Chroniques du Centre-Sud
et
Le syndrome de la tortue
2021 | Deux courts métrages (2 x 4 min)
Dessin traditionnel sur tablette graphique
Version originale en français
Résolument ludique et humoristique, la collection Chroniques du 9e art est de retour avec deux courts métrages qui témoignent des riches affinités entre la bande dessinée et le cinéma d’animation. Produite par l’ONF, cette deuxième édition fait appel au talent de deux bédéistes devenus cinéastes : Samuel Cantin (Whitehorse) et Richard Suicide (Chroniques du Centre-Sud). Plongez dans les deux portraits animés qu’ils ont créés pour l’occasion : celui d’un mythique quartier montréalais en pleine transformation et celui d’une maladie pour le moins intrigante.
À propos de la collection : texte de présentation version longue
Après une première édition couronnée de succès en 2017, la collection de courts métrages Chroniques du 9e art est de retour avec de nouveaux films qui témoignent des riches affinités entre la bande dessinée et le cinéma d’animation. Avec une approche résolument ludique et humoristique, deux bédéistes devenus réalisateurs — Samuel Cantin (Whitehorse) et Richard Suicide (Chroniques du Centre-Sud) — ont accepté d’adapter leur œuvre, avec les précieux conseils du cinéaste d’animation émérite Claude Cloutier.
Sous la loupe de ces créateurs au style graphique bien distinct, l’animation devient un excellent moyen d’aborder des dimensions inédites de leur plus populaire BD, de revisiter leurs personnages bien-aimés et d’explorer les possibilités du son, du dialogue ou de la narration. Des sujets comme l’hypocondrie, l’angoisse, la pauvreté, l’embourgeoisement et l’alcoolisme sont traités avec un regard espiègle, voire provocateur. Plongez dans leurs deux dynamiques portraits animés : celui d’un mythique quartier montréalais en pleine transformation et celui d’une maladie pour le moins intrigante.
Matériel promotionnel
- Chroniques du 9e art_Affiche_24x36
- Chroniques du Centre-Sud_Affiche_24x36
- Le syndrome de la tortue_Affiche_24x36
Sélections et prix
Prix NAD de la Meilleure animation - Fantastiques week-ends du cinéma québécoisFestival international de films Fantasia, Montréal, Canada (2021)
Sélection officielle Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue, Rouyn-Noranda, Canada (2021)
Sélection officielleFestival international du cinéma francophone en Acadie – FICFA, Moncton, Nouveau-Brunswick (2021)
Sélection officielleRendez-vous Québec Cinéma (2022)
Dans son logement miteux du Centre-Sud de Montréal, un auteur trouve l’inspiration en observant son voisin le Piton, qui fait preuve de beaucoup d’ingéniosité pour surmonter la misère. Par le biais de cette allégorie pseudoscientifique loufoque, le bédéiste Richard Suicide replonge dans le capharnaüm surréel de Chroniques du Centre-Sud pour livrer un formidable portrait d’un quartier en pleine transformation sociale. Produit par l’ONF, ce film fait partie de la collection Chroniques du 9e art.
À propos de Chroniques du Centre-Sud : synopsis long, synopsis en deux lignes
Synopsis long
Dans son logement miteux du Centre-Sud de Montréal, un auteur en panne d’inspiration trouve le sujet de son livre en observant son voisin. Le Piton est un personnage plus grand que nature qui fait preuve de beaucoup d’ingéniosité pour surmonter la misère. De la collecte et l’empilage d’objets hétéroclites à la préparation de la fameuse bagosse de patates, l’observation de ce « cycle pitonique » guérit le syndrome de la page blanche pour laisser place à un formidable portrait d’un quartier en pleine transformation sociale. Par le biais de cette allégorie pseudoscientifique loufoque, l’auteur de bandes dessinées Richard Suicide replonge dans le capharnaüm surréel de Chroniques du Centre-Sud. Produit par l’ONF, ce film fait partie de la collection Chroniques du 9e art.
