Tuer un tigre
2022 | 125 min
Documentaire
Version originale en Hindi et en Nagpuri, sous-titrée en français
Prix et festivals
Prix du Jury - Meilleur long métrage documentaireMammoth Lakes Film Festival, États-Unis (2023)
Prix Amplify Voices pour meilleur long métrage canadienToronto International Film Festival, Canada (2022)
Prix meilleur documentairePalm Springs International Film Festival, États-Unis (2022)
Meilleures images dans un long métrage documentairePrix Écrans canadiens, Toronto, Canada (2023)
Meilleur montage dans un long métrage documentairePrix Écrans canadiens, Toronto, Canada (2023)
Meilleure musique originale dans un long métrage documentairePrix Écrans canadiens, Toronto, Canada (2023)
Prix "Beyond the Screen"Doc Aviv –Tel Aviv International Documentary Film Festival, Israel (2023)
Prix du meilleur documentaireNew York Indian Film Festival, New York, États-Unis (2023)
Prix du meilleur long métrage documentaireMosaic International South Asian Film Festival (MISAFF), Toronto, Canada (2023)
Prix spécial du jury, Prix Michael Sullivan du journalisme documentaireSalem Film Fest, Massachusetts, États-Unis (2023)
Prix du long métrage Voix et perspectives inspirantesCinéfest Sudbury International Film Festival, Canada (2022)
Sélection officielleCanada's Top 10, Toronto International Film Festival, (2022)
Sélection officielleDallas International Film Festival, États-Unis (2023)
Sélection officielleSeattle International Film Festival, États-Unis (2023)
Sélection officielle, Film de clôture London Indian Film Festival, UK (2023)
Plus de prix et sélections
Une coproduction de Notice Pictures Inc. avec l’Office national du film du Canada
« Tuer un tigre raconte comment la force d’une famille peut surmonter les injustices, aussi odieuses soient-elles. Nisha est une conteuse d’une puissance remarquable et son film, un triomphe. Tout le monde devrait le voir. »
— Mindy Kaling
Dans un petit village indien, Ranjit découvre à son réveil que sa fille de 13 ans n’est pas rentrée d’un mariage familial. Quelques heures plus tard, elle est retrouvée rentrant chez elle en titubant. Après avoir été traînée dans les bois, elle a été violée par trois hommes. Ranjit les dénonce à la police, et les coupables sont arrêtés. Mais le soulagement de Ranjit est de courte durée, car les villageois et leurs dirigeants lancent une campagne soutenue pour obliger la famille à abandonner les poursuites.
Documentaire dynamique axé sur le récit, Tuer un tigre suit le combat difficile que livre Ranjit afin que justice soit rendue à son enfant. En Inde, où un viol est signalé toutes les 20 minutes et où le taux de condamnation est inférieur à 30 %, la décision de Ranjit de soutenir sa fille est pratiquement inédite. Au plus près des protagonistes, nous suivons le parcours émotionnel d’un homme ordinaire confronté à des circonstances extraordinaires : un père dont l’amour pour sa fille provoque une prise de conscience sociale qui aura des répercussions pendant de nombreuses années.
Bande-annonce
Affiche
NOTE AUX MÉDIAS
Tuer un tigre porte sur un sujet particulièrement délicat. La fille de Ranjit a maintenant plus de 18 ans et elle a consenti à ce que son identité soit révélée dans le contexte du présent documentaire, motivée par l’espoir que son histoire puisse aider d’autres filles et leur famille qui vivent des situations similaires. Par mesure de prudence et par respect pour la vie privée de la jeune fille et celle de sa famille, nous vous prions de vous abstenir de publier dans les médias son nom ou toute image permettant de l’identifier. La cinéaste recommande comme solution de rechange d’utiliser les termes « fille de Ranjit » ou le pseudonyme « J ». Nous vous remercions de votre compréhension.
En deux phrases et en un paragraphe
DEUX PHRASES :
Dans Tuer un tigre, Ranjit, un fermier du Jharkhand, entreprend le combat de sa vie lorsqu’il demande justice pour sa fille de 13 ans, victime d’un viol collectif brutal. En Inde, où un viol est signalé toutes les 20 minutes et où le taux de condamnation est inférieur à 30 %, la décision de Ranjit de soutenir sa fille est pratiquement inédite et son parcours, sans précédent.
