En attendant Raif
2022 | 150 min
Documentaire
Arabe, Français, Anglais
Prix et festivals
Sélection officielleFestival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue, Rouyn-Noranda (2022)
Sélection officielleRendez-vous Québec Cinéma (2023)
Sélection officielleVictoria Film Festival, Colombie-Britannique (2023)
Une coproduction de Macumba média inc. et de l’Office national du film du Canada
Récit tragique d’une famille brisée par l’acharnement de la monarchie saoudienne, En attendant Raif suit pendant huit ans le combat inspirant d’Ensaf Haidar pour faire libérer son mari, le célèbre prisonnier d’opinion Raif Badawi. Posant un regard inédit et touchant sur les implications personnelles et politiques de l’affaire, le film observe de l’intérieur les épreuves traversées par cette réfugiée mère de trois enfants, tant au Québec, sa terre d’adoption, que sur la scène internationale.
Bande-annonce
Affiche
SYNOPSIS LONG
Récit tragique d’une famille brisée par l’acharnement d’une monarchie absolue, En attendant Raif suit de l’intérieur, pendant huit ans, le combat inspirant d’Ensaf Haidar pour faire libérer son mari, le célèbre prisonnier d’opinion Raif Badawi.
Depuis une décennie, l’affaire Badawi défraye la chronique et scandalise l’opinion. Accusé par la monarchie saoudienne d’avoir insulté l’islam dans ses propos critiques envers le régime, le jeune blogueur a été condamné en 2012 à 10 ans d’emprisonnement et 1000 coups de fouet, un châtiment dont la barbarie a suscité l’émoi à l’international. Pendant toute la durée de sa peine, qui n’a jamais été réduite, une formidable campagne de mobilisation en sa faveur a été menée depuis l’étranger par une femme au courage et à la détermination inébranlables : son épouse, Ensaf Haidar.
De 2014 à 2022, les deux cinéastes primés Patricio Henriquez et Luc Côté (Vous n’aimez pas la vérité) ont suivi les épreuves traversées par Ensaf Haidar pour faire libérer Raif Badawi. Si la jeune femme charismatique est devenue au fil du temps une figure publique mondiale symbolisant la lutte pour la liberté d’opinion, c’est avant tout sur son parcours intime que les réalisateurs choisissent de se pencher.
Réfugiée depuis 2013 au Québec, dans la ville de Sherbrooke, Ensaf traverse toutes les épreuves d’une immigrante et d’une mère qui doit élever seule ses trois enfants, Najwa, Tirad et Miriyam. En plus de s’intégrer à une nouvelle culture et d’apprendre une langue inconnue, Ensaf vit le drame de l’exil et l’angoisse de la séparation. Jour après jour, elle voit ses enfants grandir loin de leur père et ignore quand sa famille sera réunifiée. Mois après mois, elle s’inquiète pour la santé mentale et physique de son mari, soumis à un châtiment cruel dans une prison surpeuplée. Année après année, elle s’accroche à l’espoir de sa libération prochaine et refuse de baisser les bras.
Se faisant complices de tous ses instants de vie, les cinéastes ont recueilli ses espoirs et ses doutes, observé ses hauts et ses bas, écouté ses peines d’aujourd’hui et ses rêves pour demain. Leur film témoigne de l’amour profond liant Ensaf et ses enfants, de l’enracinement progressif de la famille au Canada et de ses appels réguliers et sans doute surveillés à Raif. Le documentaire raconte aussi comment celle qui a grandi dans un royaume où les femmes sont soumises à l’autorité masculine a su occuper tous les espaces de liberté que son nouveau pays lui a offerts, allant même jusqu’à participer à la vie politique canadienne en embrassant la cause de l’indépendance du Québec.
Pleinement adoptée par les résidents et résidentes de Sherbrooke, qui tiendront au cours des années pas moins de 376 vigiles de solidarité avec Raif, Ensaf trouve en eux une nouvelle « famille » qui lui donne la force de mener sa bataille. Avec l’appui de sa communauté et notamment des activistes d’Amnistie internationale, elle prend vaillamment la parole auprès de dirigeants, de médias, d’universités et d’institutions politiques de tout le monde occidental. Avec un regard acéré sur les nombreux enjeux derrière l’affaire Badawi, les cinéastes mettent également en évidence les contradictions du gouvernement canadien, qui prétend défendre les droits de la personne en Arabie saoudite, tout en livrant au royaume des armes qui alimentent la répression contre le peuple et la guerre catastrophique au Yémen.
