Maisonneuve
2023 | 6 x 25 min
Série documentaire
Version originale française, sous-titres anglais
Prix et festivals
Gagnant Laurier francophone du Nord Les Lauriers de l’audiovisuel 2024
Prix séries Coup de coeur Fonds Bell Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue 2023
Sélection officielleLes Rendez-vous Québec Cinéma (2024)
Une coproduction de l’Office national du film du Canada, Coop Vidéo de Montréal (Canada), Akka Films (Suisse), Temps Noir (France) En collaboration avec TV5 MONDE
2015. Onze étudiants et étudiantes du Collège de Maisonneuve de Montréal sont arrêtés alors qu’ils s’apprêtent à partir en Syrie pour rejoindre le groupe État islamique. Le choc est réel pour les élèves, dont plus de la moitié est d’origine arabe et musulmane. En six épisodes, Maisonneuve examine les répercussions de cet événement et les questions qu’il soulève toujours. On part ainsi à la rencontre de cinq jeunes adultes qui tentent de trouver leur voie dans un contexte où la méfiance envers l’autre s’est installée.
Filmée sur plusieurs années, Maisonneuve nous plonge dans la réalité pluriculturelle du Collège, qui se relève du traumatisme de 2015. Les protagonistes nuancent ici leurs propos initiaux, dévoilant une maturité qui témoigne du chemin parcouru. On assiste à l’évolution de leur pensée, empreinte d’une réelle ouverture à l’autre.
La série se penche sur le dialogue entre les diverses parties. C’est en créant des lieux d’échange sécuritaires que le Collège favorise les débats en vue d’apaiser ses étudiants et étudiantes. Par son regard humain, Maisonneuve met en lumière l’importance, mais aussi la fragilité du vivre-ensemble au Québec.
EN UNE ET DEUX PHRASES
Une phrase
Maisonneuve met en lumière l’importance, mais aussi la fragilité du vivre-ensemble au Québec, en se penchant sur les répercussions d’un événement bouleversant au Collège de Maisonneuve.
Deux phrases
En six épisodes, Maisonneuve examine les répercussions de l’arrestation de 11 étudiants et étudiantes du Collège de Maisonneuve qui s’apprêtaient à rejoindre les rangs du groupe État islamique en Syrie. Du bouleversement initial à l’ouverture du dialogue, la série suit l’évolution de cinq jeunes d’exception qui exposent leurs points de vue. À travers leur regard, Maisonneuve met en lumière l’importance, mais aussi la fragilité du vivre-ensemble au Québec.
SYNOPSIS LONG
2015. Onze étudiants et étudiantes du Collège de Maisonneuve de Montréal sont arrêtés alors qu’ils s’apprêtent à partir en Syrie pour combattre aux côtés du groupe État islamique. Une onde de choc traverse l’établissement et exacerbe les tensions existantes entre les élèves, dont plus de la moitié est d’origine arabe et musulmane. Maisonneuve se penche sur les répercussions de cet événement majeur et sur les grandes questions qu’il soulève toujours. On part à la rencontre de Kaëlla, Rayene, Idir, Stéphanie et Samuel, de jeunes adultes qui tentent de trouver leur voie dans un contexte tendu, où la méfiance envers l’autre s’est installée. « On était un peu devenus les rats d’un laboratoire sur la radicalisation », souligne Rayene.
Filmée sur plusieurs années, Maisonneuve nous plonge dans la réalité pluriculturelle du Collège de Maisonneuve, qui se relève du traumatisme de 2015. La série offre un accès privilégié au quotidien d’étudiants et étudiantes aux origines et aux opinions différentes. Les protagonistes nuancent intelligemment leurs propos de la fin de l’adolescence, dévoilant une maturité qui témoigne du chemin parcouru. On assiste ainsi à l’évolution de la pensée de chacun et chacune, à leurs réflexions empreintes d’une réelle ouverture à l’autre.
