Le pouvoir des archives
2022 | 1 h 24 m
Documentaire
Anglais avec sous-titres français
Prix et festivals
Sélection officielleAvailable Light Film Festival, Whitehorse, Canada (2023)
Sélection officielleFestival international du film de Vancouver (VIFF), Canada (2022)
Une production de l’Office national du film du Canada
« Le passé n’est jamais mort. Il n’est même pas passé. » — William Faulkner
Le nouveau long métrage documentaire Le pouvoir des archives, qu’ont coréalisé Hayley Gray et Elad Tzadok, met en lumière les archives des communautés de la Colombie-Britannique afin de révéler certains passages qui ont été gommés des dossiers officiels.
À l’échelle locale, des gardiennes et gardiens du savoir façonnent une histoire plus inclusive à l’aide de photos de famille, d’articles de journaux et de vieilles cassettes VHS égratignées. Ces diverses collections relatent l’histoire des gens que le travail, le jeu, la contestation, la famille et les traditions ont rapprochés.
Grâce à un collage composé d’entrevues personnelles, de plans d’archives et de souvenirs profondément enracinés, le passé, le présent et l’avenir se fondent pour faire émerger un espace où tout le monde est visible et où tout le monde a sa place. Car l’histoire devient ce que, ensemble, nous en faisons.
EN UNE ET DEUX PHRASES
En une phrase
Dans les communautés de la Colombie-Britannique, des gardiennes et gardiens du savoir s’appuient sur les archives pour parvenir à façonner une histoire plus inclusive à l’échelle locale en rassemblant des photos de famille, des articles de journaux et des souvenirs profondément enracinés.
En quelques phrases
Dans les communautés de la Colombie-Britannique, des gardiennes et gardiens du savoir s’appuient sur les archives pour façonner une histoire plus inclusive à l’échelle locale. Grâce à un collage composé d’entrevues personnelles, de plans d’archives et de souvenirs profondément enracinés, le passé, le présent et l’avenir se fondent pour faire émerger un espace où tout le monde est visible et où tout le monde a sa place. Car l’histoire devient ce que, ensemble, nous en faisons.
SYNOPSIS LONG
« Le passé n’est jamais mort. Il n’est même pas passé. » — William Faulkner
Le nouveau long métrage documentaire Le pouvoir des archives, qu’ont coréalisé Hayley Gray et Elad Tzadok, met en lumière les archives de communautés de la Colombie-Britannique afin de révéler certains passages qui ont été gommés des dossiers officiels.
Le pouvoir dominant détermine bien souvent qui sont les gens et les lieux à exclure des archives et des musées traditionnels. Or, comme le souligne le professeur Henry Yu (Ph. D.), de l’Université de la Colombie-Britannique, « l’action de réduire au silence fait beaucoup de bruit ». À l’échelle locale, des gardiennes et gardiens du savoir réparent ces omissions et façonnent une histoire plus inclusive à l’aide de photos de famille, d’articles de journaux et de vieilles cassettes VHS égratignées.
Ron Dutton a mis sur pied les BC Gay and Lesbian Archives en collectionnant des tracts de protestation, des affiches et même des mises en scène de cabaret, issus des origines de la communauté gaie de Vancouver. Les fondateurs de la petite agglomération industrielle de Paldi et leurs familles ont filmé, en Super 8 et en 16 millimètres, cette remarquable communauté interculturelle située sur l’île de Vancouver. L’anthropologue Imogene Lim (Ph. D.) fait remarquer, au sujet de ces images, que les plantes servent à rappeler la présence en ce lieu de communautés asiatiques depuis longtemps disparues.
Ces archives d’origines multiples relatent l’histoire des gens que le travail, le jeu, la contestation, la famille et les traditions ont rapprochés. Ce faisant, elles mettent les grandes institutions au défi de revoir leurs perspectives désuètes qui n’englobent plus l’ensemble des aspects de notre vécu commun. À l’Université de Victoria, le service Transgender Archives documente et préserve le passé. Au Musée royal de la Colombie-Britannique, le personnel travaille sans relâche à rectifier les erreurs historiques et à trouver une voie nouvelle vers la justice réparatrice pour les peuples autochtones.
Grâce à un collage composé d’entrevues personnelles, d’images et de séquences d’archives, ainsi que de souvenirs profondément enracinés, le passé, le présent et l’avenir se fondent pour faire émerger un espace où tout le monde est visible et où tout le monde a sa place. Car l’histoire devient ce que, ensemble, nous en faisons.
