Théâtre de la vie
2016 | 94 min
Prix et festivals
Prix Tokyo GohanSan Sebastian Film Festival 2016
Sélection officielleAtlantic Film Festival 2016
Sélection officielleFNC – Panorama international 2016
Meilleur long métrage canadienPlanet in Focus 2016
Sélection officielleDevour - Food Film Festival 2016
« La question fondamentale est la suivante : que signifie le thème “Nourrir la planète”? »
– Chef Massimo Bottura
« C’est un geste simple que chacun doit poser : assumer la responsabilité de prendre soin des personnes dans le besoin. »
– Chef René Redzepi
« Le vrai problème, c’est qu’il y a un milliard de personnes qui mangent trop et un milliard de personnes qui n’ont pas de nourriture. C’est une question d’équilibre – où qu’on soit dans le monde. »
– Chef Alain Ducasse
« Quand le choix d’ingrédients est limité, on peut faire d’excellents plats. »
– Chef Andoni Luis Aduriz
Synopsis court
À Milan, dans une soupe populaire extraordinaire, une expérience sociale unique réunit deux univers complètement différents. Théâtre de la vie présente les liens remarquables qui se forgent entre les plus grands chefs de la haute gastronomie mondiale et les groupes les plus défavorisés de la ville : réfugiés, anciens toxicomanes, ex-travailleuses du sexe et une foule d’autres personnes n’ayant nulle part d’autre où aller.
À l’occasion de l’Exposition universelle de Milan 2015, le célèbre chef Massimo Bottura – dont le restaurant Osteria Francescana a été désigné meilleure table au monde en 2016 – a proposé à 60 de ses confrères de réputation internationale de se joindre à lui pour transformer des aliments détournés des poubelles en délicieux repas nutritifs pour les habitants les plus affamés de l’Italie. Mais le documentaire fait beaucoup plus que relater cette importante histoire culinaire : l’œuvre évoque les rencontres émouvantes avec des convives de la soupe populaire – qui y ont trouvé une communauté chaleureuse – et nous laisse entrevoir un pan du cœur et de l’âme de la clientèle.
Festin visuel en soi, Théâtre de la vie donne un visage humain à un puissant message de justice sociale tout en sensibilisant aux énormes conséquences environnementales du gaspillage alimentaire.
Synopsis long
À Milan, dans une soupe populaire extraordinaire, une expérience sociale unique réunit deux univers complètement différents. Théâtre de la vie présente les liens remarquables qui se forgent entre les plus grands chefs de la haute gastronomie mondiale et les groupes les plus défavorisés de la ville : réfugiés, anciens toxicomanes, ex-travailleuses du sexe et une foule d’autres personnes n’ayant nulle part d’autre où aller.
Le célèbre chef Massimo Bottura – dont le restaurant Osteria Francescana a été désigné meilleure table au monde en 2016 – a proposé à 60 chefs de réputation internationale de se joindre à lui pour transformer des aliments détournés des poubelles en délicieux repas nutritifs pour les habitants les plus affamés de l’Italie. Mais le documentaire fait beaucoup plus que retracer en détail cette importante histoire culinaire. L’œuvre évoque les rencontres émouvantes avec des convives de la soupe populaire – qui y ont trouvé une communauté chaleureuse – et nous laisse entrevoir un pan du cœur et de l’âme de la clientèle.
Quand Bottura est approché pour créer des repas gastronomiques à l’intention de l’élite pendant l’Exposition universelle de Milan 2015, il décline l’invitation. Il souhaite faire quelque chose de plus important : prouver que les tonnes d’aliments gaspillés chaque jour peuvent servir à bon escient, et que les grands chefs ne sont pas que des pourvoyeurs de repas gastronomiques au service d’une élite fortunée. Ils se soucient des gens affamés et comprennent que nous sommes collectivement responsables d’aider les autres.