La série de six épisodes examine le dialogue qui s’amorce entre les diverses parties. « Permettre à des jeunes de dire ce qu’ils pensent, de dire qu’ils ne sont pas d’accord, c’est une bonne chose pour une société moderne qui veut évoluer et qui se dit démocratique et ouverte », affirme Momo, intervenant de corridor. C’est en leur donnant la permission de s’exprimer, en créant des lieux d’échange sécuritaires que le Collège favorise les débats en vue de déconstruire les mythes tenaces et d’apaiser ses étudiants et étudiantes. Par son regard humain, Maisonneuve met en lumière l’importance, mais aussi la fragilité du vivre-ensemble au Québec.
DESCRIPTION DES ÉPISODES
ÉPISODE 1 Dommages collatéraux
Un événement majeur bouleverse le Collège de Maisonneuve. La communauté étudiante et le personnel du collège accusent le coup et tentent de donner un sens à cet épisode troublant.
ÉPISODE 2 Problèmes systémiques
L’association étudiante se questionne sur la diversité et réfléchit à la meilleure manière de faire un pas vers l’autre, alors que des étudiants et étudiantes remettent en question ses pratiques.
ÉPISODE 3 Conflits générationnels
Diverses générations se rencontrent pour discuter de grands enjeux, exposant des points de vue aux antipodes. Comment peut-on vivre ensemble en tenant compte des différences de l’autre ?
ÉPISODE 4 Responsabilités collectives
L’attentat à la mosquée de Québec en 2017 ravive le débat sur la radicalisation. La communauté de Maisonneuve se questionne sur la responsabilité individuelle et sociétale dans ce contexte tendu.
ÉPISODE 5 Rebâtir des liens
Les étudiants et étudiantes en techniques policières rencontrent une communauté algonquine. Ils y découvriront la réalité des communautés minoritaires et… les conséquences de ne pas avoir respecté les règles.
ÉPISODE 6 Possibilité d’échecs
Les étudiants et étudiantes dressent le bilan de leur passage à Maisonneuve lors d’une période mouvementée. Chacun et chacune exposent la manière dont un événement aussi marquant et les réflexions qu’il a suscitées ont influé sur leur trajectoire.
ENTRETIEN AVEC LE RÉALISATEUR, JEAN-MARTIN GAGNON
Qu’est-ce qui vous a poussé à fouiller la question du vivre-ensemble à la suite de l’événement de 2015 ?
C’était intéressant de voir comment le collège a réagi pendant cette crise. Au lieu de faire comme toute bonne grande organisation publique et de réagir par la répression, il a plutôt opté pour une approche démocratique, basée sur l’écoute et l’échange, afin de comprendre ce qui s’était passé.
Ce contexte d’ouverture nous est apparu comme une façon de raconter le Québec moderne, de couvrir plus largement la question de la multiplicité des identités individuelles et d’interroger leur place dans une identité collective. Au cœur d’une société en changement, en pleine ébullition, le collège se présente comme un tournant dans la vie des jeunes qui, face à des embûches telles que l’exclusion sociale, sont parfois susceptibles de se radicaliser, non seulement sur le plan politique, mais aussi et surtout sur le plan identitaire.
Pourquoi était-ce important pour vous de donner la parole à des jeunes aux points de vue parfois diamétralement opposés ?
D’abord, parce qu’ils et elles se sont imposés à nous. On a traîné dans les couloirs avec une équipe de tournage en ne sachant pas exactement qui allait devenir nos héros et héroïnes. Ils et elles se sont imposés à nous en raison de leur désir de prendre la parole dans l’espace public. Naturellement, il fallait faire des choix, et l’idée était de ne pas avoir cinq personnages similaires. La diversité des points de vue est donc venue de pair avec la diversité de nos protagonistes.
Je trouve intéressant qu’on revienne souvent avec cette observation et cette question parce que, sur le fond, ils et elles étaient assez souvent d’accord. Je pense que, tout comme les personnages, les sujets aussi se sont imposés. Les sujets qui créaient un consensus ont été coupés au montage. Le consensus, c’est assez plate, surtout dans une série qui a envie de brasser des idées, de jouer dans les nuances et de prendre le temps d’analyser ce qui est gris et complexe.
Votre série met en lumière les divergences d’opinions, mais aussi un élément commun à tous vos protagonistes : l’ouverture. Qu’est-ce que l’ouverture à l’autre représente dans un tel contexte ?