ENTRETIEN AVEC ELAD TZADOK ET HAYLEY GRAY
1. Quelles découvertes vous ont le plus étonnés sur l’histoire de la Colombie-Britannique lorsque vous avez réalisé le film ?
Nous n’avons cessé d’être stupéfiés, non seulement par tout ce que nous ne savions pas, mais par la difficulté d’effectuer des recherches sur ces histoires. Nous avions tant de renseignements à notre disposition, qu’il était renversant de constater qu’une multitude d’aspects de notre histoire collective ne sont connus qu’à l’intérieur d’une communauté ou d’une autre.
On se rend compte que le discours dominant ne présente qu’une histoire, une opinion ou un événement parmi une pluralité d’autres. La Colombie-Britannique a été la somme de tant de communautés, d’étapes et d’histoires ! Cela nous amène à prendre conscience du caractère essentiel de ces archives et de ces musées que dirigent les communautés, d’abord pour conserver les récits, et ensuite pour les rendre accessibles au public.
2. Comment vous y êtes-vous pris, durant le tournage, pour créer des espaces sûrs à l’intérieur desquels les gens pouvaient raconter leurs histoires ?
Ç’a été un aspect important de notre travail dès le début du projet Le pouvoir des archives.
Au départ, nous avions vingt récits de tous les coins de la province, puis nous en avons retenu quatre. Ces quatre histoires provenaient de communautés qui étaient en mesure de parler de leur travail publiquement et en toute sécurité. Ces communautés-là avaient des choses à partager sur une plateforme et elles souhaitaient apporter leur collaboration pour parler de l’intersection entre ces histoires et le contexte plus large.
Une fois trouvés nos récits et nos protagonistes, nous avons voulu faire en sorte que notre équipe soit le reflet des histoires que nous allions raconter, que chaque personne qui en faisait partie s’investisse dans cette démarche. L’ensemble des membres de l’équipe de tournage venait donc des communautés avec lesquelles nous faisions le film.
Il était primordial que nous prenions le temps de tisser des liens à l’étape de l’élaboration : nous voulions savoir à quelles histoires s’intéressaient nos protagonistes et comment travailler avec ces personnes pour leur faciliter au maximum la tâche de les raconter.
Enfin, l’emplacement. C’était on ne peut plus important pour nous rapprocher de nos protagonistes dans des lieux où ces personnes se sentaient à l’aise et comme à la maison. Il pouvait d’ailleurs s’agir de leur véritable maison, d’un institut qu’elles avaient fondé, ou littéralement d’un fossé où elles récoltaient des espèces végétales sur leurs terres ancestrales. Lorsque nous les filmions dans ces espaces, nous les voyions s’illuminer et donner vie à leur récit.
3. Une grande partie des personnes interviewées ont pris sur elles de documenter l’histoire de leur communauté, puisque cette histoire avait été largement tronquée ou effacée des dossiers officiels. Reste-t-il encore d’autres pans du passé à révéler ?
Mon Dieu, oui ! Et ce n’est pas une liste exhaustive, loin de là ! L’histoire est constamment en mouvement, et même alors que notre paysage médiatique se diversifie, on laisse de côté tant de communautés et de récits ! Ces quatre communautés ne sont qu’une infime partie de la population de notre province. Nous espérons qu’elles représenteront pour le public le point de départ d’un examen de l’histoire qui l’entoure et qu’elles ouvriront la voie en ce qui a trait à la façon dont ce travail doit être fait.
4. Quel rôle les archives, les universités et les musées traditionnels peuvent-ils jouer en créant des espaces plus équitables, plus inclusifs et plus invitants ?
Bien que nous ayons passé les quatre dernières années à réaliser un film sur le sujet, nous n’avons pas vraiment de réponse simple à cette question. Le sens que revêt un organisme ou une institution diffère d’une personne à une autre. Et l’ensemble de ce secteur connaît une transformation radicale quant à la compréhension du rôle qu’il peut jouer et des dommages qu’il peut causer. Mais une certitude ressort clairement de nos conversations avec les gens à chacune des étapes du travail : il semble y avoir consensus autour du fait que le rôle de ces établissements devrait consister à être présents auprès des communautés, à les soutenir et à les aider à raconter leurs histoires elles-mêmes et comme elles l’entendent.