Parmi les grands chefs qui tendent une main secourable, mentionnons les Canadiens Jeremy Charles, de St. John’s (Terre-Neuve), John Winter Russell, de Montréal, et les Torontois John Higgins et Dario Tomaselli, de même que des vedettes internationales comme Ferran Adrià, René Redzepi et Alain Ducasse. Tous partagent désormais la vision de Bottura, celle d’une cuisine durable. Ils aiment s’installer à la table de leurs convives affamés pour prendre le repas avec eux dans le magnifique Refettorio Ambrosiano. Décoré par la crème des artistes et artisans de l’Italie, ce « réfectoire » du 21e siècle est maintenant un lieu empreint de générosité où se restaurent les moins fortunés, dans le respect de leur dignité. Le lieu nourrit à la fois le corps et l’esprit. « Mais attention, le Refettorio Ambrosiano n’est pas (…) un organisme de bienfaisance, répète Bottura. C’est plutôt un projet culturel. »
Théâtre de la vie nous fait découvrir plusieurs convives du Refettorio, dont : un couple italien sans abri qui squatte une petite gare ferroviaire près de Milan; une jeune réfugiée nigériane ayant fui un réseau de prostitution; un migrant jordanien qui lutte pour survivre dans la rue; une Sénégalaise handicapée cherchant à refaire sa vie; un ex-toxicomane qui essaie d’aider les autres à éviter le piège. Nous les suivons tant à l’extérieur qu’à l’intérieur du Refettorio, lequel est devenu un espace de résonance affective pour la clientèle et les chefs – où tous se racontent et sont respectés.
Festin visuel en soi, Théâtre de la vie donne un visage humain à un puissant message de justice sociale tout en sensibilisant aux énormes conséquences environnementales du gaspillage alimentaire. Tourné en association avec Phi Films et Super Channel, le film est coproduit par l’ONF et Triplex Films, présenté par l’ONF et Séville International, et réalisé par le cinéaste montréalais Peter Svatek.
En documentant la vie au Refettorio et dans ses environs, Svatek, la productrice de Triplex Josette Gauthier, la productrice de l’ONF Annette Clarke et leurs équipes ont servi, comme le dit Bottura de cette expérience, « un plat qui vient du cœur ».
MOT DU RÉALISATEUR
Ce qui m’a fasciné dès le départ, c’est la rencontre de deux mondes qui semblent inconciliables : le royaume de la haute gastronomie pratiquée par les chefs les plus renommés – Massimo Bottura en tête – et celui des gens pauvres et affamés de Milan. Cela dit, il y a parmi les plus grands chefs du monde un mouvement visant à rendre leur cuisine plus pertinente par rapport aux enjeux bien réels comme la pauvreté et le gaspillage alimentaire. Massimo déclare dans le film que les chefs ne peuvent plus se contenter de cuisiner pour l’élite en faisant fi des questions éthiques sur ce que le reste de la planète a à manger.
Le Refettorio a nourri nombre de sans-abris de Milan, de même que des réfugiés d’Afrique et du Moyen-Orient, dans le cadre de la crise migratoire qui sévit actuellement en Europe. La majorité des personnes restaurées n’avaient jamais entendu parler de l’un ou l’autre des célèbres chefs. Pourquoi s’en seraient-elles souciées? En auraient-elles tiré quelque chose de plus qu’un repas gratuit dans une soupe populaire?
Mais la philosophie qui sous-tend le Refettorio était différente de celle de la plupart des soupes populaires. Il n’y avait pas de file d’attente. Les repas étaient servis comme dans un restaurant, par des bénévoles. Le lieu était de toute beauté, décoré par la crème des artistes et artisans de l’Italie. Il est devenu un peu comme un autre chez-soi. Les mêmes clients y revenaient jour après jour. Des liens se sont formés. Si bien que la question se pose : qu’est-ce qu’un « chez-soi » pour une personne sans abri ou un réfugié politique?
Ce sont les points abordés dans le film.
