Point d’équilibre
2018 | 76 min
Sélections et prix
Prix des détenuesRIDM 2018
Sélection officielle Festival cinéma du monde de Sherbrooke 2019
Sélection officielle Chicago International Children's Film Festival, Chicago, U.S.A. (2019)
Ils sont perfectionnistes, ambitieux, déterminés, mais aussi candides, émouvants et capables d’autodérision. Ils ont 10, 12, 14 ans, encore un pied dans les rêves de l’enfance, mais déjà, ils se frottent aux plus hautes exigences de performance et carburent à l’adrénaline. À travers le regard de quatre élèves de l’École supérieure de ballet du Québec, Point d’équilibre explore de l’intérieur la vie de jeunes danseurs à l’orée de l’adolescence, ce moment charnière où se dessine la fin des illusions.
Fin et maîtrisé, le documentaire capte le quotidien de filles et de garçons qui se racontent et se regardent eux-mêmes dans un mélange de légèreté et de gravité propre à cet âge où les fantasmes de l’enfance rencontrent les réalités du monde adulte. Leur parcours initiatique rejoint celui, plus universel, de chaque être humain faisant face aux grandes décisions qui président à son avenir.
Synopsis
Synopsis
Filmé à hauteur d’enfant, Point d’équilibre explore de l’intérieur la vie et les rêves de jeunes danseurs à l’orée de l’adolescence, ce moment charnière où se dessine la fin des illusions. Un documentaire tendre et captivant où les élèves de l’École supérieure de ballet du Québec se racontent avec une candide lucidité.
En une ligne
Filmé à hauteur d’enfant, Point d’équilibre explore de l’intérieur la vie et les rêves de jeunes danseurs de ballet à l’orée de l’adolescence qui se racontent avec une candide lucidité.
À propos du film
Ils sont perfectionnistes, ambitieux, déterminés, mais aussi émouvants et capables d’autodérision. Ils ont 10, 12, 14 ans, encore un pied dans l’enfance, et déjà, ils se frottent aux plus hautes exigences de performance et carburent à l’adrénaline. Ils rêvent de danser pour les plus grands ballets du monde et sont prêts à tout pour y arriver. En donnant une entière liberté de parole à quatre élèves de l’École supérieure de ballet du Québec, Point d’équilibre nous fait osciller entre l’intensité d’un entraînement peu commun et les vies, autant sociales qu’intérieures, de jeunes au seuil de l’adolescence.
Incursion rare et privilégiée dans les coulisses d’une école renommée qui forme les danseurs de haut niveau au Québec, Point d’équilibre présente un visage sans fard du ballet. Au-delà des clichés sur cette discipline artistique et sportive, le film révèle l’engagement exceptionnel de jeunes qui choisissent une formation exigeante où persévérance, efforts et courbatures sont le lot quotidien. « La beauté est difficile », précise la réalisatrice.
Filmé à hauteur d’enfant pendant une année scolaire, ce premier long métrage de Christine Chevarie-Lessard explore de l’intérieur la vie de jeunes danseurs à la fin de l’enfance et de ses illusions. On y découvre au fil des jours Camille, Lola, Emma et Shô, ainsi que leurs amis, dans leur apprentissage de la précision et de la douleur, en studio, en audition, en coulisses, mais aussi dans l’intimité de leur chambre ou au parc, lieux de confidences.
Sensible à ces jeunes à qui elle cède toute la place — aucun professeur ou parent n’est interviewé dans le film —, la réalisatrice nous fait entrer dans leur tête, ayant d’abord recueilli des heures et des heures d’entrevues audio. Leurs confessions, franches et candides, se fondent aux images d’une caméra qui scrute les visages et les corps, captant le doute de soi, l’effort, la nervosité, l’envie ou la déception. Entre leur désir viscéral de se voir acceptés et confirmés dans ce prestigieux établissement et la difficulté de l’entraînement, ils affrontent la réalité, celle de leur corps, celle de leurs limites, celle de l’excellence. Qu’il s’agisse de blessures, de sentiment d’échec ou de pensées d’abandon, les questions sont graves quand il faut choisir de quitter ou non une discipline à laquelle on a, malgré son jeune âge, déjà consacré des années d’entraînement et autant d’espoir.
