Sol souverain
2019 | 91 min
Sélections et prix
Sélection officielleGuelph Film Festival, Guelph, Canada (2019)
Sélection officielleYellowknife International Film Festival, Yellowknife, Northwest Territories, Canada (2019)
Sélection officielle Available Light Film Festival, Whitehorse, Yukon, Canada (2020)
Sélection officielleTromsø International Film Festival, Tromsø, Norway (2020)
Sélection officielleReFrame Film Festival, Peterborough, Ontario, Canada (2020)
Sélection officielleSanta Barbara International Film Festival, Santa Barbara, California, United States (2020)
Sélection officielleOne World International Human Rights Documentary Film Festival, Prague, République tchèque (2020)
Sélection officielleFestival du Film Canadien de Dieppe, Dieppe, France (2020)
Sélection officielleModos de Comer (Ways of Eating) Festival, Portugal (2020)
Sélection officielleWild & Scenic Film Festival, Nevada City, California, United States (2021)
Prix Crimson Snowflake International Festival of Winter Cinema, Edmonton, Canada (2021)
Nomination - Cinéaste émergentYorkton Film Festival, Saskatchewan, Canada (2021)
Nomination - Documentaire Science/Nature/TechnologieYorkton Film Festival, Saskatchewan, Canada (2021)
Au fin fond de la forêt boréale canadienne, à l’extérieur de la petite ville subarctique de Dawson, au Yukon, une poignée d’improbables cultivateurs s’entête à faire pousser tout et n’importe quoi, des choux de Bruxelles couverts de neige aux pommes. Ces fermiers des temps modernes ont su aménager, au cœur d’une étendue sauvage hostile et isolée, de petites parcelles de terre fertile devenues leur gagne-pain et leur vie.
L’espace d’une année, le cinéaste de Dawson David Curtis suit ces modestes et tenaces agriculteurs, dont un jeune Autochtone, un immigrant allemand, une jeune famille qui entaille des bouleaux pour en recueillir le sirop et une matriarche capable d’abattre un orignal et de le tailler en quartiers. Le quotidien simple, mais non moins riche de ces gens profondément attachés à cette nature l’amène à se pencher sur la vie, la mort et le temps.
Sol souverain est un hymne à la beauté de ces terres lointaines et inhospitalières, ainsi qu’à la sagesse de ceux et celles qui ont choisi d’y élire domicile.
Synopsis long
Au fin fond de la forêt boréale canadienne, à l’extérieur de la petite ville subarctique de Dawson, au Yukon, une poignée d’improbables cultivateurs s’entête à faire pousser tout et n’importe quoi, des choux de Bruxelles couverts de neige aux pommes. Ces fermiers des temps modernes ont su aménager, au cœur d’une étendue sauvage hostile et isolée, de petites parcelles de terre fertile devenues leur gagne-pain et leur vie.
Une jeune famille entaille des bouleaux pour en tirer du sirop, les parents faisant l’école à leurs enfants dans la vapeur des bouillons de sève et grattant affectueusement la croupe de leurs porcs avant de les abattre. Un horticulteur allemand de troisième génération s’efforce de tenir les orignaux à l’écart de ses radis et enrichit le choix d’aliments offert à Dawson en se heurtant néanmoins aux limites de l’agriculture nordique. Un jeune Tr’ondëk Hwëch’in ayant appris à chasser et à pêcher dès sa tendre enfance sarcle maintenant les rangées de laitues de la ferme pédagogique de sa Première Nation autonome. Un couple greffe des arbres fruitiers. Un virtuose de la production des tomates est aux prises avec une maladie chronique. Une matriarche ne craint pas d’abattre un orignal et de le tailler en quartiers. Une même ferveur rassemble ici tous ces gens : la passion de la terre.
L’espace d’une année, le cinéaste de Dawson David Curtis suit ces modestes et tenaces agriculteurs et les observe alors que le sempiternel soleil estival succède à l’obscurité constante de l’hiver. Au fil des saisons, le temps ralentit son cours et se transforme, nous ramenant à l’essentiel grâce au quotidien simple et enrichissant de ces gens profondément attachés à cette nature.
Sol souverain est un hymne à la beauté de ces terres lointaines et inhospitalières, ainsi qu’à la sagesse de ceux et celles qui ont choisi d’y élire domicile.