Je voulais aussi aller plus loin pour humaniser l’histoire. Apprendre à connaître les convives du Refettorio, et aussi ses chefs. Percevoir les questions éthiques du point de vue des uns et des autres.
J’adore le titre Théâtre de la vie. Le Refettorio a été aménagé dans un théâtre abandonné. Là où les comédiens personnifiaient autrefois la vraie vie, la vraie vie a finalement pris le dessus. Le film jette un regard ému, humain et plein de compassion sur le Refettorio et ce qui s’y est passé. C’est du moins ce que j’espère.
– Peter Svatek
Bande-annonce
Massimo message
Extrait #1
Extrait #2
Extrait #3
Extrait #4
Extrait #5
Extrait #6
Équipe
Matériel promotionnel
PLUS DE DÉTAILS
LE PROJET DU REFETTORIO AMBROSIANO
À l’occasion de l’Exposition universelle de Milan 2015, le chef Massimo Bottura a l’idée d’ouvrir une soupe populaire hors de l’ordinaire pour nourrir les pauvres et les sans-abris de la ville à même les aliments détournés des poubelles pendant l’événement. Davide Rampello, directeur artistique du principal pavillon thématique de l’Expo – le Pavillon Zéro – se joint bientôt au projet. Tous deux demandent ensuite l’aide du Vatican.
Le cardinal de Milan, Angelo Scola, déborde immédiatement d’enthousiasme et demande à Caritas Ambrosiana, organisation caritative de l’Église à Milan, de gérer la soupe populaire. Pour que le Refettorio Ambrosiano vienne en aide à un secteur négligé de la ville, on choisit un emplacement dans Greco, modeste quartier de travailleurs. Don Giuliano, prêtre de la paroisse, suggère un théâtre abandonné près de son église. Le Refettorio Ambrosiano est né.
MASSIMO BOTTURA
Massimo Bottura est né en 1962 à Modène, petite ville de l’Émilie-Romagne, dans la vallée du Pô. Dans un pays aux traditions culinaires des plus riches, l’Émilie est sans contredit celle qui a le plus de quoi s’enorgueillir, foyer du Parmigiano reggiano, d’inégalables prosciuttos et culatellos, des vins Lambrusco, sans oublier du meilleur vinaigre balsamique au monde.
Bottura grandit dans une famille aisée. Sa mère, Luisa, adore cuisiner pour sa fille et ses quatre fils. Massimo, qui est le plus jeune, est attiré vers la cuisine dès son jeune âge. Il commence à cuisiner pour ses amis quand il est à l’école secondaire.
Il étudie ensuite le droit, et finit par travailler dans l’entreprise familiale de vente en gros de produits pétroliers. Mais le cœur n’y est pas. Un de ses frères lui parle d’une trattoria à vendre à bon prix, tout à côté de Modène. Il réunit tant bien que mal la somme nécessaire et l’achète. La trattoria, nommée Campazzo, est un lieu de prédilection des camionneurs. Les affaires ne marchent pas, mais Massimo commence à expérimenter… et fait fuir les camionneurs. En revanche, ses amis commencent à fréquenter l’endroit, et la clientèle rajeunit.
Il assimile beaucoup de connaissances en cuisine locale auprès de Lidia Cristoni, embauchée comme aide-cuisinière. Sous son influence, Massimo prépare des plats traditionnels de Modène. Il apprend aussi la cuisine française d’un chef qui a ouvert un restaurant tout près. Le Campazzo se faisant une réputation, Massimo ouvre une boîte en ville pour ses amis et y cuisine le soir. La boîte deviendra le lieu le plus populaire de Modène.
Fougueux et ambitieux, Massimo décide que l’heure est venue de se perfectionner. Au début de la trentaine, il se rend à New York et travaille dans un restaurant italien tout en vivant au rythme de la métropole. Au restaurant, il rencontre Lara Gilmore, qui deviendra sa femme.