Le spectateur assiste à l’éclosion de personnalités tout autant qu’à la mise au monde d’athlètes formés selon une éthique et des méthodes strictes et éprouvées. Même sous la pression, ces jeunes font preuve d’une empathie étonnante les uns envers les autres. Ils se donnent à fond à leur entraînement, ce qui ne les empêche pas de se soucier de leurs amitiés, de leurs premiers béguins, du regard des autres, de la difficulté d’avoir un corps qu’on ne peut modeler tout à fait selon les besoins de la discipline. Surprenants de lucidité et de maturité, ils sont aussi en pleine quête identitaire, aux prises avec les défis de leur génération.
Après plus de six ans de travail obstiné, une persévérance qui n’est pas sans rappeler celle de ses sujets, Christine Chevarie-Lessard signe un premier film fin, maîtrisé, accessible et doté d’un véritable souci formel. La réalisatrice a su s’entourer d’une solide équipe composée de professionnels aguerris, dont François Vincelette à la direction photo, Vincent Guignard au montage, Catherine Van Der Donckt à la conception sonore et Jérôme Minière à la direction musicale. Sans compter Chantal Lafleur et Geneviève Thibert de Productions Avenida, ainsi que Nathalie Cloutier de l’ONF, à la production. La force du documentaire tient à l’authenticité du ton et au point de vue de l’intérieur. Les jeunes se racontent et se regardent eux-mêmes dans un mélange de légèreté et de gravité propre à leur âge, où les fantasmes de l’enfance rencontrent les réalités du monde adulte. Leur parcours initiatique rejoint celui, plus universel, de chaque être humain faisant face aux grandes décisions qui président à son avenir, ces points de bascule où la vie provoque un face-à-face avec soi-même.
Mot de la réalisatrice
Pour moi, la principale différence entre le monde de l’enfance et celui des adultes tient à un fil mince, mais puissant : les enfants ont la capacité de croire que tout est possible. Être astronaute, jouer dans la Ligue nationale de hockey, marcher au plafond, devenir vétérinaire, tout s’offre à eux. J’avais envie d’explorer cette période entre la fin de l’enfance et le début de l’adolescence, car c’est le moment où, tranquillement, nos rêves se heurtent à la réalité.
J’ai choisi de m’intéresser à des jeunes de 10 à 13 ans qui pratiquent la danse classique de manière professionnelle. L’enfance, qu’on associe plus habituellement à une période de jeu et d’insouciance, est ici mêlée à un univers plus « adulte ». En effet, l’école de ballet est un lieu où l’exigence de la discipline fait écho à l’exigence de la vie professionnelle adulte : passer un processus de sélection rigoureux, respecter les règles et l’autorité, travailler fort pendant de longues heures, agir de manière responsable et hyper-organisée. La plupart de ces jeunes danseurs ont commencé à danser vers 3-4 ans, rêvant de grandes scènes, de tutus, d’applaudissements, d’être forts et légers, défiant la gravité. Mais c’est une chose de rêver et c’en est une autre de faire face à une charge de travail énorme et aux épreuves que doivent surmonter les danseurs étoiles.
Ce passage à l’école de ballet les change nécessairement physiquement, mais surtout psychologiquement. J’ai voulu capter cette transformation en les filmant sur plusieurs mois. J’ai porté mon regard de cinéaste sur l’humain plutôt que sur les prouesses physiques. Certains découvrent que leur corps, leur « instrument », a des limites et que malgré les efforts on ne réussit pas à le contraindre autant que cet art classique l’exige. D’autres voient leur motivation chanceler devant les corrections des professeurs et un horaire chargé. Tous doivent apprendre à composer avec la douleur physique et les blessures, presque inévitables lorsqu’on se soumet à un entraînement aussi intensif.
