En marche : l’amour et la résistance queers
2025 | 96 min
Documentaire
Anglais et français avec sous-titres français
Prix et festivals
Sélection officielle - Film d’ouvertureFestival canadien du documentaire international Hot Docs, Toronto, Canada (2025)
Sélection officielleRainbow Visions Film Festival, Edmonton, Canada (2025)
Prix du public pour le meilleur long métrage documentaireInside Out 2SLGBTQ+ Film Festival, Toronto, Canada (2025)
En marche : l’amour et la résistance queers retrace les moments décisifs qui ont mené à l’émergence du mouvement 2ELGBTQIA+ au Canada, et rend hommage aux militantes et militants dont les actes de résistance nous ont valu nos droits actuels.
À l’aide d’images d’archives rarement vues et de témoignages, le film entraîne le public en première ligne du combat. Des descentes de police jusqu’aux premiers spectacles de drag queens, et des communautés qui s’organisent jusqu’à la Chambre des communes, l’histoire complexe de la diversité canadienne se dessine sous nos yeux. Le récit de ces jalons déterminants illustre la puissance de l’action collective, mais nous rappelle également que des droits acquis de haute lutte peuvent aisément nous être retirés. C’est dire qu’il s’agit là d’un documentaire essentiel pour l’ensemble des Canadiennes et Canadiens.
Sans compromis, audacieux et porteur d’espoir, En marche : l’amour et la résistance queers raconte un chapitre capital de l’histoire queer.
Bande-annonce
En une ligne
En marche : l’amour et la résistance queers braque les projecteurs sur le militantisme qui a donné son impulsion au mouvement 2ELGBTQI+ au Canada.
Synopsis court
Sans compromis, audacieux et porteur d’espoir, En marche : l’amour et la résistance queers raconte un chapitre capital de l’histoire queer. Le film retrace les moments décisifs qui ont mené à l’émergence du mouvement 2ELGBTQIA+ au Canada, et rend hommage aux militantes et militants dont les actes de résistance nous ont valu nos droits actuels.
Mot du réalisateur
Compte tenu des attaques auxquelles les personnes trans et les autres membres de la communauté 2ELGBTQI+ doivent encore une fois faire face, le besoin s’impose d’actualiser nos connaissances sur les mouvements militants qui nous ont fait parcourir tout ce chemin. On ne devrait pas laisser les archives queers s’empoussiérer : ces photos, ces vidéoclips et ces bobines de film doivent voir la lumière du jour, afin que nous puissions honorer celles et ceux qui ont fait la différence. Avec En marche, nous avons voulu placer le public dans la rue, là où nous avons conquis nos droits. L’amener à entendre, à voir et à ressentir ces protestations stimulantes qui ont fait avancer les choses et poussé la société canadienne à s’ouvrir. Puisse ce film agir à la manière d’un guide, car les troupes devront peut-être de nouveau fourbir leurs armes dans les jours prochains.
Mot de la productrice
Lorsque l’histoire qu’ils racontent se déploie sur toute une vie, la réalisation de certains films s’inscrit aussi dans la durée. En marche est de ces films. Le chemin qu’ont parcouru les membres du mouvement 2ELGBTQI+ en plus de 50 ans de militantisme et de victoires s’est déroulé sur l’ensemble de ma vie. Non seulement ai-je été témoin de ces événements, j’y ai souvent participé aussi.
Mais cette histoire, bien des gens n’en sont même pas au courant, tant parmi le public canadien en général que dans les communautés 2ELGBTQI+. Mon intention, en portant ce film à l’écran, était donc de m’assurer que ces histoires étaient documentées et qu’elles étaient racontées par les militantes et militants et les témoins des événements, dans leurs propres mots. Il nous faut connaître les gens qui nous ont précédés et leur rendre hommage.
Nous vivons une période effrayante. On attaque directement notre communauté, en ciblant particulièrement nos frères et nos sœurs trans, et en tentant de nous priver des droits que nous avons conquis de haute lutte. Notre combat, notre résistance ne sont pas terminés : il reste encore beaucoup à faire. J’espère que notre film servira d’inspiration et d’appel à l’action, non seulement pour la communauté 2ELGBTQI+, mais pour celles et ceux qui sont nos alliés.
Entrevue avec le réalisateur
En tant que jeune écolier canadien, qu’avez-vous appris à propos des droits des personnes gaies ? Qu’en disait le curriculum scolaire officiel à l’époque ?