La libération récente de Raif Badawi, sans aucune remise de peine et assortie d’une interdiction de s’exprimer publiquement et de voyager à l’extérieur du royaume jusqu’en 2032, est la preuve éclatante de l’échec de la diplomatie occidentale en Arabie saoudite dans la question des droits de la personne. Posant un regard inédit et touchant sur les implications personnelles et politiques de l’affaire Badawi, En attendant Raif montre que le combat d’Ensaf est loin d’être terminé.
SYNOPSIS COURT
Récit tragique d’une famille brisée par l’acharnement de la monarchie saoudienne, En attendant Raif suit pendant huit ans le combat inspirant d’Ensaf Haidar pour faire libérer son mari, le prisonnier d’opinion Raif Badawi. Accusé par le régime d’avoir insulté l’islam, le célèbre blogueur a été condamné en 2012 à 10 ans d’incarcération et 1000 coups de fouet, un châtiment barbare qui a suscité l’émoi à l’international. Pendant toute la durée de sa peine, une formidable campagne de mobilisation en sa faveur a été menée avec courage et détermination par son épouse, Ensaf, réfugiée depuis 2013 au Québec. Année après année, celle-ci voit ses trois enfants grandir loin de leur père et ignore quand leur famille sera réunifiée. Posant un regard inédit et touchant sur les implications personnelles et politiques de l’affaire, le film observe de l’intérieur les épreuves traversées par la jeune femme, tant sur sa terre d’adoption que sur la scène mondiale, et met en évidence les contradictions de l’Occident à l’égard de l’Arabie saoudite.
EN UNE PHRASE
Récit tragique d’une famille brisée par l’acharnement d’une monarchie absolue, En attendant Raif suit de l’intérieur, pendant huit ans, le combat inspirant d’Ensaf Haidar pour faire libérer son mari, le célèbre prisonnier d’opinion Raif Badawi.
Entrevue avec Luc Côté et Patricio Henriquez
Pouvez-vous nous raconter la genèse du projet ? Comment avez-vous rencontré Ensaf Haidar ?
Luc Côté : Je travaille parfois pour Amnistie internationale, qui m’a demandé de tourner une entrevue avec une réfugiée récemment arrivée à Sherbrooke. Il s’agissait d’Ensaf Haidar, et cette entrevue est en fait le premier entretien avec Ensaf au début du film. Cinq ou six mois plus tard, je suis retourné voir la famille pour un autre projet d’Amnistie : une lettre du fils d’Ensaf, Doudi (Tirad), à son père. En janvier 2015, quand il a été annoncé que Raif allait être fouetté, Patricio, qui savait que je connaissais Ensaf et ses enfants, m’a proposé de réaliser un film sur eux. C’est devenu notre deuxième collaboration.
Il était difficile de savoir au début du tournage que Raif Badawi allait rester enfermé jusqu’à la fin de sa peine. Comment le projet a-t-il évolué au cours des huit années ?
Patricio Henriquez : Moi, j’ai eu l’impression dès le début que le projet allait être long, étant donné l’enjeu des prisonniers d’opinion dans cette monarchie absolue d’un autre temps, ainsi que celui des droits des femmes, qui était encore pire à l’époque. Toutefois, même selon le scénario le plus pessimiste, on pensait que Raif avait une chance d’être libéré, car on voyait la campagne prendre de l’ampleur, menée par cette jeune femme. Il n’y avait rien qu’on aurait pu prévoir, mais le scénario s’écrivait tout seul au fur et à mesure des événements qu’on connaît aujourd’hui (comme l’affaire Khashoggi). On n’a certainement pas tout couvert, mais il fallait parler de certaines questions. L’Arabie saoudite, c’est complexe et fascinant !
L. C. : Ça a été un processus évolutif : le film a changé continuellement et on s’est laissé porter par l’histoire d’Ensaf et par la réalité politique qui se déroulait sous nos yeux. Ce serait un film complètement différent si on l’avait terminé en 2015 ! Nous devions suivre l’énergie du film, sur le plan tant personnel que politique.
Ensaf se bat pour la libération de son mari et pour la laïcité en Arabie saoudite, mais vous abordez dans le film des enjeux plus larges, notamment liés aux relations entre le Canada et la monarchie saoudienne. Pourquoi était-ce important pour vous d’aborder ces questions ?