En une ligne
Tourné au cœur des étendues nordiques entourant la petite ville subarctique de Dawson, au Yukon, Sol souverain est un hymne à la beauté de ces terres lointaines et inhospitalières, ainsi qu’à la sagesse de ceux et celles qui ont choisi d’y élire domicile.
Entrevue avec le réalisateur David Curtis
Qu’est-ce qui vous a inspiré la création de Sol souverain ?
Le cinéaste du Yukon Andrew Conners et moi souhaitions travailler ensemble à la réalisation d’un projet et nous nous intéressions tous deux au mouvement du retour à la terre et à la façon dont cette tendance se manifeste au Yukon. En collaboration avec l’ONF, nous avons décidé de nous pencher sur les modes de vie actuels, particulièrement sur celui des producteurs de denrées alimentaires d’aujourd’hui en périphérie de Dawson, au Yukon. Nous voulions examiner ce qui poussait des gens à s’installer dans les bois et à y trouver leur subsistance. Assurer sa survie, là-bas, requiert un travail acharné. Bien des gens viennent vers le Nord poussés par leur vision romantique de la vie dans les régions sauvages, mais dès la première neige, ils ont tendance à se disperser. Nous observons ceux qui sont restés.
Ils forment une population diversifiée : il y a un ancien hippie du centre-ville de Toronto qui est venu dans le Nord et est finalement devenu un maraîcher prospère en s’établissant sur une île éloignée du fleuve Yukon et en y fondant une famille ; un immigrant allemand bricoleur et horticulteur de troisième génération qui explore les limites de la durabilité dans le Nord canadien ; une jeune famille qui vit hors réseau dans la nature, mais possède néanmoins une excellente connexion wi-fi ; et puis, il y a des gens de la génération précédente pour lesquels le retour à la terre tient davantage à la survie et à l’autonomie qu’à l’esprit communautaire.
Vous avez grandi très près de la terre. Comment ce lien étroit vous a-t-il aidé à donner forme au film ?
J’ai grandi dans de petites villes des Prairies et dans les Territoires du Nord-Ouest. Mes parents sont venus d’Irlande : ils adoraient ce pays et voulaient le connaître à fond, alors nous avons beaucoup déménagé. Mon père était courtier pour les coopératives, des magasins généraux qui vendent tout ce dont on a besoin à l’intérieur d’une petite communauté rurale. La Coop l’a nommé négociant de fourrures dans la communauté des Dénés de Deline (Territoires du Nord-Ouest), ce qui a eu sur moi une grande influence. J’avais toujours aimé la nature et je me sentais très à l’aise en milieu sauvage, mais Deline a été magique à mes yeux. C’est ce qui m’a ramené dans le Nord. Depuis 21 ans, je vis hors réseau à l’extérieur de Dawson et j’exerce divers métiers : pêcheur commercial de saumon, menuisier, artiste et enseignant.
En habitant ici, je me suis intéressé de plus en plus aux principes et à la philosophie qui sous-tendent la durabilité et le fait de vivre de la terre. Et à la façon dont notre état d’esprit occidental et colonisateur a pris le dessus sur le mode de vie des Autochtones. Je m’intéresse à la façon dont nous pouvons établir une relation plus équitable avec la planète. Et dans Sol souverain, j’examine toutes ces questions sous l’angle de la production alimentaire.
Sol souverain porte sur la production alimentaire durable, mais aborde aussi tant d’autres questions ! Pouvez-vous nous en parler un peu ?
Beaucoup de films et de médias examinent ce sujet de façon très ciblée et particulière. Mais je ne suis pas un documentariste qui pose des questions, puis étale les faits. Je préfère que les gens en arrivent eux-mêmes à leurs conclusions.
Sol souverain est une vaste exploration — réalisée avec le concours d’amis et de voisins — de l’essence du lien spirituel et philosophique qui nous rattache à la terre. Il y est question de la vie et de la mort, du cycle des saisons, de la perception du temps et de la façon dont les gens s’y prennent pour vivre de manière responsable, en équilibre relatif avec la nature.
Pouvez-vous préciser pourquoi ce rapport à la terre se révèle aujourd’hui aussi significatif ?