Synopsis en deux lignes
Dans le Centre-Sud de Montréal, un auteur trouve l’inspiration en observant son ingénieux voisin le Piton. Il en résulte un portrait loufoque d’un quartier en pleine transformation sociale, signé Richard Suicide.
Entrevue avec le réalisateur Richard Suicide
Quel a été le plus grand défi posé par l’adaptation de votre BD Chroniques du Centre-Sud pour le cinéma ?
J’avais déjà fait des illustrations pour des animations commerciales, mais c’était la première fois que je réalisais mon propre film. Je pense que le plus difficile était de synthétiser les choses importantes de ma BD dans un film aussi court. Surtout que j’ai tendance à mettre vraiment plein de petits détails partout. J’ai décidé de conserver les mêmes personnages, mais de réécrire l’histoire pour mieux les mettre en contexte. Compresser cet univers n’était pas évident : mon premier scénario aurait pu donner un film de 40 minutes ! Mais après plusieurs versions, je suis très content de ce que j’ai réussi à dire en si peu de temps.
Votre BD est plutôt pour les adultes, en raison des sujets, mais aussi du langage utilisé. Avez-vous ressenti le besoin de vous censurer un peu pour rejoindre un plus vaste public ?
C’est sûr que la BD originale contient des choses moins soft, beaucoup d’allusions à l’alcool et des sacres… [Rires.] Sauf que ce n’est pas mon regard qui est cru, c’est le milieu social que je décris. J’ai de l’expérience en illustration de livres pour enfants, mais ici, on a plutôt établi un public cible de 15 ans et plus, donc j’avais du jeu. À part le nom du personnage, qui est passé de Bison à Piton — et celui de sa femme, de Bisoune à Pitoune ! —, il n’y a pas eu de grands changements.
Quelle est l’inspiration derrière le personnage du voisin, le Piton ?
Il a existé pour vrai ! Quand j’ai commencé à habiter dans le Centre-Sud, il était mon voisin et faisait vraiment partie de la faune locale. Je l’observais énormément… sauf que c’était beaucoup plus trash que dans mon livre. J’ai commencé à m’intéresser à lui et au quartier, qui a énormément changé depuis. Il y avait beaucoup de pauvreté, de prostitution… C’était tout un monde ! Je me suis mis à créer de petits fanzines, Chroniques de la rue Cartier, que j’ai décidé de synthétiser dans un livre complet sur le sujet. Je m’intéresse beaucoup au quartier qui, pour moi, est lui aussi un personnage.
Avez-vous l’impression que l’humour permet d’« adoucir » les sujets plutôt durs que vous abordez ?
Oui, et aussi le fait d’observer les choses sans les juger, comme le fait l’auteur qui habite au troisième étage dans le film. C’est important pour moi de décrire le milieu social, la faune locale, l’embourgeoisement et les commerces qui n’existent plus. Sauf que je le fais avec une sympathie pour les personnages. La BD est drôle, même si la réalité ne l’était pas du tout : il y avait de la vraie misère. Tout le monde qui restait sur Cartier à l’époque n’est plus là. À la fin du film, le Piton est évincé… et un doute plane au sujet de l’auteur.
Quels sont les plus grands apprentissages que vous tirez de cette première expérience de réalisation ?
Comprendre l’ensemble du processus, de l’idée de départ au résultat, et tout le travail que ça comporte par rapport à la BD. Il y avait beaucoup d’interactions avec l’animateur Francis Papillon — que je connaissais pour son super travail sur le projet La liste des choses qui existent —, le producteur Marc Bertrand et le conseiller Claude Cloutier. J’ai aussi appris à propos du son, de la musique, des acteurs… Donner des voix aux personnages, c’était super bizarre ! Au début, Marc voulait que je fasse moi-même la narration, sauf que je n’étais pas trop à l’aise avec l’idée. L’important était de respecter le niveau de langage, l’accent typiquement montréalais. Ça a donné des discussions très intéressantes sur le sujet, et j’ai adoré observer comment se passe la direction d’acteurs. J’ai beaucoup ri !