UN PARAGRAPHE :
Le soir d’un mariage familial dans un village indien, la fille de Ranjit, âgée de 13 ans, est entraînée dans les bois et violée par trois hommes. Ranjit entreprend le combat de sa vie en exigeant que les accusés soient traduits en justice. En nous donnant un formidable accès à toutes les facettes de l’histoire, Tuer un tigre raconte le parcours émotionnel d’un homme ordinaire plongé dans des circonstances extraordinaires : un père dont l’amour pour sa fille provoque une prise de conscience sociale qui aura des répercussions pendant de nombreuses années.
Synopsis long
Dans un petit village du Jharkhand, en Inde, Ranjit découvre à son réveil que sa fille de 13 ans n’est pas rentrée d’un mariage familial. Après plusieurs coups de fil, des recherches sont entreprises et elle est retrouvée titubant vers chez elle quelques heures plus tard. Elle avait été traînée dans les bois puis violée par trois hommes, tous connus de la famille. Ranjit et sa femme se rendent les dénoncer à la police, et les hommes sont arrêtés.
Mais le soulagement de la famille est de courte durée : les villageois et leurs dirigeants lancent une campagne soutenue pour obliger Ranjit à abandonner les poursuites. Ils exigent que la jeune fille épouse l’un de ses violeurs, une solution répandue dans les communautés. C’est selon eux le seul moyen de restaurer son honneur et celui de la collectivité. Ranjit défie leurs ordres et se lance dans une quête périlleuse, se frayant un chemin à la fois dans le labyrinthe des tribunaux indiens et à travers les dangers qui se multiplient dans son village.
Documentaire dynamique axé sur le récit, Tuer un tigre suit le combat difficile que livre Ranjit afin que justice soit rendue à son enfant. En Inde, où un viol est signalé toutes les 20 minutes et où le taux de condamnation est inférieur à 30 %, la décision de Ranjit de soutenir sa fille est pratiquement inédite et son parcours, sans précédent.
Sa position suscite l’intérêt de la Fondation Srijan, une ONG qui s’efforce de sensibiliser les hommes et les garçons aux droits des femmes. Compte tenu du travail qu’elle effectue, la Fondation considère Ranjit comme un modèle et une source d’inspiration pour les autres hommes.
Le soutien de cet organisme ainsi que la présence de l’équipe de tournage attisent la colère des villageois et, alors que le procès commence, des menaces de violence se profilent. Ostracisé par la communauté, aux prises avec des dettes qui vont croissant et craignant pour lui-même et sa famille, Ranjit commence à craquer et tout le processus risque de dérailler.
En nous donnant un formidable accès à toutes les facettes de l’histoire, Tuer un tigre raconte le parcours émotionnel d’un homme ordinaire confronté à des circonstances extraordinaires : un père dont l’amour pour sa fille provoque une prise de conscience sociale qui aura des répercussions pendant de nombreuses années.
MOT DE LA RÉALISATRICE NISHA PAHUJA
Au départ, Tuer un tigre était un film complètement différent. Intitulée Send Us Your Brother (envoyez-nous votre frère), la version d’origine était une exploration plus fouillée et directe de la masculinité en Inde. Elle était centrée sur Mahendra Kumar, le militant pour les droits des femmes qui joue un rôle clé, quoique mineur, dans la version actuelle.
Mahendra dirigeait un programme de grande envergure dans le Jharkhand où, avec d’autres militants, il travaillait auprès d’hommes et de garçons à changer l’idée que ces derniers se faisaient des genres. Ranjit était l’un des participants au programme.
À mesure que Ranjit dévoilait son histoire, j’ai commencé à me dire que son odyssée pourrait fort bien devenir le cœur du film, tandis que le travail et la vie personnelle de Mahendra fourniraient un contexte élargi. L’impact qu’avait l’activité du militant sur deux jeunes garçons, Ashish et Karan, était particulièrement intéressant.
Ces trames narratives, avec leur richesse et leur complexité intrinsèques, visaient à expliquer le « pourquoi » du viol tragique qui constitue le point central du film : un acte qui ne cesse de faire les grands titres, mais qui se répète continuellement en Inde. En tant que réalisatrice, je me débats avec ce « pourquoi » depuis plus d’une décennie. En essayant de comprendre comment se crée la mentalité des hommes et des garçons, spécialement dans la culture indienne, j’ai tenté de faire la lumière sur la question.
