La série Lac Winnipeg
2021 | Série de quatre courts métrages documentaires (Courts de 10-15 min)
Version orginale anglaise avec sous-tites en français
Prix et festivals
Sélection officielleAmerican Indian Film Festival (AIFF46), San Francisco (2021)
Nomination - SérieYorkton Film Festival, SK, Canada, 2022
Composée de quatre courts métrages documentaires, La série Lac Winnipeg met en images les récits sur la débrouillardise et la capacité d’adaptation des communautés anichinabées, cries et métisses de l’île Matheson, de la Première Nation de la rivière Poplar, de la Nation crie de la rivière Fisher et de Camp Morningstar, à un moment où de nombreuses forces extérieures leur imposent un changement. La série porte sur la façon dont ces communautés réagissent à différentes difficultés et à des facteurs comme le changement climatique, l’empiétement industriel, les politiques gouvernementales et la pandémie de COVID-19. Le réalisateur anichinabé et cri Kevin Settee a confié la narration aux protagonistes des courts métrages, donnant ainsi aux communautés et aux peuples du lac Winnipeg l’occasion de raconter leurs histoires et de décrire leurs difficultés et leurs succès dans leurs propres mots.
La série compte quatre films : L’île Matheson, La rivière Poplar, Camp Morningstar et La rivière Fisher.
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À propos de la série : Synopsis long, En quelques phrases et En une phrase
SYNOPSIS DE LA SÉRIE (VERSION LONGUE)
Composée de quatre courts métrages documentaires, La série Lac Winnipeg met en images les récits sur la débrouillardise et la capacité d’adaptation de quatre communautés dynamiques, à un moment où de nombreuses forces extérieures leur imposent un changement. Plusieurs communautés autochtones vivent aux abords du lac Winnipeg, dont les Anichinabés, les Cris et les Métis de l’île Matheson, de la Première Nation de la rivière Poplar, de la Nation crie de la rivière Fisher et de Camp Morningstar.
Les courts métrages illustrent la poursuite des pratiques intergénérationnelles, la transmission du savoir autochtone, la protection de la terre et de l’eau et les réactions des communautés aux politiques gouvernementales, à l’empiétement des zones industrielles et à la pandémie de COVID-19.
Sur les rives orientales du lac Winnipeg, la Première Nation de la rivière Poplar et la communauté de Camp Morningstar entretiennent des liens particuliers avec la terre et l’eau qui les entourent. Pour les membres de la Première Nation de la rivière Poplar, ces liens sont cimentés par la transmission du savoir ancestral d’une génération à l’autre et par la gestion des terres et des eaux environnantes. Pour leur part, celles et ceux qui ont mis sur pied et qui soutiennent Camp Morningstar militent pour protéger ces liens de l’empiétement industriel en occupant le territoire ancestral et en y maintenant un campement pacifique où les cérémonies traditionnelles tiennent une place importante.
Établies sur la rive ouest du lac Winnipeg, la Nation crie de la rivière Fisher et la communauté métisse de l’île Matheson vivent en grande partie de la pêche commerciale, qui assure la subsistance de nombreuses familles depuis des générations. C’est le cas de la famille Whiteway, dont le mode de vie repose essentiellement sur cette activité. Les membres de la Nation crie de la rivière Fisher s’entraident et se soutiennent mutuellement, notamment par la distribution de poisson au sein de leur communauté et d’une communauté à une autre.
Le réalisateur anichinabé et cri Kevin Settee a confié la narration aux protagonistes des courts métrages, donnant ainsi aux communautés et aux peuples du lac Winnipeg l’occasion de raconter leurs histoires et de décrire leurs difficultés et leurs succès dans leurs propres mots.
LA SÉRIE EN QUELQUES PHRASES
Composée de quatre courts métrages documentaires, La série Lac Winnipeg met en images les récits sur la débrouillardise et la capacité d’adaptation de quatre communautés autochtones vivant aux abords du lac Winnipeg, à un moment où de nombreuses forces extérieures leur imposent un changement. Le réalisateur anichinabé et cri Kevin Settee a confié la narration aux protagonistes des courts métrages, donnant ainsi aux communautés et aux peuples du lac Winnipeg l’occasion de raconter leurs histoires et de décrire leurs difficultés et leurs succès dans leurs propres mots.
LA SÉRIE EN UNE PHRASE
Composée de quatre courts métrages documentaires, La série Lac Winnipeg met en images les récits sur la débrouillardise et la capacité d’adaptation de quatre communautés autochtones vivant aux abords du lac Winnipeg, à un moment où de nombreuses forces extérieures leur imposent un changement.