Est-ce difficile de travailler en équipe, quand on est habitué à la solitude de la BD ?
C’est très différent, mais je ne suis pas très control freak : au contraire, j’aime beaucoup quand les gens partagent leurs idées, donc le cinéma était parfait pour ça. Créer une BD, c’est plusieurs années d’isolement, mais quand j’ai besoin de recul, je fais appel à mon entourage. Comme en ce moment, je travaille sur une BD commencée il y a trois ans, et je fais beaucoup appel à mes collègues. Un peu comme dans Chroniques du Centre-Sud, l’histoire est axée sur la réalité assez dure d’un quartier aujourd’hui embourgeoisé, mais cette fois c’est Le Plateau-Mont-Royal. Ça se passe dans les années 1970 et les personnages sont des enfants. Ça devrait sortir l’an prochain !
Chroniques du Centre-Sud : Générique
Un film de
Richard Suicide
Chroniques du Centre-Sud
Tiré du livre de Richard Suicide
Animation et montage
Francis Papillon
Conception des décors
Richard Suicide
Consultant
Claude Cloutier
Conception sonore et composition musicale
Stéphanie Hamelin Tomala
Avec la voix de
Luc Guérin
Direction de plateau
Natalie Hamel-Roy
Bruitage
Sam Mongeau
Enregistrement des voix et du bruitage
Geoffrey Mitchell
Musiciens
Jimmy Lahaie
Juan Pablo Carmona Lopez
Stéphanie Hamelin Tomala
Mixage
Geoffrey Mitchell
Séquence d’ouverture
Réalisation
Pascal Blanchet
Rodolphe Saint-Gelais
Musique
Pierre Yves Drapeau
Direction technique
Eric Pouliot
Spécialiste technique – animation
Yannick Grandmont
Coordination technique
Mira Mailhot
Montage en ligne
Denis Pilon
Titres
Jacques Bertrand Simard
Coordination de studio
Laetitia Seguin
Administration
Karine Desmeules
Coordination principale de production
Camila Blos
Mise en marché
Geneviève Bérard
Production déléguée
Anne-Marie Bousquet
Mylène Augustin
Production
Marc Bertrand
Production exécutive
Julie Roy
Chroniques du Centre-Sud
Studio d’animation
Programmation et production, Programme français
Création et innovation
www.onf.ca
© 2021 Office national du film du Canada
Chroniques du Centre-Sud : Clip promotionnel
Chroniques du Centre-Sud : Images
Sélections et prix
Sélection officielle Festival international de films Fantasia, Montréal, Canada (2021)
Sélection officielle Festival international du cinéma francophone en Acadie – FICFA, Moncton, Nouveau-Brunswick (2021)
Sélection officielle, Grand Competition – Short FilmAnimafest Zagreb – World Festival of Animated Film, Croatie (2022)
Sélection officielleRendez-vous Québec Cinéma (2022)
Sélection officielleReel 2 Real International Film Festival for Youth, Vancouver, Colombie-Britannique (2022)
De quelle maladie Henri Castagnette peut-il bien être affligé ? Complètement angoissé, le jeune homme remet son sort entre les mains du Dr Von Strudel, un personnage étrange et exubérant. Samuel Cantin, auteur des populaires BD « verbomotrices » Phobie des moments seuls et Whitehorse, renoue avec son attachant antihéros le temps d’un délire médical hilarant. Produit par l’ONF, Le syndrome de la tortue fait partie de la collection Chroniques du 9e art.