Le fait que nous nous soyons coupés de la terre se trouve au cœur de notre éventuelle disparition : pensons au manque de respect avec lequel nous consommons les ressources et polluons la terre, ou aux problèmes et aux catastrophes sans précédent auxquels nous nous heurtons en raison du changement climatique. Les gens ne prennent pas le temps de s’imprégner des saisons et de tisser des liens avec leur environnement. Tant que la réalité ne nous éclate pas au visage, que notre maison n’est pas inondée ou qu’il n’y a aucun feu de forêt près de chez nous, nous n’avons pas conscience que nous faisons toujours partie de la nature et que nous dépendons d’elle à ce point. Il faut établir une relation de réciprocité plus étroite avec la nature pour reprendre contact avec ce qui se passe autour de nous.
Qu’espérez-vous que les gens retiendront de Sol souverain ?
J’ai toujours souhaité que le film soulève davantage de questions qu’il n’apporte de réponses. J’espère que les spectateurs quitteront la salle de cinéma plus conscients de leur relation à la terre, de l’impact qu’ils ont sur l’environnement en tant que consommateurs, et en se souciant davantage des gens et des industries qui assurent leur alimentation.
Le secteur de l’agriculture est parmi les plus polluants au monde. Nos moyens de production alimentaire modernes ne sont vraiment pas durables. Comme le souligne l’un des protagonistes du film, les seuls moyens vraiment durables sont la chasse et la cueillette. Mais aujourd’hui, la Première Nation Tr’ondëk Hwëch’in de la région, dont les membres étaient autrefois des chasseurs-cueilleurs, se tourne vers l’agriculture pour assurer sa sécurité alimentaire. Cela soulève des questions très importantes sur la communauté, sur la transformation de notre rapport à la terre et sur l’autonomie. Quelle est notre relation profonde aux aliments, aux gens qui les produisent et à la terre sur laquelle ils poussent ?
Quels défis la réalisation d’un film sur vos amis et vos voisins a-t-elle présentés ?
J’ai d’abord eu une longue et honnête conversation avec chacun d’eux pour m’assurer que les thèmes que nous allions explorer ensemble leur convenaient. Nous avons aussi convenu que si, à un moment ou à un autre, ils se sentaient importunés, je me retirerais. Comme je trouvais aussi injuste de demander à mes voisins et amis de s’engager et de consacrer de leur temps sans donner moi-même en retour, j’ai apporté ma contribution. Durant toute la création du film, j’ai planté et récolté des pommes de terre, sarclé, recueilli la sève de bouleau, cuisiné des repas, animé des ateliers, construit des clôtures — et je continue à le faire.
Je ne voulais pas venir faire un film, puis repartir en engrangeant les profits. Le cinéma documentaire a souvent tendance à instrumentaliser les gens ou à leur conférer un caractère exotique. Je voulais établir une relation de réciprocité avec les participants.
À quelles difficultés vous êtes-vous heurté durant la création de Sol souverain ?
D’un point de vue logistique, il a fallu circuler en motoneige à -32 °C, ou en canot l’été en transportant l’équivalent de 30 000 $ de matériel et en faisant du portage pour traverser les îles. Traîner tout ça pour accéder à ces emplacements éloignés n’a pas été facile. Mais j’adore faire du bateau, de la randonnée, du ski ou de la motoneige, beau temps, mauvais temps. J’ai l’habitude.
Que retirez-vous de ce film ?
En réalisant ce film, j’ai beaucoup mieux compris et respecté les gens qui ont choisi de vivre ce genre de vie, de produire de la nourriture pour les autres. Ce qu’ils font les passionne. Ce tournage m’en a également appris davantage sur ma propre passion pour la nature et sur le fait que ma façon de vivre dans ce milieu a ses conséquences, visibles et invisibles.
Reste que, finalement, j’éprouve une joie profonde d’avoir été accueilli dans la vie de ces gens. Ils m’ont accordé une telle confiance ! Et j’espère que le film respecte ça.
Bande-annonce
Extrait : Choux de Bruxelles
Extrait : Sirop de bouleau
Extrait : Nos valeurs
Images
Matériel promotionnel
Équipe
Générique
Jackleg Films
en coproduction avec l’Office national du film du Canada
présentent
en collaboration avec Northwestel Community Television
avec la participation du
Fonds des médias du Canada
Yukon
Sol souverain
Tourné sur les terres ancestrales des Tr’ondëk Hwëch’in et de la Première Nation des Na-Cho Nyäk Dun, dans et autour de la ville de Dawson City et de la vallée de la rivière McQuesten au Yukon.