De retour à Modène, tandis qu’il cherche à fermer le Campazzo afin d’ouvrir un nouveau restaurant, le célèbre chef français Alain Ducasse arrive un jour pour le repas du midi. Il est tellement impressionné qu’il invite Massimo à venir travailler avec lui à l’Hôtel de Paris, à Monaco. C’est ainsi que Bottura trouve son troisième mentor.
Quand il revient en Italie, Lara le suit et, en 1994, à Modène, ils cherchent ensemble son prochain restaurant. C’est dans une rue tranquille de la Vieille-Modène, pas très loin de la maison où il a grandi, qu’il aménage l’Osteria Francescana.
Le restaurant commence à se tailler une réputation de choix. En 1999, Ferran Adrià se présente pour le repas du soir. Son célèbre restaurant El Bulli, à Gérone, en Espagne, lui vaut déjà d’être reconnu comme l’un des grands innovateurs culinaires du monde. Adrià deviendra le dernier mentor de Massimo, qui passera l’été 2000 au El Bulli. Il y rencontrera René Redzepi, un autre jeune chef travaillant sous la direction d’Adrià. Redzepi, qui deviendra le chef et fondateur du restaurant Noma, à Copenhague, et figure maintenant au palmarès des meilleurs chefs du monde. Massimo et René se lient d’amitié et demeurent très proches.
Bottura affirme qu’Adrià lui a enseigné la liberté. Il s’est libéré de la tyrannie imposée par la cuisine française qui a dominé la haute gastronomie pendant un siècle. Il se sent libre d’explorer son propre terroir et ses riches traditions. Et plus que tout, il se donne la liberté d’écouter sa propre voix.
CHEFS PARTICIPANT AU PROJET
Gastón Acurio
Astrid y Gastón, Lima, Pérou
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/gaston-acurio
Ferran Adrià
elBullifoundation, Roses, Gérone, Espagne
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/ferran-adria
Andoni Luis Aduriz
Mugaritz, Errenteria, Espagne
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/andoni-luis
Alex Atala
D.O.M., São Paolo, Brésil
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/alex-atala
Mario Batali
Babbo et Eataly NYC, New York
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/mario-batali
Jeremy Charles
Raymonds, St. John’s, Terre-Neuve, Canada
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/jeremy-charles
Mauro Colagreco
Mirazur, Menton, France
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/mauro-colagreco
ALAIN DUCASSE
Alain Ducasse au Plaza Athénée, Paris
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/alain-ducasse
Luca Fantin
Il Ristorante Luca Fantin, Tokyo
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/luca-fantin
David Hertz
D.O.M., São Paolo, Brésil
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/david-hertz
Daniel Humm
Eleven Madison Park, New York
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/daniel-humm
Virgilio Martínez
Central, Lima, Pérou
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/virgilio-martinez
Yoshihiro Narisawa
Narisawa, Tokyo
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/yoshihiro-narisawa
René Redzepi
Noma, Copenhague
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/rene-redzepi
Joan Roca
El Celler de Can Roca, Gérone, Espagne
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/joan-roca
Ana Ros
Hisa Franko, Kobarid, Slovénie
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/ana-ros
John Winter Russell
Candide, Montréal, Canada
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/john-winter-russell
Site Web : restaurantcandide.com
Famille Santini
Dal Pescatore, Mantoue, Italie
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/the-santini-family
Viviana Varese
Alice, Milan
theateroflifemovie.com/en/characters#the-chefs/viviana-varese
PATRICK WATSON et THE BARR BROTHERS interprétant Like a Rolling Stone
Patrick Watson (né en 1979) est un auteur-compositeur-interprète canadien établi à Montréal (Québec). Patrick Watson est également le nom de son groupe dont le son, empruntant à la musique de cabaret, à la pop, à la musique classique et au rock indépendant, est souvent comparé aux univers musicaux de Rufus Wainwright, Andrew Bird, Nick Drake, Jeff Buckley et Pink Floyd en raison de sa dimension expérimentale. L’album de Patrick Watson intitulé Close to Paradise a reçu le Prix de musique Polaris en 2007.