À propos du syndrome de la tortue : synopsis long, synopsis en deux lignes
Synopsis long
De quelle maladie Henri Castagnette peut-il bien être affligé ? Complètement angoissé, le jeune homme remet son sort entre les mains de la médecine. Il attend nerveusement à la clinique, impatient de connaître le diagnostic crucial du Dr Von Strudel, un personnage étrange et exubérant. Samuel Cantin, auteur des populaires BD « verbomotrices » Phobie des moments seuls et Whitehorse, renoue avec son attachant antihéros le temps d’un délire médical hilarant, qui s’avère particulièrement rafraîchissant et salvateur en cette période où nous avons tous besoin de rire un peu. Produit par l’ONF, Le syndrome de la tortue fait partie de la collection Chroniques du 9e art.
Synopsis en deux lignes
De quelle maladie Henri Castagnette peut-il bien être affligé ? Complètement angoissé, le jeune homme remet son sort entre les mains de l’exubérant Dr Von Strudel. Un délire médical hilarant, signé Samuel Cantin.
Entrevue avec le réalisateur Samuel Cantin
Comment votre expérience préalable dans les domaines du cinéma et de la BD vous a-t-elle été utile pour l’adaptation de Whitehorse en film d’animation ?
Pendant mes études en cinéma à Concordia, j’ai eu l’occasion de réaliser quelques courts métrages « non professionnels ». J’ai aussi scénarisé d’autres projets, comme une websérie et un court métrage. C’était très différent de faire Le syndrome de la tortue : être à la tête de tous les aspects, encadré par l’ONF… Mais l’expérience s’est faite très naturellement ! Quand je crée des BD, j’ai l’impression de faire déjà beaucoup de mise en scène, de découpage et de montage. Pour moi, cette partie de la démarche est ressemblante. Ce que je n’aimais pas de la réalisation à Concordia était la frénésie sur les plateaux : c’était beaucoup trop stressant pour moi. Sauf qu’ici, le film s’est fait chez moi, tranquillement, durant la pandémie. Je ne me suis pas senti trop dépaysé par rapport à la BD.
Avec qui avez-vous collaboré pour Le syndrome de la tortue ?
C’est ma blonde, Agathe Bray-Bourret, qui en signe l’animation : elle avait déjà collaboré avec l’ONF sur le film Le mal du siècle, et nous avions aussi déjà signé un projet ensemble, le clip animé de Laisse-le pas te laisser des Hay Babies. On travaillait donc tous les deux à la maison, et la collaboration était facile. J’avais aussi des rencontres avec mon consultant, le cinéaste d’animation Claude Cloutier, et avec les producteurs Marc Bertrand et Anne-Marie Bousquet.
Le syndrome de la tortue est fondé sur un extrait qui correspond au tout début de Whitehorse. Quelles sont les particularités de cette scène ?
C’est une scène un peu spéciale parce qu’elle est complètement à part du reste de la BD. Comme les deux tomes de Whitehorse font 550 pages, ce serait impossible d’adapter l’histoire dans un film si court. La scène du médecin est sortie du lot en raison de son potentiel visuel : il restait encore beaucoup d’éléments à explorer. Il faut dire que j’ai un style très « verbomoteur » et mes BD sont axées sur les dialogues. Dans le reste de la BD, le personnage d’Henri Castagnette est au centre de tout : c’est surtout lui qui parle, alors que dans le film, le Dr Von Strudel occupe une plus grande place. On dirait que ça fait ressortir un tout autre côté d’Henri.
Quelle a été votre source d’inspiration pour créer Henri ?
L’anecdote médicale est semi-autobiographique : à l’âge de 20 ans, j’ai eu une drôle de douleur à la poitrine pendant des semaines et j’ai dû me rendre à l’hôpital. Finalement, mon électrocardiogramme était beau et c’était probablement juste de l’angoisse. Mais ce qui m’a marqué est le manque total de considération de la part du médecin que j’ai vu. J’ai dû attendre une heure tout seul dans une pièce et sur le mur, la phrase « You’re going to die here » était vraiment gravée ; c’est la phrase dite par le perroquet. Peu de temps après, un orthopédiste m’a aussi révélé que j’avais une jambe plus courte que l’autre. J’ai mélangé tous ces événements dans une nouvelle que j’ai écrite, puis ça a donné une BD six ans plus tard. Le personnage d’Henri n’est pas moi, mais plutôt une version super nerveuse et hypocondriaque de moi !