Abandonner Send Us Your Brother pour faire place au présent film a été un processus graduel. Tout comme les monteurs Mike Munn et Dave Kazala, et les responsables de la production Cornelia Principe et David Oppenheim, je tenais beaucoup à l’approche originale.
Nous avons fini par présenter un montage sommaire de cinq heures à deux cinéastes en qui nous avons toute confiance, Manfred Becker et Nick Hector. Tous deux étaient d’avis que le contenu renfermait plus d’un film, et que l’histoire de Ranjit était beaucoup trop dramatique pour être racontée parmi les autres.
Changer de cap après des années de travail a été à la fois difficile et libérateur. La beauté de la nouvelle approche résidait dans sa simplicité. En nous concentrant sur une seule histoire, nous pouvions brosser un portrait plus complet des autres protagonistes en cause, à savoir le représentant de l’administration locale, la femme de Ranjit, Jaganti, et surtout, sa fille « J ».
Même si elle est assurément la victime d’un crime brutal, « J » est beaucoup plus. Son corps de 13 ans est le champ sur lequel se livre une bataille épique vieille comme le monde, où s’affrontent pouvoir, honneur, communauté et justice.
En exigeant de son pays qu’il lui accorde ses garanties juridiques, elle réclame en fait un changement et demande le rétablissement d’un ordre moral beaucoup plus profond, enraciné dans le principe de « ne pas nuire ».
Il faut sans doute toute une vie pour explorer les notions qui sous-tendent ce principe et comprendre comment s’y conformer dans son sens le plus évident et dans ses nuances. Contentons-nous de dire que le respect du principe nécessite inévitablement que la loi joue un rôle, cela va de soi — car, en tant qu’individus, nous sommes toutes et tous plus ou moins aveugles.
Il serait négligent de ma part de parler de moralité sans aborder la dimension éthique du fait de filmer une victime de viol, qui plus est, une enfant. Quand j’ai appris ce qui était arrivé à « J », j’ai décidé de ne jamais lui poser de questions sur cette nuit-là. Je ne voulais pas non plus montrer son visage, en partie parce que c’est ce qu’exige la loi indienne, mais aussi parce que c’était la meilleure chose à faire.
Mais je me suis rendu compte très tôt qu’il ne serait pas possible de dissimuler la protagoniste en plein tournage étant donné notre approche relevant du cinéma-vérité. Je ne voulais pas non plus ajouter à son sentiment de honte en utilisant des moyens classiques afin de masquer son identité. Alors, je me suis dit que j’allais trouver une façon efficace d’illustrer sa présence dans le film au moment de la postproduction, de préférence par l’animation.
Toutefois, en approfondissant l’histoire, j’ai compris que tant la loi que la culture indiennes interprétaient le viol comme une source de « honte » ou de « déshonneur » pour la victime. Si bien que l’idée même de cacher son visage m’a finalement semblé odieuse. J’ai eu l’impression que de ne pas montrer « J » équivalait à perpétuer le préjugé que je critiquais. Mais qui étais-je pour imposer ce point de vue à une enfant, surtout une enfant appartenant à une communauté aussi vulnérable ?
Au montage, nous avons essayé plusieurs techniques pour cacher son visage : divers types d’animation ; un flou simple, mais artistique ; nous lui avons même prêté un nouveau « visage » en nous servant de la technologie utilisée dans Bienvenue en Tchétchénie. Mais aucune de ces méthodes ne donnait de résultats probants. Et pourquoi en aurait-il été autrement ? Chacune d’elles, même exécutée à la perfection, privait la victime d’un peu de son humanité.
J’ai donc commencé à aborder l’idée de révéler son identité, en premier lieu avec ses parents, puis tout doucement, avec elle. Mais nous nous sommes toutes et tous entendus pour dire que la décision finale lui revenait tout entière. Quelques semaines plus tard, la courageuse preneuse de son Anita Kushwaha a pris l’avion pour Ranchi et a présenté le montage final à la famille.