5. Comment ces grandes institutions peuvent-elles mieux soutenir les archives des communautés ?
Une grande partie de cette question tient à l’aspect financier. Si nous continuons de sous-financer les archives et les musées des communautés, l’accès continuera d’en être plus restreint que dans les grandes institutions. En outre, et c’est peut-être là le plus important, les communautés ne peuvent pas se retrouver en concurrence les unes avec les autres pour se voir attribuer le financement provenant d’une même enveloppe « divers ». Cela crée des divisions et ça limite l’accès. Ces formes de financement ponctuel obligent les organismes à consacrer un temps énorme à leur survie tout en essayant de garder leur travail à jour.
Le soutien et l’autonomie sont aussi — encore une fois — des éléments majeurs. Nous avons vu que la création de projets sur l’histoire des communautés peut fonctionner à l’intérieur des grandes institutions : il suffit de penser au South Asian Studies Institute, qui travaille avec l’Université Fraser Valley, ou aux Trans Archives, à l’Université de Victoria. Mais à l’intérieur de ce cadre, les organismes doivent avoir de l’autonomie et une capacité d’agir, pour demeurer véritablement représentatifs.
6. En quoi le fait de rétablir les aspects cachés du passé et de composer activement avec ceux-ci permet-il aux communautés d’aller de l’avant en s’orientant vers de nouvelles voies ?
Ah, ça, c’est une grande question. Selon ce que nous avons constaté, les choses évoluent et une compréhension essentielle de l’histoire émerge. Quand on arrive à comprendre que l’histoire de Paldi est tout aussi importante et a autant d’influence que celle de n’importe quelle ville fondée par des Européens, on a tout à coup l’impression que l’histoire englobe tout le monde. Et cela révèle, de façon concrète, que nous avons perpétué un vécu très limité. C’est un peu comme dans Le magicien d’Oz. Vous imaginez l’histoire comme une gigantesque institution qui ne cesse de croître, mais peu à peu, vous découvrez que quelqu’un tire les ficelles derrière le rideau : c’est le petit groupe qui a maintenu un récit très simple dont il a bien tiré profit et qui l’a présenté comme la seule et unique vérité.
7. Même si les archives de nombreuses communautés documentent leur histoire depuis bien des années, certains chapitres de ce passé viennent à peine d’être découverts et rendus publics. En quoi cela change-t-il notre perception de l’histoire et de l’identité ?
N’utilisons pas le terme « découverts ». Ces histoires sont maintenant plus faciles à partager et plus accessibles et c’est énorme. D’importants travaux de numérisation se sont déroulés dans beaucoup de ces espaces et indiquent que ces facettes de notre passé viennent s’intégrer à une mémoire collective plus vaste et qu’on peut les consulter. À présent, si on veut se renseigner sur la vie des pionniers venus d’Asie du Sud, on a accès aux données, on peut voir des photos, des vidéos et des entrevues. Lorsque ces renseignements se trouvent sur une plateforme à laquelle on a accès, cela permet à tout le monde de mettre en question les vieilles idées coloniales du Canada et du monde.
8. Qu’est-ce que cette vision de l’histoire plus large et plus inclusive nous apprend sur nous-mêmes ?
Elle nous apprend que des communautés marginalisées et racisées ont bâti le Canada, non pas en collaboration avec l’État, mais malgré ses efforts pour les détruire. Elle nous apprend que ces communautés ne fonctionnaient pas de façon isolée, mais qu’elles se sont construites solidairement bien avant la naissance de la Colombie-Britannique. Mais la chose la plus importante que nous avons apprise, c’est sans doute que si nous voulons mettre fin au racisme et nous décoloniser, nous DEVONS bâtir un passé qui soit diversifié, inclusif et pluraliste, et qui tienne notre pays et nos institutions responsables.