Scénario et réalisation
David Curtis
Production
Andrew Connors
Shirley Vercruysse
Direction de la photographie
John Price
Montage
Graham Withers
Musique originale
Daniel Janke
Prise de son et photographie aérienne
Michael Code
Avec la participation de
Sylvia Frisch
Berwyn Larson
Selwyn Frisch
Lillia Larson
Jackie Olson
Otto Muehlbach
John Lenart
Kim Melton
Josh Moses
Grant Dowdell
Karen Digby
Gerry Couture (In Memoriam)
Jan Couture
Angie Joseph-Rear
Paul Derry
Tiffany Taylor
Derrick Hastings
Et avec la participation de
Ryota Kubo
Norma Blanchard
Rickie Mawunganidze
Nick Rear
Graham Rudge
Erica Barta
Angela Edmunds
Emilie Aubin
Sasha Fergusson
Jem Titus
Julia Sabrina Staudt
Dillan Taylor
Mike Taylor
Gareth Hoskisson
Cathie Findlay-Brook
Zach Yeager
Adam Titus
Nate Van Every
Warren Walters
Antoine Gerard
Donald Dunwoodie
Zach Everitt
Guy Couture
Meredith Couture
Mistie Couture-Bogard
Thierry Guenez
Éléna Lacombe
Mariève Bégin
Chiens
Cherry
Luna
Itszay
Oz
Dash
Masie Mae
Loki
Peggy
Sunny
Carlos
Bannock
Sparky
Macy
Tucker
Paddy
Directeur de production
David Curtis
Images additionnelles
David Curtis
Marty O’Brien
Patrick McLaughlin
Andrew Connors
Neil Macdonald
Mike Code
Evelyn Pollock
Prise de son additionnelle
James Healey
Daniel Janke
René-Paul Singh
Marty O’Brien
Emile Bouffard
Montage additionnel
David Curtis
Leah Byrne
Jessica Hall
Assistante au montage
Alexandra Knowles
Préparation des données
Alexandra Knowles
Angela Edmunds
James Healey
Evelyn Pollock
Conception et montage sonore
Stackwall Sound
Montage sonore
Jordy Walker
Postproduction sonore
Post Modern Sound
Mixage
Angelo Incoloyannis
Greg Stewart
Générique
Naomi Mark
Side Street Post Production
Coloriste
Kip Lightburn
Montage en ligne
Kevin Reid
Gestion de projet
Alisa Luke
Photos d’archives
utilisées avec l’aimable autorisation de la famille Couture
Technicienne aux archives
Janice Cliff
Producteur délégué
John Bolton
Transcriptions
Alexandra Knowles
Alicia Bickle
Sous-titrage
Zoé Major
Transport
Jonathan Dowdell
Traiteur
Red Mammoth Café
Conny Handwerk
Emile Bouffard
Services juridiques
Heather Watt, Boughton Law Corporation
Assurances
Front Row Insurance
Comptabilité et tenue de livres
Numbers Production Services
Baker Tilly WM LLP
Office national du film du Canada, Studio de la C.-B. et du Yukon
Productrice associée
Teri Snelgrove
Productrice déléguée
Jennifer Roworth
Coordonnateur technique
Wes Machnikowski
Administration
Carla Jones
Coordonnatrice de production
Kristyn Stilling
Mise en marché
Kay Rondonneau
Relationniste
Katja De Bock
Productrice exécutive
Shirley Vercruysse
Nous aimerions remercier tous les participants
Molly Macdonald
Wade Lamarche
Wayne Potoroka
Jonathan Dowdell
Clayton Buhler
Megan Waterman
Dre Lasse
Cheffe Roberta Joseph
Ben Mogl-Maclean
John Steins
Tim Gerberding
Julie Frisch
Karen DuBois
Simone Rudge
Mercedes Taylor
Lynne Rear (In Memoriam)
John Lodder
Byrun Shandler
Jackey Clancy
James Hedch
Trae Taylor
Michelle Charlie
Tyrell Hearty
Paul Blanchard (In Memoriam)
Jessi-John Whalen
Randy Lewis
George MacLeod
Kate Willams
Brian Bizzell
Dakota Hagan
NOUS REMERCIONS TOUT PARTICULIÈREMENT
Le gouvernement des Tr’ondëk Hwëch’in
Michelle van Beusekom
La famille Potoroka
Chris Clarke
Eileen et John Curtis
Katherine McCallum