Cela fait, le groupe m’a jointe par Zoom et, à voir les visages, j’ai tout de suite compris. Le film témoignait d’une période très douloureuse dans la vie de la famille, mais il avait également capté l’immense amour et la grande force d’un noyau familial exceptionnel, qui n’avait aucune raison d’avoir honte et qui n’avait rien à cacher. Donc, « J » a accepté d’être vue et qu’on utilise son prénom dans le film. Elle avait alors atteint 18 ans.
Sa décision a profondément ému toute l’équipe ayant travaillé au film. Je savais toutefois que l’Inde n’était pas nécessairement prête à une prise de parole si audacieuse de la part d’une jeune femme. Dans un pays où plus de 90 % des viols ne sont pas signalés et où moins de 30 % donnent lieu à des poursuites concluantes, la décision de la victime de se faire connaître a été particulièrement courageuse. Je voulais m’assurer que nous allions court-circuiter toute conséquence éventuelle de ce choix.
Donc, dans un dernier geste de prudence, et sur le conseil de militants indiens, je demande aux médias et aux membres du public d’éviter de montrer le visage de « J » ou d’utiliser son nom tant que le film ne sera pas sorti en Inde. Le lancement sera planifié avec soin et de manière stratégique, de concert avec le mouvement pour les droits des femmes dans ce pays. J’espère que, lorsque vous aurez vu le film, vous choisirez de protéger l’anonymat de la jeune femme parce que cette nécessité s’imposera à vous.
Il aura fallu huit ans pour réaliser Tuer un tigre. Ce film, c’est la fusion des talents créateurs de nombreuses personnes et de leur détermination à raconter l’histoire : le compositeur Jonathan Goldsmith, le monteur de musique Jordan Kawai, l’aide-monteur Pranay Nichani, le lecteur-analyste de scénarios Manfred Becker, la productrice exécutive Anita Lee, ainsi que le producteur David Oppenheim et la formidable productrice Cornelia Principe.
J’éprouve une profonde gratitude envers l’ONF, qui nous a soutenus au fil de ce long parcours accidenté et qui a cru en moi en tant que cinéaste. De plus, je tiens à remercier l’équipe de la production exécutive — Andy Cohen, Drew Dragoumis et Atul Gawande, ainsi que Mala Gaonkar — de sa générosité et de sa créativité… Et de n’avoir jamais refusé de visionner un montage !
Enfin, je veux souligner l’apport de quatre membres de l’équipe — les monteurs Mike Munn et Dave Kazala, la preneuse de son Anita Kushwaha et mon mari, le directeur photo Mrinal Desai. Leur foi en ce film et en ce qu’il pouvait devenir n’a jamais fléchi. On nous avait offert un cadeau, et nous savions que nous devions à Ranjit et à sa famille de donner le meilleur de nous-mêmes, tant sur le plan artistique que sur le plan humain.
Déclarations des protagonistes du film
« Nous voulions montrer au monde que ces crimes ne devraient pas se produire et que, s’ils se produisent, ils doivent être punis. Le fait que ma fille accepte d’être vue est une démonstration de force. J’étais fier qu’elle soit prête à se battre. En tant que père, il est de mon devoir de me battre pour elle. Je voulais qu’elle accepte que rien ne pourrait changer ce qui s’était passé. Mais si elle avait choisi de se cacher et de ne pas s’affirmer, qui connaîtrait cette fille courageuse ? Choisir de se montrer, c’était faire preuve de fierté et de courage. »
— Ranjit