L. C. : Au départ, nos recherches étaient très larges, car on ne savait pas comment on allait intégrer l’histoire personnelle dans la perspective macro. Arrivés au montage, on avait énormément de matériel, mais certains choix étaient évidents : l’histoire se passe au Canada, donc il fallait parler de la vente des fameuses jeeps ; c’est aussi un portrait de femme, donc on voulait parler des droits des femmes.
P. H. : Dès le début, dans notre proposition, on ne voulait pas que ce soit « juste » un film sur un drame familial, même si ce drame est très important. On souhaitait avoir une ligne éditoriale qui explique le contexte de l’affaire et la situation internationale. À l’époque, la monarchie saoudienne était déjà critiquée, mais on en parlait moins. On tenait à insérer l’histoire personnelle dans une analyse politique.
Le film s’arrête à la libération de Raif, mais le combat n’est pas terminé. Quels sont vos espoirs, en tant que cinéastes et proches d’Ensaf ?
P. H. : En vérité, on cherchait une fin au film. Quand on a su que Raif allait être libéré, on savait qu’on avait notre fin, et il fallait qu’on termine pour des raisons administratives et éditoriales. Mais, malheureusement, le combat de la famille pour être réunie n’est pas encore terminé.
L. C. : On recevait aussi en permanence de l’information privilégiée de différentes institutions (Parlement européen, Parlement canadien, avocats de Raif, etc.), qui nous ont permis plus ou moins de voir venir la fin. Quant à nos espoirs aujourd’hui, c’est difficile à dire ! Les choses sont tellement imprévisibles. C’est sûr qu’on souhaite aux membres de cette famille de pouvoir se retrouver en personne ; ils ont tellement envie d’être ensemble. Mais rien ne dit que ça va se passer le mois prochain, l’année prochaine ou dans 10 ans.
P. H. : On est probablement plus pessimistes aujourd’hui qu’au début du tournage, après tout ce qui s’est passé. La guerre en Ukraine a aussi des conséquences : beaucoup de dirigeants renouent leurs liens avec Mohammed ben Salmane. Beaucoup de pays sont « prisonniers » de l’Arabie saoudite, alors la monarchie fait ce qu’elle veut. Tous les discours occidentaux sur les droits de la personne sont très hypocrites.
Il s’agit de votre deuxième collaboration sur un long métrage documentaire, après Vous n’aimez pas la vérité. En quoi vous complétez-vous et peut-on s’attendre à d’autres collaborations à l’avenir ?
P. H. : Nous sommes de très bons amis. Je suis un immigré, alors les amitiés au Québec, ma vie sociale, je les ai trouvées surtout dans le milieu professionnel, et c’est très précieux ! On avait adoré travailler ensemble sur le film sur Omar Khadr (Vous n’aimez pas la vérité – 4 jours à Guantánamo).
L. C. : Moi, je veux réaliser un film non pas avec Patricio mais sur Patricio : son parcours de réfugié, son départ du Chili, son arrivée au Canada… C’est une histoire fantastique !
P. H. : … Mais il n’a aucune autorisation ! (Rires.)
L. C. : Plus sérieusement, Patricio est très solide sur le plan politique, alors que moi je pousse plus le côté humain. Grâce à ça, on a pu trouver un bon équilibre dans le film entre le personnel et le politique.