Whitehouse Cabins
Emile Bouffard
Chris McNutt
Richard Lawrence
Iris Merritt
Betsy Carson
Charles Wilkinson
Tina Schliessler
John Walker
Max Fraser
Conny Handwerk
Itszay
tous les citoyens de Dawson City
REMERCIEMENTS
Le personnel et les travailleurs de la ferme des Tr’ondëk Hwëch’in
Kokkopellie Farm
Klondike Valley Nursery
Uncle Berwyn’s Birch Syrup
Le marché Bonanza
Le ranch Lastraw
Tr’ondek Hwech’in Heritage Department
Georgette MacLeod
Sue Parsons
Debbie Nagano
Jody Beaumont
Air North
Na Ho Productions
Trew Audio
Alchemy Café
Arctic Star Printing
Design Station
Klondike Kate’s
M. McKay & Associates
Tucker Carruthers
Heather Watt
Fusion Ciné
Le Festival international canadien du documentaire Hot Docs
Midnight Sun Coffee Roasters
Yukon Nissan
Le musée de Dawson City
Arctic Institute of Community-Based Research
Francis Bouffard
Galen Clarke
Fiona Curtis
Steven Brekelmens
Kildare Curtis
Jennifer MacKie
Dave Husby
Cari Tangedal
Jennifer Duncan
Jake Duncan
Nettie Wild
Daniel Cross
Daniel Johnston
Gerald Isaac
Bekah Miller
Michelle Latimer
Evelyn Pollock
Joe Cooke
Julie Frisch
Karen DuBois
Eldo Enns
Dan Sokolowski
Suzanne Crocker
Joe Bone
Darren Tate
Martin Qesku
Colin Bowes
Rob Toohey
Lulu Keating
Dexter MacRae
Joe Powell
Nicole Becker
Michelle Ross-Stanton
Tova Krentzman
Ross Burnet
Heather Horton
Roland Schlimme
Henry Connors
Guin Lalena
Tony Berto
Andrew Seymour
Charles Atlas Sheppard
Kerry Barber
Mary Clarke
Dan LeBrun
Monina Wittfoth
Bill Kendrick
Carmen Pollard
Trans North Helicopters
Monica Keen
John Dippong
Mike Gravitis
Takashi Sakurai
Dave Husby
Ann Bernier
Victor Henry
Aaron Kirklyvich
Rachel Hunt
Andrew Taylor
Carl Taylor
John Wain
Chansons
Words For Snow
ⓟ © 2016 Daniel Janke, tous droits réservés, SOCAN
Mark Fewer – violon
Aaron Schwebel – violon
Roderick McLeod – violon alto
Paul Widner – violoncelle
Tim Dawson – contrebasse
River Town
ⓟ © 2019 Daniel Janke, tous droits réservés, SOCAN
Mark Fewer – violon
Aaron Schwebel – violon
Roderick McLeod – violon alto
Paul Widner – violoncelle
Tim Dawson – contrebasse
Martha Blacks Reel
ⓟ © 1996 Daniel Janke, tous droits réservés, SOCAN
violon – Adele Armin
piano préparé – Daniel Janke
New Country
ⓟ © 2019 Daniel Janke, tous droits réservés, SOCAN
Ernie Tollar – clarinette
Daniel Morphy – percussions
Daniel Janke – piano et instruments électroniques
V’la le bon vent
ⓟ © 2004 traditionnelle, arrangements de Daniel Janke, tous droits réservés, SOCAN
violon – Mark Fewer
piano – Daniel Janke
Jackleg Films
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En collaboration avec
Northwestel Community Television
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Fonds des médias du Canada
Produit avec la participation du
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Crédit d’impôt pour production cinématographique ou magnétoscopique Canada
Services de production et postproduction
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À propos de Jackleg Films
Établie à Whitehorse, au Yukon, la société de production médiatique et cinématographique Jackleg Films a vu le jour en 2015. Elle a pour unique directeur le cinéaste Andrew Connors, fort de plus de 20 ans d’expérience en scénarisation, en réalisation et en production de films pour la diffusion et la distribution.