Sélection officielle
LA Skins Fest, Los Angeles, USA (2021)
La communauté de l’île Matheson regroupe des familles travailleuses qui vivent en autarcie et se transmettent d’une génération à l’autre leurs connaissances de la terre et de l’eau. Toutes entretiennent un lien particulier avec le lac Winnipeg. Pour la famille Whiteway, ce lien passe par la pêche commerciale. Le film relate l’histoire des Whiteway de l’île Matheson, dont la subsistance dépend depuis des lustres de la pêche commerciale. Les Whiteway racontent leur attachement à la pêche, le sentiment de plénitude et la liberté qu’elle procure. Ils témoignent aussi des obstacles à leur mode de vie que constituent les problèmes de santé, les politiques gouvernementales et l’avenir menacé de l’industrie de la pêche.
L’ÎLE MATHESON : EN DEUX LIGNES ET EN UNE LIGNE
L’ÎLE MATHESON (EN DEUX LIGNES)
Ce film relate l’histoire des Whiteway de l’île Matheson, dont la subsistance dépend depuis des lustres de la pêche commerciale. Les Whiteway racontent leur attachement à la pêche, le sentiment de plénitude et la liberté qu’elle procure. Ils témoignent aussi des obstacles à leur mode de vie que constituent les problèmes de santé, les politiques gouvernementales et l’avenir menacé de l’industrie de la pêche.
L’ÎLE MATHESON (EN UNE LIGNE)
Ce film relate l’histoire des Whiteway de l’île Matheson, leur attachement à la pêche et les obstacles à leur mode de vie que constituent les problèmes de santé, les politiques gouvernementales et l’avenir menacé de l’industrie de la pêche.
L’ÎLE MATHESON : GÉNÉRIQUE
(Générique long à venir)
L’ÎLE MATHESON
Écrit et réalisé par Kevin Settee
Avec
Ronnie Whiteway
Melvin Whiteway
Robert Whiteway
Virginia Whiteway
Production Alicia Smith
Production exécutive David Christensen
Montage image et direction photo Scott Parker
Conception et animation des titres James Monkman
Conception sonore Anita Lubosch
Une production de l’Office national du film du Canada
L’ÎLE MATHESON : EXTRAIT
L’ÎLE MATHESON : IMAGES
En 2018, le territoire ancestral des Premières Nations de la rivière Poplar, de la rivière Bloodvein, de Little Grand Rapids et de Pauingassi a été inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. D’un commun accord, les communautés lui ont attribué le nom de Pimachiowin Aki, « la terre qui donne la vie ». Ce film évoque le lien particulier qui unit la Première Nation de la rivière Poplar aux terres et aux eaux qui l’entourent, notamment le lac Weaver, un lieu sacré. Sophia Rabliauskas et Clint Bittern, membres de cette communauté, font valoir l’importance de protéger la terre et l’eau de leur territoire pour les générations à venir, et la responsabilité intergénérationnelle à cet égard.
LA RIVIÈRE POPLAR : EN DEUX LIGNES ET EN UNE LIGNE
LA RIVIÈRE POPLAR (EN DEUX LIGNES)
Ce film évoque le lien particulier qui unit la Première Nation de la rivière Poplar aux terres et aux eaux qui l’entourent. Sophia Rabliauskas et Clint Bittern, membres de cette communauté, font valoir l’importance de protéger la terre et l’eau de leur territoire pour les générations futures, et la responsabilité intergénérationnelle à cet égard. (54 mots)
LA RIVIÈRE POPLAR (EN UNE LIGNE)
Ce film porte sur la responsabilité intergénérationnelle qu’ont les membres de la Première Nation de la rivière Poplar de protéger la terre et l’eau de leur territoire pour les générations futures. (31 mots)
LA RIVIÈRE POPLAR : GÉNÉRIQUE
(Générique long à venir)
LA RIVIÈRE POPLAR
Écrit et réalisé par Kevin Settee
Avec
Sophia Rabliauskas
Clint Bittern
Waylon Bittern
Frank Menow
Roger Douglas
Bradley Bushie
William Fontaine Jr.
Production Alicia Smith
Production exécutive David Christensen
Montage image et direction photo Scott Parker
Conception et animation des titres James Monkman
Conception sonore Anita Lubosch
Une production de l’Office national du film du Canada
LA RIVIÈRE POPLAR : EXTRAIT
LA RIVIÈRE POPLAR : Images
Camp Morningstar est un campement sacré érigé sur le territoire de la Première Nation de Hollow Water, sur la rive est du lac Winnipeg. On l’a installé pour protester contre le projet de mine de sable de silice de la société Canadian Premium Sand (CPS). Les membres de la communauté se sont mobilisés pour sensibiliser les collectivités aux processus de consultation bâclés, aux impacts environnementaux et aux conséquences du projet sur la faune et sur les humains. En février 2020, CPS a interrompu toutes ses activités liées au sable de silice. Les organisatrices et organisateurs de Camp Morningstar n’ont cependant pas crié victoire puisque, comme ils l’avaient prévu, CPS a annoncé la reprise de ses activités l’année suivante. Ce film présente les points de vue de ceux et celles qui ont mis sur pied ou qui soutiennent Camp Morningstar, ainsi que leurs liens historiques et spirituels avec le territoire qu’ils protègent, le rôle des cérémonies et de la spiritualité et le pouvoir des actions collectives.