Lorsque j’étais à l’école, il n’y avait pas de curriculum officiel, mais seulement des dépliants sur les pratiques sexuelles sûres. Malheureusement, le sida est apparu au même moment que ma puberté. Les groupes d’affinités n’existaient pas encore dans les écoles. Au Centre de ressources Rainbow, à Winnipeg, il y avait (et il y a toujours) un groupe pour jeunes et une ligne d’assistance téléphonique. Il y avait aussi une bibliothèque de prêt, et durant mon adolescence, certains d’entre nous ont pu se rendre à Berlin pour participer à une conférence internationale destinée à la jeunesse gaie. Mon éducation s’est faite en dehors de l’école.
Il y a tant de vieilles photos et de vidéoclips formidables dans ce film ! Comment avez-vous obtenu les documents d’archives ? Avez-vous déniché des « perles » ou eu accès à des images que le public n’avait jamais vues ?
Nous connaissions l’existence des images captées par le militant Jearld Moldenhauer lors de la Toronto Pride au début des années 1970, mais dans l’entrevue que nous avons réalisée avec lui, il a aussi mentionné avoir filmé la manifestation We Demand en 1971, à Ottawa. Il a eu la gentillesse de nous donner accès à une boîte à chaussures contenant des bobines Super 8, les a fait transférer en format numérique et a ainsi retrouvé le document qu’il avait filmé de ce premier rassemblement national au Canada. Ces images n’avaient pas été vues depuis plus de 50 ans !
Comment avez-vous établi le contact avec les gens des différentes communautés queers, ou comment avez-vous sollicité leur participation si vous les connaissiez déjà ? Comment les diverses personnes interviewées ont-elles réagi à la perspective de participer à En marche, et qui plus est, en cette période particulière ?
Nous avons ratissé large. Nos recherches dans les documents d’archives nous ont permis de faire des découvertes, dont celle de Jeanine Maes, qui s’est présentée à nous lorsque notre archiviste-conseil Rebecka Sheffield a retrouvé une entrevue révolutionnaire qu’elle avait accordée à Radio-Canada en 1968. L’entrevue de Mirha-Soleil Ross est également ressortie de la recherche que nous avons effectuée dans les ArQuives (les archives 2ELGBTQI+ canadiennes), qui hébergent son fonds d’archives. Nancy Marcotte, qui a effectué nos recherches archivistiques, est profondément enracinée dans la communauté montréalaise et elle a joué un rôle essentiel dans le repérage des personnes interviewées. La productrice Justine Pimlott a pour sa part des liens solides avec la communauté militante de Toronto, et bon nombre des artistes et des cinéastes qui participent à En marche sont aussi des proches et des gens de la communauté dont nous connaissons le travail depuis des années (l’humoriste Robin Tyler, par exemple, est une parente éloignée, mais nous ne nous sommes vus qu’à l’occasion du film). Puisqu’il a fait partie du mouvement HOLA (Homosexuals of Latin America), le monteur Ricardo Acosta, originaire de Cuba, a recruté des participants de HOLA pour le film. Et je suis ami depuis des décennies avec certains organisateurs bispirituels de Winnipeg. C’est ainsi que les récits issus de la communauté sont racontés par des gens de la communauté : grâce à des relations de longue date bâties sur la confiance.
Les membres de notre équipe ont vraiment eu l’impression que c’était maintenant ou jamais, et beaucoup de protagonistes se sont sûrement dit la même chose. Depuis le tournage, malheureusement, deux des personnes que nous avions interviewées (Amy Gottlieb et Ron Rosenes) sont décédées.
Beaucoup de choses suscitent l’indignation ou la colère dans ce film. Mais il demeure tout de même amusant, rempli d’espoir et divertissant. Quel ton souhaitiez-vous lui donner et comment avez-vous trouvé un équilibre qui vous a semblé juste ?
Je voulais qu’on se souvienne que, malgré la gravité de nombreux épisodes, et malgré toute l’acrimonie et la violence dont nous avons été la cible, on peut aussi se réjouir en prenant conscience de tout ce qui a été accompli du côté des mouvements populaires. Et puis, comme on dit : « Si je ne peux pas danser, je ne veux pas prendre part à votre révolution[1]. » À bien des égards, les manifestations ont cet aspect tonique et dynamisant, et nous voulions que le public soit transporté dans la rue, qu’il sente l’énergie de ces militantes et militants qui ont effectivement changé le monde.
