Une production de l’Office national du film du Canada

Le temps, c’est grand comment ? Sur l’île canadienne éloignée de Texada, le pain quotidien de l’existence humaine — travail, jeu, rêves — se juxtapose aux variations tectoniques de la planète, fluctuant au gré des mouvements cycliques de la création, de l’extinction et du renouveau. En fusionnant des prises de vues réelles à 360 degrés tournées dans la communauté minière de l’île et des séquences d’animation en 3D de bouleversements géologiques, les réalisatrices Claire Sanford et Josephine Anderson ont conféré à cette œuvre impressionniste en RV une dimension poétique et immersive.

Réels ou imaginaires, ces paysages nous entraînent sur un parcours qui conduit de la formation de la Terre jusqu’à nos jours : les cours de l’existence ainsi jumelés se fondent dans un flux en perpétuelle mouvance. Alors que les forces géologiques continuent de se manifester, l’unique constante demeure la transformation. Mais, malgré les capricieuses fluctuations de l’histoire, la beauté temporelle qu’il nous arrive d’entrevoir dans la splendeur d’une pierre découverte sur la grève nous aide à comprendre la place que nous occupons dans l’univers.

Une phrase
Cette animation immersive des bouleversements géologiques anciens, combinée à une vidéo à 360 degrés d’une communauté minière contemporaine, propose une expérience de réalité virtuelle poétique.

Deux phrases
Le temps, c’est grand comment ? Cette œuvre impressionniste en RV fusionne des prises de vues réelles à 360 degrés tournées dans la communauté minière de Texada et des séquences d’animation en 3D de bouleversements géologiques pour créer une expérience immersive et poétique.

Le temps, c’est grand comment ?

Sur l’île canadienne éloignée de Texada, le pain quotidien de l’existence humaine — travail, jeu, rêves — se juxtapose aux variations tectoniques de la planète, fluctuant au gré des mouvements cycliques de la création, de l’extinction et du renouveau.

En fusionnant des prises de vues réelles à 360 degrés tournées sur l’île et des séquences d’animation en 3D de bouleversements géologiques, les réalisatrices Claire Sanford et Josephine Anderson ont conféré à cette œuvre impressionniste en RV une dimension poétique et immersive. Les flux et reflux du chœur des voix insulaires dénouent les complexités des pierres calcaires environnantes, fondements de la communauté de Texada et de son économie. Modeste et pourtant omniprésente, composante du dentifrice aussi bien que des grandes pyramides d’Égypte, cette pierre constitue un pilier de la structure de notre société moderne.

Les pierres, les personnes et le temps, qui se situent au cœur du film, mettent en contraste l’incommensurable étendue des époques terrestres et l’immédiateté du quotidien humain. Réels ou imaginaires, ces paysages nous entraînent sur un parcours qui conduit de la formation de la Terre jusqu’à nos jours : les cours de l’existence ainsi jumelés se fondent dans un flux en perpétuelle mouvance. Alors que les forces géologiques continuent de se manifester, l’unique constante demeure la transformation. Mais, malgré les capricieuses fluctuations de l’histoire, la beauté temporelle qu’il nous arrive d’entrevoir dans la splendeur d’une pierre trouvée sur la grève nous aide à comprendre la place que nous occupons dans l’univers.

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