et ce que je souhaite, c’est que le film pousse celles et ceux qui le voient à trouver leur propre vérité, quelle qu’elle soit.
Extraits
Images
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Équipe
Générique
Écrit et réalisé par
Adrian Wills
Montage
Heidi Haines
Direction de la photographie
Van Royko
Images additionnelles
Mario Janelle
John Walker
Musique originale
Tim Baker
Lullaby for Mary Margaret
par Mara Pellerin
Conception sonore
Sacha Ratcliffe
Recherche
Wanda Nolan
Production
Annette Clarke
Nous remercions particulièrement
Ellen Cousins Pellerin
Mara Pellerin
Johannah Cousins Malti
Walter Ungerer
Nina Wills
Kristin Wills Dahlen
Roland Burry
Shawn et Connie Burry
Michael Crummey
Jean Ann Farrell
Les Majors Bob et Cassie Kean
Lorraine Rideout
Anne Roane Sheldon
Linda Swain
Norm et Cavell Woodland
Opérateurs
Julio Alvarez
Simran Dewan
Lauren Guarneri
Mark O’Neill
Cody Westman
Prise de son
Josh Owen
Prise de son additionnelle
Don Ellis
Lisa Gage
Michelle Lacour
Scott Yates
Photographie en chambre noire
Bud Gaulton
Directrice de production
Lynn Andrews
Transcription
Lori Heath
Tamara Segura
Bruitage
Karla Baumgardner
Enregistrement du bruitage
Geoffrey Mitchell
Conception sonore additionnelle
Isabelle Riche
Musiciens
Tim Baker – pianos, orgues, synthétiseurs, guitares, banjos, voix
Mara Pellerin – voix
Musique additionnelle
Swimming Back
When I Meet My Mother
Greenspond
A Whole New Beginning
Mary’s Lighthouse
New Arizona Wind
Sainte Maries Waters
Toute musique additionnelle de Tim Baker 2022
Avec la permission de Plug Your Ears Publishing Ltd.
Archives visuelles
CBC Archive Sales
Archives ONF
Adrian Wills
Walter Ungerer
Lorraine Rideout
Montreal Gazette, une filiale de Postmedia Network Inc.
Ottawa Citizen, une filiale de Postmedia Network Inc.
Time Magazine – PARS International Corp.
Bibliothèque municipale AC Hunter
Remerciements
Brent Abbott
Elise Allen
Nicholas Aspinal et Cara Faith
Jishnu Banerjee et Julie Piesina
Rudolf et Nicole Benes
Marie France et Bruno Benes
Cathy Levy et Martin Bolduc
Luc Bourdon
Sergio Bubalo
Alison Burns
Craig Burry
Jeremy Charles
John et Janet Cheffins
Martin Cheffins
John Christou
Mercedes Clarke
Patricia T. Cleary
Major Rex Colbourne
Martin Cormier
Melissa Cranenburgh
Rosetta Crigna
Genevieve Dahlen
Marielle Dalpe
Janet Davis
Anthony et Lila Debono
Fred et Laura Debono
Michael Debono
Francis Delfour
Simran Dewan
Mark Dodwell
Barbara Doran
Sean Doran
Danae Elon
Gary Evans
Elisabeth Feltaous
Ray Fennelly
Jordan Ford
Giulia Frati
Karina Garcia
Mark Cohen et Tracie Gemmel
Larisa Gutmanis
Carrie Haber
Michael Crummey et Holly Hogan
Catherine Kalbfleisch
James Keyton
Duke et Fred Kelloway
Ray Kenny
Helene Klodawsky
Andy Gibson et Donna Kooi
Aleks Krawczyk et la famille Krawczyk
Hanna Maria Laakso
Robert Lacerte
Elaine Larivière
Sébastien Tetrault
Lou et Marie Christine Letourneux
Khim, Jun, Vanessa et Ben Len
Catherine Lejtenyi
Ken et Michelle Lejtenyi
Suzanne Lush
Korbett Matthews
Catherine Mckenzie
Shandi Mitchell
Jon Montes
Linda et Pat Mullaly
Isabelle, Mikha et Vivianne Murphy
Patrick Culhane
Samuel, Charlotte et Stephanie Murphy
Ariel Nasr
John, Vanessa et Jean Nicolai
Wanda Nolan
Michel Ouellette
Jeana Park
Wade Parsons
Romin Petros et sa famille
Ron, Beth Ann et Krystin Pellerin
David Price
Menzel Rideout
Brett et Michael Rigby
Paula Roberts
Walter Ungerer et Dianna Rust
Rowan Salger
Tamara Segura
Lynne Shelton
Monique Simard
Justin Simms
Rick Stanley
Violet Sturge
Winnifred Sturge
Peter Svatek
Nicholas Synnott, Vanessa et famille
Tasha Theophilos
Brigid Tierney
Glen Tilley
Thea et Devan Toole
Vincent Trundle
Geoff Uloth
Ami Vaillancourt
Theo et Rosa van der Muellen
Lina et Peter Vennix
Michelle et Ali Vennix
Tanja et Dustin Vennix
John Walker
Mary Walsh
Victoria Wells
Linda White
Aonan Yang
Ellie Yonova
La Ville de St. John’s
College of the North Atlantic
Greenspond Historical Society
Les services d’adoption de Montréal
NIFCO
Puffin Island Lightstation
L’Armée du Salut de la Citadelle de Gander
L’Armée du Salut de New-Wes-Valley
Le Service de police de Sault-Sainte-Marie
L’Institut de formation en soins infirmiers Southcott Hall
VOCM
Superviseure de production
Roz Power
Coordonnateurs techniques
Daniel Lord
Christopher MacIntosh
Andre Solat
Conception du générique et infographie
Mélanie Bouchard
Fred Casia
Alain Ostiguy
Montage en ligne
Serge Verreault
Sous-titrage
Zoé Major
Conseiller linguistique
Philip Lewis
Techniciens montage numérique
Patrick Trahan
Pierre Dupont
Marie-Josée Gourde
Mixage
Isabelle Lussier
Productrice associée
Kelly Davis
Administration
Leslie Anne Poyntz
Mise en marché
Jamie Hammond
Relationniste
Osas Eweka-Smith
Conseillère juridique
Dominique Aubry
Producteurs exécutifs
Studio du Québec et de l’Atlantique
Annette Clarke
John Christou
Rohan Fernando
Writers Guild of Canada
Directors Guild of Canada / Guilde canadienne des réalisateurs
Canadian Federation of Musicians / Fédération canadienne des musiciens
Une fille tranquille
onf.ca
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