Je crois que le documentaire n’a d’autre choix que de présenter « l’ouverture » à l’écran. Les protagonistes ont d’abord besoin de dévoiler leur intimité, à nous, à la caméra, à l’équipe, au public. C’est certain que, dans ce contexte, ceux et celles qui se retrouvent dans la série doivent avoir une personnalité qui tend vers l’ouverture à l’autre.
Ensuite, l’ouverture était aussi nécessaire à L’entr’actes, local où des jeunes de la communauté arabo-musulmane se réunissent, pour qu’on puisse venir y capter les discussions. Les jeunes ont dû faire preuve d’une grande ouverture pour accueillir une équipe de tournage composée à 100 % de personnes blanches. Surtout dans le contexte où, après cet événement, les médias associaient leur école et leur communauté avec le groupe État islamique sans raison valable.
Ce n’était pas gagné non plus avec l’association étudiante, qui craint également la présence médiatique. Les étudiantes et étudiants sont souvent dépeints comme des communistes radicaux. Il fallait les convaincre eux aussi de nos bonnes intentions tout en leur expliquant qu’on allait suivre parallèlement des collégiennes et collégiens qui étaient ouvertement contre eux. C’était complexe.
Les étudiants et étudiantes en techniques policières ont eux aussi fait preuve d’une grande ouverture avec nous en nous permettant de les suivre pendant près de quatre jours, alors qu’ils voyageaient dans une communauté algonquine où des allégations d’abus de pouvoir et d’abus sexuels pesaient sur la police.
Vous vous êtes aventuré dans un sujet souvent délicat. Comment avez-vous procédé pour approcher les jeunes et les laisser parler avec leur cœur ?
Je les ai aimés et je les aime encore. Malgré mes propres biais, mes opinions et ma culture, qui est souvent profondément différente de celle de ces jeunes, il y a dans chacun d’eux et chacune d’elles quelque chose que j’admire avec une grande affection. J’ai commencé par bâtir une relation sur ce lien, ce quelque chose qui nous unit. Par la suite, on a pu aborder des sujets qui sont plus chauds, complexes et sur lesquels on avait souvent des différends. Ça aura nécessité quelques entrevues et moments filmés que personne ne verra jamais. C’est pour moi le procédé normal de l’amitié : quand un lien de confiance est créé, on peut discuter de tout.
Quel message votre série peut-elle transmettre aux établissements d’enseignement qui doivent composer avec une réalité semblable, où le corps étudiant est divisé ?
De s’en réjouir. De profiter de ses divisions pour créer des discussions, des lieux de rencontre. D’engager des intervenants et intervenantes qui ont envie de prendre part à cette grande réflexion, qui ont, comme ces jeunes, gardé la flamme et le désir de changer le monde.
Croyez-vous que l’ouverture et le dialogue soient véritablement les premiers pas vers un apaisement ?
Oui, mais je pense qu’on n’a d’autre choix que de passer par les « tensions » : c’est à partir de là qu’un dialogue est possible et que l’ouverture est réelle. La simple ouverture est un peu facile et puérile, comme quand quelqu’un dit : « Je ne vois pas les couleurs de peau, je ne fais pas de distinction. » C’est absurde. L’ouverture ne peut pas être gagnée d’avance, tout le monde a des biais, des opinions, des préjugés : il faut les mettre à l’épreuve face à d’autres. Quand on parle de dialogue, on parle de confrontation, d’intensité, et ça, ça n’est pas de tout repos.
Le collège est le dernier vrai lieu de rencontre et de dialogue dans notre société. Toutes les classes sociales y sont réunies. C’est le seul endroit accessible à tous et à toutes où cette confrontation est possible et encadrée.
Il faut d’abord véritablement vivre ensemble pour se dire « ouvert ».
Que souhaitez-vous que le public retienne de votre série ?
Que le vivre-ensemble, ce n’est pas simple ! Souvent, quand des chroniqueuses ou chroniqueurs plus conservateurs s’expriment contre la culture « woke », leur critique consiste à dire que les jeunes ont des lunettes roses, que tout le monde est beau et gentil, qu’ils et elles sont dans l’empathie à outrance. J’aimerais que, avec cette série, les gens puissent comprendre que ces idées parcourent un long chemin avant de finir dans l’espace médiatique plus populaire. Qu’elles sont débattues et constamment remises en question. Qu’elles sont vécues au quotidien avant de devenir des valeurs.