Affiche
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Bande-annonce
Extraits
Images
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Équipe
Générique
Scénario et réalisation
Hayley Gray et Elad Tzadok
Production
Teri Snelgrove
Productrice déléguée
Jennifer Roworth
Direction de la photographie
Kaayla Whachell
Montage
Aynsley Baldwin
Elad Tzadok
Musique
Edo Van Breemen et Johannes Winkler
Prise de son
Ramsay Bourquin
Alex Shamku
2e équipe caméra
Michael Bourquin
Images additionnelles
Michael Bourquin
Alfonso Chin
Opérateurs
Elad Tzadok
Hayley Gray
Machiniste
Chris Vautour
Coordonnateur de production
Nathan Conchie
Jas Calcitas
Assistant à la production
Joss Arnott
Recherchiste principale
Caroline Coutts
Recherche
Lanna Lucas
Hân Phạm
Assistante au montage
Holly Pavlik
Conception des titres et graphiques animés
Sterling Larose
Conception sonore
Humberto Corte
Mixage
May Guimarães
Coordonnateur technique
Wes Machnikowski
Montage dialogues
Miguel Araujo
Elan Gabriel
Montage arrière-plan sonore
James Neves
Coloriste
Dave Tomiak
Montage en ligne
Ryan Mance
Sous-titrage
Zoé Major
Avec la participation de
Dre Satwinder Kaur Bains
Magnus Berg
Dre Tzu-I Chung
Dr Aaron Devor
Ron Dutton
Kathryn Gagnon
Heather Gordon
Dre Imogene Lim
Sandra Marion
Joan Mayo
Lou-ann Neel
Dan Pon
Grace Wong
Genevieve Weber
Henry Yu
ET
Ursula Abramczyk
Sherri Brubaker
Ezzie, DJ et Rachel
Alan Lowe
Davinder Mayo
Robin Mayo
Chad Norman Day
Namar Parnar
Dick Yano
La communauté de Paldi
Remerciements
Aimee Greenaway
Bamboo Village
La ville d’Abbotsford
La ville de Duncan
La ville de Nanaimo
Les archives de la ville de Vancouver
La ville de Victoria
Chinese Canadian Museum
Cowichan Valley Museum & Archives
La communauté de Paldi
Cumberland Museum & Archives
Dovehill House
Don Hann
Erik Lambertson
Glenn Alteen
La galerie grunt
Le temple Gur Sikh
Gus Gus
Harbour Air Seaplanes
Ian Su
Jack Fox
Janine Steele
Jasmine Pullukat
Jill Sharpe
Kelly-Ann Turkington
Vikki Drummond Art
Kira Baker
Lara Wilson
Laura Cuthbert
Len Cousineau
Lia Tarle
Little Sister’s Book & Art Emporium
Megan Lau
Le Musée de Vancouver
Le Musée de Nanaimo
Le temple Paldi Sikh
Richard Banner
Le Musée royal de la Colombie-Britannique
Rosslyn Shipp
Sandy Lambert
Selwyn Jacob
L’Institut d’études sud-asiatiques
Le gouvernement central Tahltan
Thamilini Jothilingam
Tandoori Junction Indian Cuisine
L’Université de la vallée du Fraser
Les bibliothèques de l’Université de Victoria
Parcs, loisirs et culture de Vancouver
Vanessa Kwan
Victoria Ranea
Wesley Macinnis
Archives
André Tardif
BCTV
Carolina Kroon
CBC Archives Sales
CBC Licensing
CHEK Media Group
Les archives de la ville de Vancouver
COGO Productions
Cowichan Historical Society
La Presse canadienne / Chad Hipolito
Cumberland Museum & Archives
Daily Hive
Demian Petryshyn
Don Hann
Emma Djwa
Froglady Video Productions
Global News
La galerie grunt
Helene Littmann
Henri Robideau
Imogene Lim
Imtiaz Popat
Jana Grazely
Jennifer Gauthier
Joan Mayo et la famille Mayo
John Kozachenko
Karen Duthie / Diana Wilson
Kiss and Tell: Emma Kivisild / Persimmon Blackbridge / Susan Stewart
Laiwan
Merle Addison
Out On Screen Film and Video Society
Richard Banner
Robert Pogue
Robin Metcalfe
Ron Dutton
Les archives du Musée royal de la C.-B.
Sandra Thomas / Dan Toulgoet / Glacier Media Group
Scopitone Films
Shaw Communications Inc. / Jim Reis
L’Institut d’études sud-asiatiques
Trevor Jansen / Shauna Sylvester
Ubiq Broadcasting Corp.