CAMP MORNINGSTAR : EN DEUX LIGNES ET EN UNE LIGNE
CAMP MORNINGSTAR (EN DEUX LIGNES)
Ce film porte sur Camp Morningstar, un campement sacré érigé sur la rive est du lac Winnipeg pour protester contre un projet de mine de sable de silice. Il présente les liens historiques et spirituels de Camp Morningstar avec le territoire, le rôle des cérémonies et de la spiritualité et le pouvoir des actions collectives. (55 mots)
CAMP MORNINGSTAR (EN UNE LIGNE)
Ce film porte sur Camp Morningstar, un campement sacré érigé sur la rive est du lac Winnipeg pour protester contre un projet de mine de sable de silice. (28 mots)
CAMP MORNINGSTAR : GÉNÉRIQUE
(Générique long à venir)
CAMP MORNINGSTAR
Écrit et réalisé par Kevin Settee
Avec
Lisa Raven
Sarah Bruyere
Ivy Canard
Aldeen Starr Mason
Mary Jane McCarron
Ashley Smith
Dreyson Smith
Kelvin Ramsey
Marcel Hardisty
Daniel Hardisty
Dalton Hardisty
Julius Hardisty
Production Alicia Smith
Production exécutive David Christensen
Montage image et direction photo Scott Parker
Conception et animation des titres James Monkman
Conception sonore Anita Lubosch
Une production de l’Office national du film du Canada
CAMP MORNINGSTAR: EXTRAIT
CAMP MORNINGSTAR : IMAGES
En 2020, la pandémie de COVID-19 a eu un effet dévastateur sur la santé et le bien-être social et économique des populations de l’ensemble de la planète. Ce film présente des exemples de générosité et de persévérance relevés dans la communauté crie de la rivière Fisher. Établie sur la rive ouest du lac Winnipeg, cette communauté a su trouver des solutions à des problèmes liés à la pandémie. Elle a ainsi décidé d’acheter des surplus de poisson et de les distribuer aux communautés autochtones du Manitoba, de la Saskatchewan et du Grand Nord, ce qui a permis à plus de 1500 pêcheurs commerciaux autochtones de poursuivre leurs activités pendant la pandémie. Le film présente également les témoignages de Sharon McKay et de Kailey Arthurson, deux mères confrontées à des difficultés exceptionnelles en raison de la pandémie, mais qui ont continué à prodiguer soins et aide à leur famille et à leur communauté.
LA RIVIÈRE FISHER : En deux lignes et en une ligne
LA RIVIÈRE FISHER (EN DEUX LIGNES)
Ce film présente des exemples de générosité et de persévérance relevés dans la communauté crie de la rivière Fisher en pleine pandémie de COVID-19, notamment l’achat et la distribution de poisson dans la communauté et à d’autres communautés. Il présente aussi les témoignages de mères confrontées à des difficultés exceptionnelles, mais qui ont continué de prodiguer soins et aide à leur famille et à leur communauté.
LA RIVIÈRE FISHER (EN UNE LIGNE)
Ce film présente des exemples de générosité et de persévérance relevés dans la communauté crie de la rivière Fisher, ainsi que les solutions que celle-ci a su trouver à des problèmes liés à la pandémie de COVID-19.
LA RIVIÈRE FISHER : GÉNÉRIQUE
(Générique long à venir)
LA RIVIÈRE FISHER
Écrit et réalisé par Kevin Settee
Avec
Kailey Arthurson
Marcie Sinclair
Nipí Pimatisíwin Arthurson
William Whiteway
Sharon Lynn Mckay
Production Alicia Smith
Production exécutive David Christensen
Montage image Jordan Molaro
Direction photo Kevin Settee
Conception et animation des titres James Monkman
Conception sonore Anita Lubosch
Une production de l’Office national du film du Canada
LA RIVIÈRE FISHER : EXTRAIT
LA RIVIÈRE FISHER : IMAGES
Identité visuelle
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En coulisses
Équipe
Relations de presse
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Katja De Bock
Attachée de presse – Vancouver
C. : 778-628-4890
k.debock@onf.ca | @NFB_Katja
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L’ONF en bref
L’ONF est le producteur et distributeur public canadien d’œuvres audiovisuelles primées, qu’il s’agisse de documentaires, d’animations d’auteur, de récits interactifs ou d’expériences participatives. Depuis 1968, l’ONF a produit plus de 300 œuvres signées par des cinéastes inuits, métis et des Premières Nations, constituant ainsi une collection sans pareille de films qui bousculent les récits de la culture majoritaire et proposent des perspectives autochtones aux auditoires d’ici et du reste du monde. L’ONF met en œuvre un plan d’action comportant une série d’engagements, notamment consacrer au minimum 15 % des dépenses globales de production aux œuvres réalisées par des artistes autochtones et rendre la collection de films autochtones de l’ONF plus accessible sur ONF.ca.