Extraits
Images
Équipe
Générique
Un film produit, écrit et réalisé par
Luc Côté
Patricio Henriquez
Produit par
Colette Loumède (ONF)
Montage
Andrea Henriquez
Avec
Ensaf Haidar
Najwa Badawi
Tirad (Doudi) Badawi
Miriyam Badawi
Katya Arbour
Caroline Custeau
Suzanne Cayouette
Monia D’Amours
Mireille Elchacar
Sandra Hallé
Jane Hospes
Sylvie Joubert
Yenny López
Richard-Gilles Perreault
Les citoyens et citoyennes de Sherbrooke
Images
François Beauchemin
Joël Bertomeu
Luc Côté
Bruno Fraser
Patricio Henriquez
Étienne Roussy
Prise de son
Tiago McNicoll-Castro-Lopes
Nils Caneele
Luc Côté
Julien Fréchette
Mélanie Gauthier
Patricio Henriquez
Recherche
Pascale Bilodeau
Luc Côté
Patricio Henriquez
Friederike Venus (Berlin)
Recherche d’archives
Nancy Marcotte
Conception graphique
Mélanie Bouchard (ONF)
Alain Ostiguy (ONF)
Montage en ligne et colorisation
Yannick Carrier (ONF)
Musique originale
et direction musicale
Robert Marcel Lepage
Assisté de
Olivier Béliveau
Samuel Desrosiers
Pierre-Yves Martel
Andrew Wells-Oberegger
Musiciens
Olivier Béliveau, guitare, percussions
Guillaume Bourque, clarinette basse
Samuel Desrosiers, guitares, basse
Sheila Hannigan, violoncelle
René Lussier, guitares
Pierre-Yves Martel, dessus de viole, lap steel
Marilène Provencher-Leduc, flûte
Andrew Wells-Oberegger, oud et percussions
Bruitage
Stéphane Cadotte
Enregistrement du bruitage
Geoffrey Mitchell (ONF)
Montage et conception sonore
Claude Langlois
Mixage sonore
Jean Paul Vialard (ONF)
Produit avec la participation financière de
Société de développement des entreprises culturelles – Québec
Crédit d’impôt cinéma et télévision – Québec
Fonds documentaire Rogers
Téléfilm Canada
Fonds des médias du Canada
Produit avec la collaboration de
Radio-Canada
Julia Lauzon
Directrice, Documentaires de l’Information
Marjolaine Mineau
Première cheffe, Documentaires de l’Information
Images additionnelles
Marc Aderghal
Tirad (Doudi) Badawi
Rafaël Barnwell
Rénald Bellemare
Maxime Côté
Sylvestre Guidi
Christian Paré
Assistants de production
Raphaël Fraser
Sarah-Ève Martin
Assistants au montage
Lea Henriquez
Vincent Lacombat
Soutien technique au montage
Marie-Josée Gourde (ONF)
Pierre Dupont (ONF)
Isabelle Painchaud (ONF)
Patrick Trahan (ONF)
Traductions
Meriem Achour Bouakkaz (arabe)
Eli Jean Tahchi (arabe)
Jennifer Hille (allemand)
Révision des textes français
Françoise Guénette
Interprète
Mireille Elchacar (arabe)
Directeur technique
Denis Boisvert
Directeur de production
Koussay Hamzeh
Administrateur
John Chretien
Conseiller juridique
David Langis
Lussier & Khouzam
Remerciements spéciaux
Evelyne Abitbol
Ali Adubisi
Georges Amar
Jérémie Battaglia
Bachir Bensaddek
Denis Boisvert
Laurence Branchereau
Kristen Breitweiser
David Carl
Paul Carvalho
Steven Chase
Pierre Conessa
Michel Corriveau
Jocelyn Coulon
Kamel Daoud
Ronald J. Deibert
Serge Denis
Halima Elkhatabi
Michel Giroux
Michel Gretry
Michel Grou
Denis Jacqmin
Grégory Lassus-Debat
Colette Lelièvre
Vincent Letellier
Roxane Loumède
Mira Mailhot
Maya May
Luc Mampaey
André Pâquet
Jean Pelletier
Carole Poliquin
Anne Sainte-Marie
Michel St-Pierre
Oana Suteu Khintirian
Daniel Turp
Béatrice Vaugrante
Amnistie internationale, Canada francophone
Avaaz – Le monde en action
Avocats sans frontières – Québec
Citizen Lab
Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité (GRIP)
La Tribune
Pour les droits des femmes du Québec
The Globe and Mail
Remerciements
Élyes Ammar
Orlando Arriagada
Robert Audet
Claude Bastien
Djemila Benhabib
Danielle Bérard
Sophie Bissonnette
André Caron
Hugues Chaker
Yanik Cloutier
Jean Côté
Yvon Côté
Irwin Cotler
Sylvie Deschamps
Paule Dion
Éli Dubois
Marie-Claude Dupois
Gabrielle Dupont
Olivier Dulude
Talal Elmir
Lucie Fiset
Jonathan Fournier
Joé Grantham-Charbonneau
Léa Grantham-Charbonneau
Sandrine Guillot
Amélie Hardy
Heiko Hei
Gabriel Henriquez
Laura Isabelle
Maude Lambert
Francine Landry
Abraham Lifshitz
Audrey Nantel-Gagnon
Ximena Ortiz
Pascal Paradis
Jocelyne Perrier
Geneviève Rochette
Steve Roy
Anne-Marie Saint-Cerny
Nina Scholz
Christoph Scott
Brandon Silver
José St-Jacques
Yanic St-Jacques
Michel St-Pierre
Nancie Tanguay
Marie-Pierre Tardif
Karent Tessel
Carmen Torres
Mireille Tremblay
Tous les gens qui ont participé à 376 vigiles à Sherbrooke
ArchAnge Films
École primaire Larocque
École secondaire de la Montée
École de conduite ConduiPro Estrie
Provigo Larouche Fleurimont – Sherbrooke
Restaurant Le sultan – Sherbrooke
Séminaire de Sherbrooke
Extrait du slam SALUT RAIF
avec l’aimable autorisation de David Goudreault
Le portrait de Raif apparait dans le film
avec l’aimable autorisation de l’artiste peintre
Louis Robichaud
Archives visuelles
AFP
Amnistie internationale
Bell Media
Council on Foreign Relations
Marcel Dufour
Europe 1
France Médias Monde
Getty Images
Global News
La Presse Canadienne
Les Films Adobe inc.