The Barr Brothers est un quartet de musique folk créé à Montréal (Québec), qui se compose d’Andrew et de Brad Barr (du groupe The Slip), de Sarah Page et d’Andres Vial.
Andrew et Brad Barr commencent leur carrière musicale à Boston (Massachusetts) a titre de membre du trio d’improvisation The Slip. À la conclusion d’un spectacle donné à Montréal en 2003 à la salle Le Swimming, un incendie se déclare dans la cabine de son; les alarmes se déclenchent juste à la fin du rappel, ce qui provoque l’évacuation totale du bar. Se retrouvant dans la rue par la force des choses, Andrew fait la connaissance d’une Montréalaise d’origine à qui il a offert son manteau. Cette rencontre fortuite mène à une relation qui crée un lien entre les frères et la ville.
Un an plus tard, Andrew et Brad Barr emménagent à Montréal et se retrouvent voisins de la harpiste Sarah Page. Avec Andres Vial, les quatre forment les Barr Brothers. Secret City Records lance leur premier album, éponyme des frères, le 27 septembre 2011. Comme avant-goût du lancement, la chanson Beggar in the Morning fait ses débuts sur Paste Magazine. Le groupe est invité à jouer au Festival Osheaga en 2011 et fait une tournée nord-américaine à l’automne pour promouvoir son premier album.
Massimo Bottura et sa femme, Lara Gilmore, ont créé la fondation Food for Soul afin de lancer plus de soupes populaires dans le monde. La première d’entre elles ouvrira ses portes à Rio de Janeiro pour les Jeux olympiques de 2016.
Images
Générique
Scénario et réalisation
Peter Svatek
Montage
Elric Robichon
Direction de la photographie
Nicolas Venne
Caméra
Giancarlo Migliore
Nicola Baraglia
Photographie
Giancarlo Migliore
Nicolas Venne
Nicola Baraglia
Produit par
Josette Gauthier
Annette Clarke
Peter Svatek
Avec la participation de
Massimo Bottura
et
(par ordre alphabétique)
Gastón Acurio
Ferran Adrià
Andoni Luis Aduriz
Alex Atala
Mario Batali
Jeremy Charles
Mauro Colagreco
Alain Ducasse
Luca Fantin
David Hertz
Daniel Humm
Virgilio Martínez
Yoshihiro Narasawa
René Redzepi
Ana Ros
John Winter Russell
The Santini Family
Viviana Varese
Christiana Acha
Stefania Bassania
Fatou Dieng
Fawaz Naser
Giorgio Papetti
Marco Rossi
Salvatore Salici
Eligio Sbarufatti
Emanuele Colombo
Lidia Cristoni
Fabrizia Ferrari
Lara Gilmore
Davide Rampello
Cristina Reni
Don Giuliano Savina
Musique originale
Antoine Binette Mercier
Like a Rolling Stone
Interprétée par
Patrick Watson
et
The Barr Brothers
Conception sonore et montage son
Mélanie Gauthier
Recherche et contact
Elena Dal Pra
Photographie additionnelle
Matteo Urbinati
Carlotta Marrucci
Marco Caddeo
Prise de son
Nicola Baraglia
Marco Caddeo
Riccardo Baldoni
Riccardo Napoli
Aide-réalisateur
Giuseppe Carrieri
Coordonnatrice de production
Carlotta Marrucci
Assistants de production
Riccardo Napoli
Barbara Vivino
Photographie de plateau
Alberto Bobbera
Ellie Yonova
Consultant – musique et graphisme
Kris Manchester
Traduction
Italien : Silvia Accardi, Elena dal Pra, Marija Zivkovic
Espagnol, portugais, catalan : Nicolas Gulino
Français : Josette Gauthier, Elric Robichon
Japonais : Setsumi Katagiri
Transcription
Daniel Svatek
Marija Zivkovic
PERSONNES-RESSOURCES
Refettorio Ambrosiano
Cristina Reni
Fabrizia Ferrari
Caritas
Luciano Gualzetti
Marzia Molteni
Osteria Francescana
Lara Gilmore