La danse devient finalement pour eux une façon d’en apprendre sur eux-mêmes et sur la vie. Et en ce sens, nous nous reconnaissons en eux au-delà de l’art qu’ils pratiquent. Je sais qu’en les observant et en les interviewant, j’ai reconnu l’enfant que j’étais et l’adulte que je suis devenue. La passion, l’exigence, le perfectionnisme et la détermination qui me guident, mais m’éraflent au passage. À leur manière, Lola, Emma, Camille et Shô nous montrent la difficulté de vivre avec un esprit qui cherche à s’envoler et la gravité qui le ramène sur terre. Et en les regardant s’investir autant dans une discipline, sans savoir s’ils atteindront leur but, on ressent la beauté et la difficulté d’être un artiste.
LES JEUNES DANSEURS
LOLA
À 12 ans, Lola entre au secondaire et entame sa troisième année du programme professionnel, habitée par le rêve de danser sur les grandes scènes internationales. Elle est élégante et musicale, mais elle est aussi consciente de ses défis physiques. Elle a connu son lot de blessures et redouble d’efforts pour atteindre le niveau exigé. Lucide, elle sait que peu de danseurs accèdent à la carrière convoitée en danse classique et réfléchit aux autres options qui s’offrent à elle. Elle aime la mode, la photo, les costumes, sert même de modèle pour les vêtements de danse Mondor. Avec ses amies, avec qui elle pratique le ballet depuis son plus jeune âge, elle trouve du soutien, partage des confidences et fait du hip-hop le vendredi soir… après sa semaine de ballet.
SHÔ
On le surnomme « Showtime » parce qu’il aime faire rire ses amis et saute le plus haut. Cette année, Shô, Québécois d’origine japonaise, intègre le programme professionnel à 13 ans, en même temps qu’il débute le secondaire. Il fait face à plusieurs défis. En plus de difficultés scolaires, il doit intégrer la difficile technique de ballet des hommes et garder sa motivation devant cette tâche colossale. « Est-ce que je vais être capable de faire ce qu’ils me demandent ? » Conscient de ses limites physiques, dont ses bras trop chétifs, Shô fait preuve de beaucoup d’autodérision. Passionné de mangas, il partage avec les autres garçons de l’école son amour de la bande dessinée et les aléas liés au fait d’évoluer dans un univers majoritairement féminin.
EMMA
Emma est la plus petite et menue de son groupe, mais elle ne passe pas inaperçue. Expressive, enthousiaste et hyper-organisée, la fillette de 11 ans ne manque pas de charisme. Cette année est importante pour elle : en deuxième année au programme professionnel, elle enfile ses premières pointes et auditionne pour le rôle de Clara dans Casse-Noisette. Si la fillette d’origine argentine et suisse obtient ce rôle, elle devra monter sur scène devant 3000 personnes. Amoureuse des animaux, Emma se voit peut-être devenir un jour vétérinaire.
CAMILLE
À 10 ans, Camille découvre l’étendue des défis à relever lors de son entrée au programme professionnel de ballet. Chignon impeccable, échauffement avant les cours, corrections incessantes qu’elle a parfois du mal à intégrer et qui la font se contracter. Après avoir développé une douleur aux pieds qui ne guérit pas, Camille est placée devant un vrai dilemme : continuer le ballet professionnel ou se retirer. Un deuil que la fillette hyper-perfectionniste n’est pas prête à faire, carburant à la rigueur et à l’exigence depuis son jeune âge. Camille aime aussi se réfugier dans sa cachette secrète, un pin dans un parc d’Ahuntsic près de chez elle, sur une branche d’où elle peut espionner les garçons qui jouent au soccer.