Les Prix de la laïcité
London Free Press, une division de Postmedia Network Inc.
Middle East News
North Superior Publishing Inc. / Scott Alan Sumner
Office of Video – U.S. Department of State
Pond5
Screenocean / Reuters
Services audiovisuels du Parlement européen (Strasbourg)
Société Radio-Canada
Tout le monde en parle / La Clique du Plateau /
Radio-Canada / Ardisson & Lumières France
Jan van Bwekkum
VDZ Publishers’ Night 17, Berlin
Archives photo
Ensaf Haidar, collection privée
Lagardère Media News
Les archives suivantes sont intégrées dans ce film
selon le principe d’utilisation équitable.
Les cinéastes souhaitent souligner le courage des personnes
qui ont filmé clandestinement certaines de ces images.
Prison de Briman-Djeddah / YouTube
Flagellation de Raif Badawi / YouTube
Corps pendus en public / YouTube
Décapitation à La Mecque / LiveLeak – YouTube
Véhicules blindés légers canadiens / YouTube
Vidéo promotionnelle tourelles et canons Cockerill 3000 Series / YouTube
Entrevue avec le père de Raif Badawi / YouTube
Entrevue avec Samar Badawi / World Talks – YouTube
L’Arabie saoudite permet aux femmes de conduire / Arab News – YouTube
Véhicules militaires canadiens au Yémen / Yemen Wrath – YouTube
Équipe ONF
Agent de mise en marché
François Jacques
Coordonnatrice à la mise en marché
Émilie Ryan
Administratrice
Sia Koukoulas
Coordonnatrices de studio
Gabrielle Dupont
Stéphanie Lazure
Coordonnatrices principales de production
Joëlle Lapointe
Chinda Phommarinh
Coordonnatrices techniques
Mira Mailhot
Esther Viragh
Productrice déléguée
Mélanie Lasnier
Productrices exécutives
Colette Loumède
Nathalie Cloutier
Producteurs exécutifs
Luc Côté
Patricio Henriquez
Produit par
Macumba média II
en coproduction avec
l’Office national du film du Canada
onf.ca
En attendant Raif
© Macumba média II inc. et l’Office national du film du Canada, 2022
Relations de presse
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Sophie St-Pierre
Attachée de presse, ONF
Cell. : 438-336-6449
s.st-pierre@onf.ca
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L’ONF en bref
Fondé en 1939 et unique en son genre, l’Office national du film du Canada (ONF) produit, coproduit et distribue des documentaires et des films d’animation distinctifs, engageants, pertinents et innovants. Incubateur de talents, il est un des plus grands laboratoires de création au monde. Depuis plus de huit décennies, l’ONF permet aux Canadiennes et aux Canadiens de se raconter et de se rencontrer. Ses films sont de plus une ressource éducative fiable et accessible. L’ONF possède également une expertise reconnue mondialement en préservation et en conservation, en plus d’une riche collection vivante d’œuvres qui constituent un pilier important du patrimoine culturel du Canada. Jusqu’à maintenant, l’ONF a produit plus de 14 000 œuvres, dont 6500 sont accessibles gratuitement en ligne sur onf.ca. L’ONF ainsi que ses productions et coproductions ont remporté au-delà de 7000 prix, dont 11 Oscars et un Oscar honorifique récompensant l’excellence de l’organisation dans toutes les sphères de la cinématographie.