Enrico Vignoli
Davide Rampello
Tania di Bernardi
Chanson
Like a Rolling Stone
(reprise italienne)
Écrite par
Bob Dylan
Interprétée par
Misstress Barbara
Utilisée avec l’autorisation de
Special Rider Music
Like a Rolling Stone
(reprise italienne)
Écrite par
Bob Dylan
Interprétée par
Marco Rossi
Utilisée avec l’autorisation de
Special Rider Music
Like a Rolling Stone
Écrite par
Bob Dylan
Interprétée par
Patrick Watson
et
The Barr Brothers
Utilisée avec l’autorisation de
Special Rider Music
Musiciennes
Quatuor à cordes Mommies on the Run
Mélanie Bélair, violon
Mélanie Vaugeois, violon
Ligia Paquin, alto
Annie Gadbois, violoncelle
Claude Lamothe, violoncelle additionnel
Antoine Binette Mercier, tambours d’acier et percussions
Robbie Kuster, batterie et percussions
Patrick Watson, piano/voix
Brad Barr, guitare/voix
Andrew Barr, percussions
Mixage de la musique du film
Peter Van Uytfranck
Superviseur de postproduction
Jean-François Laprise
Assistante à la postproduction
Mylène Augustin
Services de postproduction
Simon Webb
Aide monteur
Éric Marapin
Chef, coordination et soutien au projet, ONF
Pierre Ferlatte
Technicienne, montage numérique
Isabelle Painchaud
Bruitage
Lise Wedlock
Enregistrement du bruitage
Geoffrey Mitchell
Conception des titres
Simon Chénier-Gauvreau
Lian Benoit
Photos, générique de fin
Alberto Bobbera
Graphisme
Simon Chenier-Gauvreau
Lian Benoit
Mélanie Bouchard
Montage sur original et colorisation
Yannick Carrier
Mixage
Serge Boivin
Coordonnatrice de production principale
Kelly Davis
Superviseure de production
Mary Armstrong
Administratrice de studio
Leslie Anne Poyntz
Avocats-conseils
Dominique Aubry
Bruno Ménard
Comptable de production
John Chretien
Services fiscaux et audit
Hecht, Heft, Lamoureux
Assurance
Globalex
Financement provisoire
Banque Nationale du Canada
Production Executives / Productrices déléguées pour Super Channel
Maureen Levitt
Melissa Kajpust
Productrices déléguées pour Phi Films
Phoebe Greenberg
Penny Mancuso
Productrice adjointe pour Phi Films
Emmanuelle Héroux
Productrices déléguées
Josette Gauthier
Annette Clarke
Produit avec la participation de
Rogers Documentary Fund
Produit en association avec
Relations de presse
-
Nadine Viau
Attachée de presse – Montréal
C. : 514-458-9745
n.viau@onf.ca
-
L’ONF en bref
Fondé en 1939 et unique en son genre, l’Office national du film du Canada (ONF) produit, coproduit et distribue des documentaires et des films d’animation distinctifs, engageants, pertinents et innovants. Incubateur de talents, il est un des plus grands laboratoires de création au monde. Depuis plus de huit décennies, l’ONF permet aux Canadiennes et aux Canadiens de se raconter et de se rencontrer. Ses films sont de plus une ressource éducative fiable et accessible. L’ONF possède également une expertise reconnue mondialement en préservation et en conservation, en plus d’une riche collection vivante d’œuvres qui constituent un pilier important du patrimoine culturel du Canada. Jusqu’à maintenant, l’ONF a produit plus de 14 000 œuvres, dont 6500 sont accessibles gratuitement en ligne sur onf.ca. L’ONF ainsi que ses productions et coproductions ont remporté au-delà de 7000 prix, dont 11 Oscars et un Oscar honorifique récompensant l’excellence de l’organisation dans toutes les sphères de la cinématographie.