Il vous a sans doute fallu laisser de côté un certain nombre de récits et de personnes en raison de contraintes de temps, de budget, d’accès ou autres (par exemple, des militantes et militants décédés ou des dossiers que personne n’a conservés). Comment vous êtes-vous senti, devant cette impossibilité de tout raconter en un seul film ?
Il y a des épisodes que nous n’avons pu inclure faute de documents d’archives écrits ou visuels. Et puis d’autres films avaient déjà relaté certains événements. Nous n’avions pas l’intention de réaliser une histoire définitive du mouvement 2ELGBTQI+ au Canada : ce sont des choix subjectifs, une ligne directrice et le point de vue de notre équipe de tournage qui nous ont fait insister davantage sur certains thèmes, qu’une autre équipe aurait peut-être jugés moins nécessaires. J’espère que d’autres documentaires canadiens suivront et qu’ils approfondiront le sujet.
En marche se termine en faisant le lien entre tous les progrès réalisés par le passé et certains enjeux actuels très pressants liés aux droits 2ELGBTQI+ au Canada. Le film contient-il un appel à l’action précis ? Qu’espérez-vous de la part du public une fois que celui-ci aura vu le film, que ce soit sur le plan personnel ou de la communauté ?
Lorsque nous avons amorcé ce projet, on aurait dit que la question des droits 2ELGBTQI+ était en dormance, c’est-à-dire qu’elle ne suscitait plus de controverse et que tout le monde s’entendait là-dessus. Mais au cours de la production, la situation a changé et, à la fin du film, nous avons constaté que ces droits que nous nous réjouissions d’avoir conquis ont commencé à être contestés. En conséquence, les histoires racontées dans le film deviennent une sorte de plan de la façon dont la lutte a été menée par le passé. Un plan qui remet à l’ordre du jour cette histoire audacieuse, bordélique et dangereuse du temps où nous avons dû nous battre et, dans certains cas, quasiment mourir dans la rue pour faire changer les choses. Pas de doute, nous traversons une période où « plus ça change, plus c’est pareil ».
[1] N.D.T. Allusion à une citation attribuée à l’anarchiste Emma Goldman en réponse à l’austérité de ses camarades révolutionnaires.
Affiche
Extraits
Images
Équipe
Générique
À la mémoire des activistes qui ont osé descendre dans la rue.
Scénario et réalisation
Noam Gonick
Production
Justine Pimlott
Montage
Ricardo Acosta C.C.E.
Production exécutive
Chanda Chevannes
Anita Lee
Direction photo
Mrinal Desai
Musique originale
Ken Myhr
Conseil, archives
Rebecka Sheffield
Recherche, archives
Nancy Marcotte
Tanya Fleet
Affranchissement, archives
Nancy Marcotte
Avec la participation de
Hugh Brewster
Chabuca/Rico Rodriguez
Titi Galore/Alexander Chapman
Susan G. Cole
Cheri DiNovo C.M.
Rodney Diverlus
Debbie Douglas
Andy Fabo
Lynne Fernie
Fontaine
Richard Fung
Lorne Goldblum
Amy Gottlieb
John Greyson
Charlie Hill C.M.
Tom Hooper
Ed Jackson
Nicolas Jenkins
leZlie lee Kam
Paul Keenan
Myra Laramee
Alan Li
Samuel Lopez
Jeanine Maes
Tim McCaskell
Courtnay McFarlane
Albert McLeod
Connie Merasty
Jearld Moldenhauer
Yvette Perreault
Jeffrey Richstone
Laval Rioux
Svend Robinson
Ron Rosenes C.M.
Lorraine Segato C.M.