Et vous, que retenez-vous de vos rencontres avec ces cinq jeunes d’une vive intelligence ?
Une grande confiance envers cette génération.
Bande-annonce
Extraits
Affiche
Contactez l’attachée de presse de l’ONF pour obtenir l’affiche en haute résolution destinée à l’impression.
Images
Contactez l’attachée de presse de l’ONF pour obtenir des images en haute résolution destinées à l’impression.
Équipe
Générique
Une série réalisée par
Jean-Martin Gagnon
Scénario
Nicolas Wadimoff
Emmanuelle Walter
Production
Nathalie Cloutier (ONF)
Hany Ouichou (Coop Vidéo)
Philippe Coeytaux (AKKA Films)
Serge Gordey et Martin Laurent (Temps noir)
Montage
Philippe Lefebvre
Andrea Henriquez (Épisode 5)
Direction photo
Philémon Crête
Natan B. Foisy
Conception sonore
Jacob Marcoux et Christophe Voyer
Musique
Marc-Antoine Barbier
Avec la participation de
Rayene Bouzitoun
Mohamed Mimoun
Kaëlla Stapels
Idir Mazouzi
Erik Pirro
Jean-Félix Chénier
Stéphanie Cronier
Samuel Dufresne
Nancy Moreau
Réalisation
Jean-Martin Gagnon
Tournage Collège de Maisonneuve 2017-2018
Réalisation
Nicolas Wadimoff
Scénario
Nicolas Wadimoff
Emmanuelle Walter
Recherche
Emmanuelle Walter
Direction de collection
Nicolas Wadimoff
Montage
Philippe Lefebvre
Direction de la photographie
Philémon Crête
Direction de la photographie additionnelle
Natan B. Foisy
Prise de son
François Forcier
Prise de son additionnelle
Marc-Antoine Barbier
Jean-François Caissy
Jacob Marcoux
Pascal Picher-Larose
Simon Plouffe
Olivier Rogers-Larouche
Images additionnelles – Drone
Danny Taillon
Assistance au montage
Timothée de Bouville
Ufuk Emiroglu
Soutien technique au montage image (ONF)
Pierre Dupont
Marie-Josée Gourde
Patrick Trahan
Sous-titrage
difuze
Titres et infographie (ONF)
Mélanie Bouchard
Montage en ligne et colorisation (ONF)
Yannick Carrier
Bruitage
Simon Meilleur
Enregistrement du bruitage (ONF)
Luc Léger
Geoffrey Mitchell
Conception sonore
Jacob Marcoux
Christophe Voyer
Mixage (ONF)
Isabelle Lussier
Musique
Marc-Antoine Barbier
Archives
Assemblée nationale du Québec
Groupe TVA
Journal Le Soleil
Société Radio-Canada
Libération des droits
Karine Perron
Merci spécial à
Léonard et Odrée Laperrière
Suzie Tremblay et Pierre Gagnon
Marilou Caravecchia-Pelletier
Jimmy Bob et Davy Jones
Rosalie Chicoine Perreault
Alexandre Lefebvre
Merci à
Les étudiants•es, le corps enseignant, le personnel et l’administration du Collège de Maisonneuve, Line Légaré, Guy Gibeau, Malika Habel, Anouk Roussy, Lina Raymond, Raymonde Bergeron, Pierre Lefebvre, Lysa Belaïcha, Rachel Binette, Sabrina Cyr-Vidal, Amani Djilani, Yasmine Ferrat, Nidia Guerrier, le groupe Iconz, Axelle Lefebvre, Lyne Saighi, Razine Boureghit, Abdellah Azzouz, Alexandra Vaillant, Coquelicot Ayotte, Céline Bisson, Amélie Faubert, Nathalie Foucher, Réjean Hamon, Marco Harvey, Anne-Marie Le Saux, Jeremy Ouellet, Ivan Perez, Julie Prince, Dany Rodier, Samuel Vilanove, Réjean Vanasse, Hervé Simoneau et tous les membres d’Éducation 3e âge
Et ainsi qu’à
La Société générale des étudiantes et étudiants du Collège de Maisonneuve (SOGÉÉCOM), le Syndicat des professeures et des professeurs du Collège de Maisonneuve (SPPCM), la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ-CSN), Cheikh Omar Koné et le centre soufi Naqshbandi, Seema Kaur et le temple sikh Gurdwara Guru Nanak Darbar, Rachel Wolf et la synagogue hispano-portugaise de Montréal, Daniel Lemieux et la communauté anicinape de Kitcisakik, le Forum jeunesse Saint-Michel, le Théâtre de Quat’Sous, la Maison des jeunes de Longueuil, les PDF, Lyne Côté, Jeannine Hakizimana, Patricia Voogt, Nicole Bordier, Colette Loumède, Juliette Dufresne, Laurent Ulrich, Félix Perreault, Isabelle Couture, Guy Langlois, Étienne Deschênes-Gagnon, Anik Magny, Marie-Pierre Grenier