« Les gens devraient voir ce film parce que nous avons fait preuve de courage. Comment affronter les autres, comment faire face à ce genre de situation : tout le monde peut en tirer des leçons. Et se dire : “Si sa famille peut le faire, pourquoi pas nous ?” Je tenais à me montrer à visage découvert. Après avoir vécu tout cela, pourquoi aurais-je dû me cacher ? Au début, je me demandais ce que les gens allaient penser, mais maintenant je me dis qu’après avoir traversé ces épreuves, ça n’aurait pas eu de sens de reculer. C’est pourquoi je pense qu’il faut me montrer dans le film. Parfois, je n’arrive pas à croire que c’était moi — comment ai-je trouvé le courage ? Mais quand on vit un tel événement, il est possible de trouver du courage. »
— La fille de Ranjit
« La fille de Ranjit s’est élevée contre l’injustice dont elle a été victime. C’est un geste audacieux contre la pensée patriarcale. Et Ranjit est un homme et un père exemplaire. Il a résolument soutenu sa fille et a défié les normes et les institutions patriarcales de sa société. Je les salue tous les deux de tout cœur. Leur engagement peut servir d’exemple à d’autres. Il y a des milliers de filles comme celle de Ranjit. Peut-être trouveront-elles désormais le courage de dénoncer tout crime commis à leur encontre et pourront-elles mener une vie sécuritaire et digne. »
— Mahendra Kumar, militant des droits de la femme
Extraits
Images
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Équipe
Générique
Écrit et réalisé par
NISHA PAHUJA
Productrice
CORNELIA PRINCIPE
Productrices
NISHA PAHUJA
DAVID OPPENHEIM
Producteur exécutif
ANDY COHEN
Productrice exécutive
ANITA LEE
Producteur exécutif
ATUL GAWANDE
Producteur exécutif
ANDREW DRAGOUMIS
Productrices exécutives
NISHA PAHUJA
CORNELIA PRINCIPE
Monteurs
MIKE MUNN CCE
DAVE KAZALA CCE
Directeur de la photographie
MRINAL DESAI
Musique originale
JONATHAN GOLDSMITH
Preneuse de son
ANITA KUSHWAHA
Recherches
NISHA PAHUJA
Recherches d’archives
ERIN CHISHOLM
Conseiller artistique
ANDY COHEN
Chef scénariste
MANFRED BECKER
Consultant exécutif
PRIYA DORASWAMY
Coordonnateur de postproduction
PRANAY NICHANI
Monteurs adjoints
PRANAY NICHANI
JORDAN KAWAI
Traduction et sous-titrage
RAJANI RATNAPARKHI
DAVE KAZALA
Responsables média et monteurs adjoints
JORDAN KAWAI
NISHA PAHUJA
BLAKE MACFARLANE
MITCHELL ALLEN
MARIA KOMECH
Monteur adjoint
ROB RUZIC
Caméra additionnelle
SHANTI BHUSHAN ROY
ISLAHUDDIN ASHRAF
SAUMYANANDA SAHI
RAKESH HARIDAS
SYED HUSAIN AKBAR
APAL SINGH
DURAID MUNAJIM
SRIKANTH KABOTHU
Effets sonores complémentaires
OV SATHIYASEELAN
S KASTHURI
MOHANDAS VP
TAMILARASI NARASHIMAN
DHIMAN KARMAKAR
Journalistes
BHARTI DANG
GAURI RANI
AMIT ARORA
Pour l’Office national du film du Canada
Régisseur de plateau
MARK WILSON
Superviseur de la production
MARCUS MATYAS
Coordonnateurs principaux de la production
JESSICA JENNINGS
ANDREW MARTIN-SMITH
Coordonnatrice de la production
JENNIFER BERTLING
Coordonnateur technique
KEVIN RILEY
Assistant technique
Q’MAL LABAD-WORKMAN
Administrateurs de studio
PATRICIA BOURGEOIS
STEFANIE BRANTNER
LESLIE ANNE POYNTZ
Coordonnatrice de studio
CARLY KASTNER
Directrices du marketing
JESSICA GEDGE
ANDREA ELALOUF
Publicitaire
JENNIFER MAIR
Conseiller juridique
PETER KALLIANIOTIS
Location caméras et équipement de son (Inde)
ASHU SOLANKI
ACCORD EQUIPMENT
AAKAAR VISION
MOVING MEDIA
FILMING INDIA
DANTKATHAA MEDIA
Chauffeurs
AFZAL HUSSAIN
ADITYA KUMAR
SHASHIKANT TIWARI
SANJAY LAMBA
Assistants de production