Vancouver Men’s Chorus
Violetta Kryak
Vtape.org Distribution
Attributions
Bloomberg, This Canadian City Is The Anti-Asian Hate Crime Capital of North America, Bloomberg Quicktake: Now, 15 mai 2021
CBC, More than half of Asian Canadians experienced discrimination in past year: survey, Jon Hernandez, 8 juin 2021
CTV News, Sir John A. Macdonald statue toppled and beheaded in Montreal at protest, CTV News, 30 août 2020
Images du Premier ministre John Horgan © 2021, province de la Colombie-Britannique
Images de Prism TV, utilisées avec la permission de Shaw Communications Inc. (Jim Reis)
Frank Lennon / Toronto Star via Getty Images
Global News
Dive crews retrieve James Cook statue from Victoria Harbour, Global News, 2 juillet 2021
Conservatives urge Manitoba to restore fallen statues of Queen Elizabeth, Queen Victoria, Abigail Turner, 6 juillet 2021
New study shows extent of anti-Asian racism in Canada, Kamil Karamali, 23 mars 2021
Sir John A. Macdonald statue removed from Victoria City Hall, Global News, 11 août 2018
Holmes (Burton) Films Inc., Prelinger Archives
Le Musée McCord, négatif au collodion humide, William Notman, 1864
Montreal City News, Montrealer verbally attacked with anti-Asian remarks at grocery store, Montreal City News, 6 janvier 2022
NBC, Freaks and Geeks – Season 1, 9 février 2021
New Westminster Museum & Archives, numéro d’accès: IHP10001-1436
Sénateur Victor Oh, Harper Government Issues Full Apology For Chinese Head Tax and Chinese Exclusion Act, 22 juin 2006
L’Université Simon Fraser
Collection numérique, collections spéciales et livres rares
Khalsa Diwan organizers, avec la permission de la Collection Kohaly
Sikh Logging_001, avec la permission de la collection numérique Komagata Maru: Continuing the Journey
Images d’archives fournies par 6@PublicDomain / Pond5
Storyful
Queen Victoria Statue Toppled Outside Manitoba Legislature on Canada Day, Lúcia Rios, 2 juillet 2021
Sir John A. Macdonald statue toppled and beheaded in Montreal at protest, Kamissa Ma Koita, 30 août 2020
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The Reach Gallery Museum
Numéros d’accès : DM0623, DM15822_001, P11927, P11843
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Anti-mask rant turns into racist tirade inside Mississauga grocery store, News Staff, 8 juillet 2020
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Twitter, @siiamhamilton, Captain James Cook statue in Victoria, BC. This was moments before his body was sunk in the Salish Sea by Nuu Chah Nulth Youth and friends. The city of Victoria should remove all monuments that celebrate settler colonialism. NO PRIDE IN GENOCIDE!, Sii-am Hamilton, 1er juillet 2021
L’Université de Californie, California Notebook: Bancroft Library, 10 mai 1952
La bibliothèque de la ville de Vancouver
Numéros d’accès : 13157, 16639
Vancouver Sun / Vancouver Province, une filiale de Postmedia Network Inc.
Musique
Racist, Sexist Boy
Interprétée par The Linda Lindas
Composée et éditée par Lucia Elizabeth de la Garza,
Mila Alice de La Garza, Isabela Rene Salazar, Eloise Alice Wong
Avec la permission de Epitaph
Hot Magazine
Composée par Richard Dworkin
Interprétée par Buena Vista
Avec la permission de Chapter Music
En accord avec Terrorbird Media
Home (Pt.3)
Interprétée par Missy D
Composée par Missy D
Produite par David Tallarico
Éditée par Missy D
I Want More
Composée par Holger Czukay, Irmin Schmidt, Jaki Liebezeit,
Michael Karoli et Peter Gilmour
Éditée par Messer Music Group, géré par Bucks Music Group et Red Brick
Interprétée par CAN
Enregistrée avec la permission de Bucks Music Group LTD
www.spoonrecords.com
Agente de mise en marché
Kay Rondonneau
Coordonnatrice de la mise en marché
Julie Fortin
Relationniste
Katja De Bock
Administration
Carla Jones
Productrice exécutive
Shirley Vercruysse
Filmé sur les terres ancestrales non cédées des peuples xʷməθkwəy̓əm, Skwxwú7mesh, Stó:lō, Səl̓ílwətaʔ/Selilwitulh, WSÁNEĆ, Lkwungen, Wyomilth, Cowichan, Ts’uubaa-asatx, K’omoks, Stz’uminus, Hul’qumi’num, Snuneymuxw, Dënéndeh, Tāłtān Konelīne, Quw’utsun, Liǧʷiłdax̌ʷ, K’ómoks,
We Wai Kum et ɬaʔamɩn gɩǰɛ
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