Produit avec la participation financière de
TV5MONDE
Et avec le soutien de
l’Office fédéral de la culture (OFC)
Avec la participation de Cinéforom
Et le soutien de la Loterie Romande
CNC
Fonds des médias du Canada
Québec – Crédit d’impôt cinéma et télévision
Canada – Crédit d’impôt pour production cinématographique
ou magnétoscopique canadienne
Procirep-Angoa
Produit avec la collaboration de
Radio Télévision Suisse – Unité des films documentaires
et SRG SSR
Société Radio-Canada
ARTE G.E.I.E
Public Sénat
Courtier d’assurances
Globalex
Services juridiques
Lussier & Khouzam
Équipe Coop Vidéo de Montréal
Administration
Christyne Lagarde
Coordination
Karine Bélanger
Équipe ONF
Conseil juridique
Julie Patry
Relations de presse
Sophie St-Pierre
Mise en marché
Karine Sévigny
Coordination de la mise en marché
Julie Fortin
Administration
Sia Koukoulas
Coordination principale – administration
Brenda Nixon
Coordination de studio
Stéphanie Lazure
Coordination principale de production
Chinda Phommarinh
Joëlle Lapointe
Coordination de production
Alexandra Bourque
Alexandra Levert
Coordination technique
Esther Viragh
Jean-François Laprise
Daniel Claveau
Mira Mailhot
Production associée
Laurie Pominville
Production déléguée
Mélanie Lasnier
Production exécutive
Nathalie Cloutier
Production
Nathalie Cloutier (ONF)
Hany Ouichou (Coop Vidéo)
Philippe Coeytaux (AKKA Films)
Serge Gordey (Temps noir)
Martin Laurent (Temps noir)
La série Maisonneuve est inspirée du long métrage documentaire du même nom réalisé par Nicolas Wadimoff et produite en partie à partir du contenu tourné en 2017 par la Coop Vidéo, Akka Films et Temps noir.
Nous remercions tous les participant•es et les artisan•es de leur contribution.
© Une coproduction de l’Office national du film du Canada, Coop Vidéo de Montréal, AKKA Films, Temps noir, 2023
Relations de presse
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Sophie St-Pierre
Attachée de presse, ONF
Cell. : 438-336-6449
s.st-pierre@onf.ca
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L’ONF en bref
Fondé en 1939 et unique en son genre, l’Office national du film du Canada (ONF) produit, coproduit et distribue des documentaires et des films d’animation distinctifs, engageants, pertinents et innovants. Incubateur de talents, il est un des plus grands laboratoires de création au monde. Depuis plus de huit décennies, l’ONF permet aux Canadiennes et aux Canadiens de se raconter et de se rencontrer. Ses films sont de plus une ressource éducative fiable et accessible. L’ONF possède également une expertise reconnue mondialement en préservation et en conservation, en plus d’une riche collection vivante d’œuvres qui constituent un pilier important du patrimoine culturel du Canada. Jusqu’à maintenant, l’ONF a produit plus de 14 000 œuvres, dont 6500 sont accessibles gratuitement en ligne sur onf.ca. L’ONF ainsi que ses productions et coproductions ont remporté au-delà de 7000 prix, dont 11 Oscars et un Oscar honorifique récompensant l’excellence de l’organisation dans toutes les sphères de la cinématographie.