Mirha-Soleil Ross
Tony Souza
Robin Tyler
Rinaldo Walcott
Syrus Marcus Ware
Production déléguée
Mark Wilson
Melissa Paduada
Supervision de la production
Marcus Matyas
Administration de la production du studio
Andrew Martin-Smith
Victoria Angell
Adrianna Marling
Coordination principale de la production
Melissa Paduada
Adrianna Marling
Aaron Corso
Vaishnavi Sambhus
April Dunsmore
Prise de son
Nancy Yeboah
Prise de vues additionnelles
Ashley Iris Gill
Stefan Kuchar
Chefs électriciens de plateau
Stefan Kuchar
Anna Shor
Assistance à la caméra
Ash Tailor
Mentorée membre de la CSC
Renata Mohamed
Coiffure et maquillage
Sade Tuitt
Chefs machinistes
Katie Yealland
Jasmine deBoer
Ryan Graham
Enregistrement sonore additionnel
Ariel Novo Curiel
Toby Zheng
Carlos Valdez
Kyel Loadenthal
Stephen Lorne
Coiffure et maquillage additionnels
Lyren Cherlet
Jessica Cohen
Christie Charlene
Gestion des données
Jasmine deBoer
Marco Pe
Avery Wilton
Chanel Grellmore
Traduction
Aaron Pollard
Assistance à la production
Cleo Vaillancourt
Julianna Notten
Caleb Phillips
Jahte Le
Chanel Grellmore
Maria Ramage
Fritzi Adelmen
Jorge Valdes Ruiz
Craig Watson
Katharine Greco
Recherche
Jane Farrow
Dana Inkster
Candice Klein
Nancy Marcotte
Rebecka Sheffield
Recherche d’archives additionnelle
Craig Jennex
Montage de la démo
Bruce Little
Coordination technique
Kevin Riley
Luc Binette
Shaghayegh Haghdoust Yazdi
Assistance au montage
Phillip Hawkes
Meraj Badiuzzaman
Lwam (Lu) Asfaha
Soutien au montage
Patrick Trahan
Albert Kurian
Pierre Dupont
Conception sonore
Michelle Irving
Mixage final
Isabelle Lussier
Montage des dialogues
Elma Bello
Soutien technique au son
Bernard Belley
Montage en ligne
Luca Di Gioacchino
Effets visuels
Cynthia Ouellet
Infographie
Josh Kaplan
Conception du générique
Cynthia Ouellet
Affranchissement des droits sur la musique
Amy Fritz
Chant
Lori Cullen
Nicholas Kotoulas
Jane Siberry
Musique
Ron Korb
Mark Skazinetsky
Bridget Hunt
Ivan Ivanovich
Winona Zelenka
Mandataire musical
Lenny Solomon
Enregistrement de la musique
Dennis Patterson
Gestion des opérations du studio
Mark Wilson
Coordination de la production
Calvin Serutoke
Coordination du studio
Carly Kastner
Calvin Serutoke
Victoria Anderson-Gardner
Technicien de studio
Q’mal Labad-Workman
Stratégie principale, mise en marché
Jamie Hammond
Gestion de projet, mise en marché
Melissa Haughton
Coordination de la mise en marché
Jolène Lessard
Relations de presse
Jennifer Mair
Conseil juridique
Christian Pitchen
Remerciements très particuliers
Maya Gallus
Remerciements particuliers
Brian Fior
Michael Walker
Michelle Douglas
Mathieu Chantelois
Chanelle Gallant
Junior Harrison
Marcus McCann
Carol Thames
Chris Vogel
The ArQuives: Canada’s LGBTQ2+ Archives
Raegan Swanson
Sam Cronk
Lucie Handley-Gerard
Schem Rogerson Bader
Daniel Payne
Archive/Counter-Archive
Janine Marchessault
Aimee Mitchell
Jean-Pierre Marchant
Remerciements
Carol Allan
Kevin Allen
Stephen Andrews
Colin Arason
Jody Badner
Emily Barton
Dominique Bourque
Bernard Cayer
Janis Cole
Line Chamberland
Erin Chisholm
Brad Crawford
Rodney Diverlus
Debbie Douglas
Zouhir Elasery
Maureen Fitzgerald
Chris Fox
Suzanne Girard
Yvon Guérin
Nick Hector
Erin Hershberg
Ross Higgins
Phillip Ing
Ed Jackson
Ali Kazimi
Patrick Keilty
Gary Kinsmen
Valdor Lagacé
Landon Lake
Bruce Little
Peter Maloney
Stephanie Martin
David McIntosh
Greg Mefferd
Robin Metcalfe
Elian Mikkola
Andrew Moir
Jules Moore
Mitesh Patel
John Pimlott
Ruper Raj
Marie Robertson
Bernard Rousseau
Makeda Silvera
Ryan Simmons
Sean Singer
Andrew Sorofleet
Brigitte Sutherland
Harry Sutherland
Louise Turcotte
Almerinda Travassos
James Vitti
Kate Vollum
Gary Walker
Thom Waugh
Tobaron Waxman
Kathy Wazana
Doug Wilson
Mickey Wilson
Michelle Wong
Allison Yearwood
Nora Young
Astrid Zimmer
Bruno Zimmer
Transcription
Mina Yoon
Josh Hillier
Traduction
Power of Babel
Trans & Sub Coop
Studios
276 Sterling Studio
AstroLab Studios Inc.