Bande-annonce
Équipe
Extrait #1
Extrait #2
Matériel promotionnel
Images
Générique
Scénario et réalisation
CHRISTINE CHEVARIE-LESSARD
Participants
SHÔ ARAKI
CAMILLE CHARBONNEAU
LOLA LAFRANCE-OLIVERAS
EMMA MONNIER
SAMUEL ABRAMIAN
NAHAMIE BLONDIN
CALISTA CARON
NATALIA CHATILOVA
GABRIELLE CHEVALIER
ANNE DRYBURGH
AURÉLIE FORTIN
ANGÉLIE GAMACHE
EMMA GARAU CIMA
NATHALIE GÉRARD
ANIA JASTRZEBSKA
MARINA KOUTCHOUK
CATHERINE LAFORTUNE
PIERRE LAPOINTE
ANDRÉ LAPRISE
MARGOT McCOMBER
ARNAUD MONGEON
FRANÇOIS N. GAGNÉ
ANAÏS ROY
LESYA SAMAR
CHARLOTTE TA
EMILY WALL
CHRISTINE WILLIAMS
Et tous les élèves de l’École supérieure de ballet du Québec
Productrices
CHANTAL LAFLEUR (AVENIDA)
NATHALIE CLOUTIER (ONF)
GENEVIÈVE THIBERT (AVENIDA)
Productrice exécutive
COLETTE LOUMÈDE (ONF)
Direction photo
FRANÇOIS VINCELETTE
Images supplémentaires
RÉNALD BELLEMARE
NICOLAS CANNICCIONI
ÉVANGELINE DE PAS
ALEX MARGINEANU
GENEVIÈVE THIBERT
Prise de son
RICHARD LAVOIE
CATHERINE VAN DER DONCKT
Prise de son supplémentaire
MARCO FANIA
CHRISTINE LEBEL
MARTYNE MORIN
FRANCE POLISENO
Directrices de production
ÉVANGELINE DE PAS
GENEVIÈVE THIBERT
Consultation technique caméra
STEVE HALLÉ
Montage
VINCENT GUIGNARD
Stagiaire au montage
ANNE BERNIER
Soutien technique au montage image
PIERRE DUPONT
ISABELLE PAINCHAUD
PATRICK TRAHAN
Montage en ligne
YANNICK CARRIER
Musique originale
JÉRÔME MINIÈRE
Conception sonore
CATHERINE VAN DER DONCKT
Montage sonore
BENOÎT DAME
JÉRÉMIE JONES
Bruitage
STÉPHANE CADOTTE
Bruitage additionnel
AUDREY SAVARIA
Enregistrement du bruitage
LUC LÉGER
Mixage sonore
SHELLEY CRAIG
Titres
MÉLANIE BOUCHARD
Transcription des entrevues
MYLÈNE DALPÉ
Animation
KAMELEIDOSCOPE
Réalisation, animation et compositing
STEGO
Animation
GABRIELLE LE BLANC
FRANCISCO NOVERO
LES TABLEAUX IMAGINAIRES
Directrice de production
ISABELLE COURVAL
Assistant caméra
ALEXANDRE FRÉCHETTE
Chorégraphie – Lola
KUNAL RANCHOD
Danseur-Lola
ELLJAY TIMMANGEN
Confection de la robe – Lola
JILL MEURIS
Accessoiriste
ANNIE-CLAUDE GAGNON
ÉQUIPE PRODUCTIONS AVENIDA
Adjointe à la production
MARIE-ÈVE LALIBERTÉ
Comptable de production
ÉLAINE SARRAZIN (GESTION RL)
Conseillers juridiques
MARIE-JOSÉE HAREL
CHARLES GAGNON-PRADIER
Libération des droits musicaux
JOSÉE-ANNE TREMBLAY
ÉQUIPE ONF
Conseiller juridique
CHRISTIAN PITCHEN
Agente de mise en marché
JUDITH LESSARD-BÉRUBÉ
assistée de
JOLÈNE LESSARD
Administratrice
SIA KOUKOULAS
Coordonnatrices de production
CHINDA PHOMMARINH
GABRIELLE DUPONT
Adjointe administrative
PASCALE SAVOIE-BRIDEAU
Coordonnateurs techniques
MIRA MAILHOT
DANIEL LORD
Productrice déléguée
MÉLANIE LASNIER
Financement intérimaire
BANQUE NATIONALE DU CANADA
GROUPE CINÉMA ET TÉLÉVISION
Expert-comptable
BCGO
Assurances
GLOBALEX MEMBRE DE FRONT ROW
Extrait du spectacle Casse-Noisette 2016
GRANDS BALLETS CANADIENS DE MONTRÉAL
Chorégraphie de FERNAND NAULT
Avec la permission du Fonds chorégraphique Fernand Nault