RAJANI RATNAPARKHI
MARIAM ZAIDI
NISHTHA SADWELKAR
DHAWALIKA SINGH
OMKAR DIVEKAR
CATHERINE ANNE MILLS
HAAD BAKSHI
PATRICE ROC
Traduction et sous-titrage additionnels
MARIAM ZAIDI
LUMMA MAISHA HASAN
MEERA SHARMA
MEGHA SAXENA
OMKAR DIVEKAR
MANGESH NAIDU
ARMAAN JAWLI
SHIVA THORAT
AKANKSHA GUPTA
ANIL RATNAPARKHI
SUBUHI JIWANI
NISTHA SADWELKAR
JYOTSNA CHAUDHARY
Transcription
LAUREL TOEWS
Affaires juridiques
DANNY WEBBER
Comptable
JONATHAN WONG
Comptabilité
SAM SIMPSON
Assureur
FRONT ROW INSURANCE
Conception du son et mixage
GRANT EDMONDS
DANIEL PELLERIN
Mixeur
LOU SOLAKOFSKI
Assistante mixeuse
ELLA MELANSON
Installations
FORMOSA GROUP TORONTO
Monteuses des dialogues
PATIENCE BRADFORD
ELMA BELLO
Monteurs effets sonores
ED DOUGLAS
DANIEL SAMAAN
Conseillère en effets sonores
GINELLE ALVARO
Bruiteuse
LESLIE ROTHWELL
Texte description sonore
SARAH SAUNDERS
Musiciens
Percussions: ED HANLEY, SANTOSH NAIDU, DEBASHISH SINHA
Flûtes: ERNIE TOLLAR
Violoncelle: GEORGE KOLLER
Claviers, guitares: JONATHAN GOLDSMITH
Voix: ANJALI, ED HANLEY, RANJIT
Enregistrement et mixage musique
JEFF WOLPERT
chez Desert Fish Studios, Toronto
Monteur musique
JORDAN KAWAI
Monteurs numériques
KYLE CAMPBELL
RICHARD DOMAN
ANDREW MANDZUIK
Coloriste
ANDREW MANDZUIK
Gestion de la photographie
BRUCE REES
Gestionnaires Urban Post Production
LENA HAMADY
ASHLEY POUCHING
Développé avec l’aide de
THE NFB/ CFC CREATIVE DOC LAB
Corus – Hot Docs Development Fund
ONTARIO CREATES
Commandite fiscale
WMM PRODUCTION ASSISTANCE PROGRAM
et avec le soutien de
Inspirit Foundation
Produit avec l’aide de
Hot Docs Ted Rogers Fund
avec la participation financière de
AC Films
avec l’aide généreuse de
DEBBIE MCLEOD pour
GRANT ME THE WISDOM FOUNDATION
avec l’aide généreuse de
ATUL GAWANDE & KATHLEEN H. HOBSON
ANDREW DRAGOUMIS
MADHU RAJU
PRIYA & ANANTH DORASWAMY
avec l’aide généreuse de
MALA GAONKAR
et les généreuses donations de
SOOKMEE ALMQUIST
ASIA2US, LLC
SARGON AUDISHO
JANE BROWN
DEVON L. DAVIDSON
LLOYD A. FRY FOUNDATION
LINDA HANESSIAN
CHRISTINE HOFFMAN
DEONE JACKMAN
PRANITA JAIN
JANET KROPIEWNICKI
LOTUS LANE LITERARY
JEAN LOPEZ
ROLAND MASCARENHAS
PEGGY ANNE MATHISEN
MARINA NANDAPURKAR
SUSAN NOEL
RAM RAJU
MOHANBIR SAWHNEY
AVANTI SINGH
JYOTHI SUNKARI
AMERI CHRISTY UCHIDA
RICHARD WAKE/WALKER
YANN WOOLLEY
avec l’aide de
THE CANADIAN FILM OR VIDEO PRODUCTION TAX CREDIT
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TVO
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Telefilm Canada
et the Rogers Group of Funds
via le Theatrical Documentary Program
en coproduction avec L’Office national du film du Canada
ONF.ca
© 2022 NOTICE PICTURES et
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L’Office national du film du Canada (ONF), le producteur et distributeur public canadien d’œuvres audiovisuelles primées, collabore avec des créateurs et créatrices de talent à l’échelle du pays pour proposer des documentaires, des animations d’auteur, des récits interactifs et des expériences participatives. Il prend des mesures concrètes pour combattre le racisme systémique et devenir une organisation plus ouverte et diversifiée. Il s’emploie en outre à affermir la production autochtone et à promouvoir l’équité des genres dans les secteurs du cinéma et des médias numériques. Les productions de l’ONF ont remporté au-delà de 7000 prix, dont 12 Oscars. Pour accéder à ces œuvres uniques, visitez ONF.ca.