Private Ear Recording
Studio 4 Sets
Matériel
Ontario Camera
William F. White International Inc.
Joe Sutherland Rentals Inc.
Transferts de films Super 8 et 8 mm
Nathalie Dallaire
Steven Woloshen
Fourniture de documents d’archives
David Adkin
Judy Blankenship
Marik Boudreau
Charles Dobie
Richard Dworkin
Andy Fabo
Stefan Fedorowich
Lynne Fernie
Maureen Fitzgerald
Richard Fung
Noam Gonick
Alvaro Goveia
Linda Dawn Hammond
Philip Hannan
Leif Harmsen
Edward Jackson
Gregory Jeresek / Jeresek Video
leZlie lee kam
Alan Li
Jorge Lozano
Jeanine Maes
Peter Marmorek
Jearld Frederick Moldenhauer
Yvette Perreault
John Reeves
Konnie Reich
Nik Sheehan, CeLL Productions
Norman Taylor
Almerinda Travassos
Robin Tyler
Archives publiques de l’Ontario
Archives / MédiaQMI inc.
Archives de Radio-Canada
Black Lives Matter Canada
Body Politics / Pink Triangle Press
La Presse Canadienne
Vente d’archives de Radio-Canada
Ville d’Ottawa
eFootage
Chambre des communes du Canada
KinoLibrary
Archives Wolfson du Miami Dade College
Rogers Media Inc.
Université de Winnipeg, au Manitoba
Service des archives et des collections spéciales de l’Université du Manitoba
VIVO Media Arts Centre
Getty Images :
Boris Spremo
Don Carl Steffen
Frank Lennon
Fred W. McDarrah
Underwood Archives
Pond5 :
grandsultan
celiafoto
Images Super 8, avec l’autorisation de Jearld Moldenhauer
Photographies, Gerald Hannon – The ArQuives: Canada’s LGBTQ2+ Archives
Prestation de Michelle Ross tirée de « Minimum Charge No Cover », de Janis Cole et Holly Dale © 1976
“AIDS die-in » extrait de “Come Out: Lesbian and Gay Pride Day, Toronto, 1993” de James Leahy
“Track Two = Enough is Enough” de Harry Sutherland / Pink Triangle Press
“Orientations” de Richard Fung / V-Tape
“March of Hearts” de Nancy Nicol / V-Tape
“We’re Here, We’re Queer, We’re Fabulous”
Collection Maureen Bradley et Danielle Comeau
Groupe Intervention Vidéo (GIV)
“Gay Liberation Front march on Times Square”
Photo de Diana Jo Davies, Division manuscrits et archives, Bibliothèque publique de New York
“Black Panthers drilling before Free Huey Rally, DeFremery Park, Oakland, CA”
© The Regents of the University of California.
Avec l’autorisation des Collections spéciales, University Library, University of California, Santa Cruz.
Photographies, Ruth-Marion Baruch et Pirkle Jones.
Musique sous licence
“Downtown”
Composition, Tony Hatch
Arrangement, Ken Myhr
Interprétation, Lori Cullen et Ken Myhr
“Touch Me and Die”
Composition et interprétation, Kara-Lis Coverdale
Avec l’autorisation de Kara-Lis Coverdale et David Sutton
“Cry the Clock Said”
Composition, Gary Numan
Interprétation, Terre Thaemlitz
Avec l’autorisation de Comatonse Recordings
“Informant”
Composition, Kara-Lis Coverdale et David Sutton
Interprétation, Kara-Lis Coverdale
Avec l’autorisation de Kara-Lis Coverdale et David Sutton
“Icon-C”
Composition et interprétation, Kara-Lis Coverdale
Avec l’autorisation de Kara-Lis Coverdale et David Sutton
“Ad_renaline”
Composition et interprétation, Kara-Lis Coverdale
Avec l’autorisation de Kara-Lis Coverdale et David Sutton
“Nu_chanic”
Composition et interprétation, Kara-Lis Coverdale
Avec l’autorisation de Kara-Lis Coverdale et David Sutton
« La Reina del Norte »
Composition, Elizabeth Rodriguez
et Magdelys Savigne
Interprétation, OKAN
Avec l’autorisation de Lulaworld Records
“Angry Young Woman”
Composition, Susan Sturman
Interprétation, Mama Quilla II
Avec l’autorisation de Tupperwaros Records, ©1982
Développé en association avec
The ArQuives: Canada’s LGBTQ2+ Archives
© Office national du film du Canada, 2025
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Attaché de presse, ONF
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