Interprètes
JÉRÉMY GALDEANO
EMMA GARAU CIMA
Extrait du spectacle Corps de ballet
« MERCI MONTRÉAL! »
Chorégraphie de SHAWN HOUNSELL
Dans une mise en scène de SOPHIE-ESTEL FERNANDEZ
Lieux de tournage
BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES NATIONALES DU QUÉBEC
COLLÈGE JEAN-EUDES – O-TAKU MANGA LOUNGE – PLACE DES ARTS ROSSETTI DE MONTRÉAL – SALLE PIERRE-MERCURE
Merci à l’École supérieure de ballet du Québec pour son soutien
Un merci particulier à
ANIK BISSONNETTE, directrice artistique
LILI MARIN, directrice adjointe – Communications et relations publiques
ALIX LAURENT, directeur général
Professeurs et personnel
CLAUDINE BALAUX
NOËLLINE DUMONT
SOPHIE-ESTEL FERNANDEZ
VINCENT WARREN
Musiciens
LOUISE AUCLAIR
MARTIN CARON
LUCIE CAUCHON
ELAINE GAERTNER
ENZO DE ROSA
ROBERT SWERDLOW
Merci aux parents des participants
PASCALE BARETTE BRISSON
LUC CHARBONNEAU
ANN DEPELTEAU
MARINA KOUTCHOUK
SYLVIE LAFRANCE
FERNANDA MACCHI
LAURENT MCCOMBER
STEFAN MONNIER
MAX OLIVERAS
AYA TSUKADA
Merci aux Grands Ballets Canadiens de Montréal
JOSÉE CARRIÈRE
ALAIN DANCYGER
NATALIE DION
PATRICIA GÉLINAS
SHEILA SKAIEM
Coproduit par
PRODUCTIONS AVENIDA
et l’OFFICE NATIONAL DU FILM DU CANADA
Relations de presse
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Productions Avenida
L’entreprise indépendante Productions Avenida a pour mission de développer, pour tous les publics, des productions cinématographiques, télévisuelles et transmédias qui se distinguent par leur originalité, leur créativité et leur qualité.
Au fil des années, Productions Avenida a su développer une expertise et une collaboration de confiance avec des coproducteurs internationaux. Forte de son savoir-faire, la compagnie a travaillé à des coproductions avec la France, la Belgique, l’Angleterre et l’Autriche.
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L’ONF en bref
Fondé en 1939 et unique en son genre, l’Office national du film du Canada (ONF) produit, coproduit et distribue des documentaires et des films d’animation distinctifs, engageants, pertinents et innovants. Incubateur de talents, il est un des plus grands laboratoires de création au monde. Depuis plus de huit décennies, l’ONF permet aux Canadiennes et aux Canadiens de se raconter et de se rencontrer. Ses films sont de plus une ressource éducative fiable et accessible. L’ONF possède également une expertise reconnue mondialement en préservation et en conservation, en plus d’une riche collection vivante d’œuvres qui constituent un pilier important du patrimoine culturel du Canada. Jusqu’à maintenant, l’ONF a produit plus de 14 000 œuvres, dont 6500 sont accessibles gratuitement en ligne sur onf.ca. L’ONF ainsi que ses productions et coproductions ont remporté au-delà de 7000 prix, dont 11 Oscars et un Oscar honorifique récompensant l’excellence de l’organisation dans toutes les sphères de la cinématographie.