Qu’est-ce qui vous procure un plus grand sentiment de liberté créative : la BD ou le cinéma d’animation ?
Ce sont vraiment des formes de liberté différentes ! En BD, je ressens plus de liberté par rapport aux textes et à la forme : je peux écrire de petites choses dans le coin, faire ce que je veux sur le plan formel. Mais en animation, il existe certains codes qui sont plus efficaces qu’en BD : c’est le cas lorsqu’on zoom in vers un personnage pour montrer ce qui se passe dans sa tête. En BD, c’est vraiment plus difficile à faire.
Whitehorse a aussi récemment été adaptée pour le théâtre. Comment s’est déroulée cette expérience, par rapport à l’adaptation cinématographique ?
J’ai vraiment adoré ! Étrangement, l’adaptation théâtrale s’est faite assez facilement. J’y ai retrouvé l’aspect direct de la BD — qu’on retrouve moins en animation, car c’est un processus long et réfléchi, tout changement doit être pensé à l’avance… Donc, en BD comme au théâtre, il y avait plus de place pour l’improvisation. Mais une chose que j’ai adorée, autant en théâtre qu’en cinéma, était de donner une voix à mes personnages : je voudrais que toutes mes BD soient jouées ! J’adore le média de la BD, mais ça ajoute vraiment quelque chose d’avoir des acteurs et du son. Surtout dans un univers d’humour de malaise comme le mien… Une autre chose que j’ai aimée était le silence : en BD, je peux faire une case sans phylactère, mais ça n’a pas le même poids qu’un moment de silence dans une pièce de théâtre ou un film.
Le syndrome de la tortue : Générique
Un film de
Samuel Cantin
Le syndrome de la tortue
Tiré du livre Whitehorse de Samuel Cantin
Animation et montage
Agathe Bray-Bourret
Consultant
Claude Cloutier
Conception sonore et composition musicale
Stéphanie Hamelin Tomala
Voix
Guy Jodoin
Guillaume Laurin
Guillaume Cyr
Marcel Jeannin
Direction de plateau
Natalie Hamel-Roy
Bruitage
Sam Mongeau
Enregistrement des voix et du bruitage
Geoffrey Mitchell
Musiciens
Luc Boivin
Stéphanie Hamelin Tomala
Alexandre Lefaivre
Christian Turcotte
Mixage
Isabelle Lussier
Séquence d’ouverture
Réalisation
Pascal Blanchet
Rodolphe Saint-Gelais
Musique
Pierre Yves Drapeau
Direction technique
Eric Pouliot
Spécialiste technique – animation
Yannick Grandmont
Coordination technique
Mira Mailhot
Montage en ligne
Denis Pilon
Titres
Jacques Bertrand Simard
Coordination de studio
Laetitia Seguin
Administration
Karine Desmeules
Coordination principale de production
Camila Blos
Mise en marché
Geneviève Bérard
Production déléguée
Anne-Marie Bousquet
Mylène Augustin
Production
Marc Bertrand
Production exécutive
Julie Roy
Le syndrome de la tortue
Studio d’animation
Programmation et production, Programme français
Création et innovation
www.onf.ca
© 2021 Office national du film du Canada
Le syndrome de la tortue : Clip promotionnel
Le syndrome de la tortue : Images
Équipe
Relations de presse
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Attachée de presse – Montréal
C. : 514-458-9745
n.viau@onf.ca
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L’ONF en bref
L’Office national du film du Canada (ONF) est un chef de file dans l’exploration de l’animation comme forme d’art, de mise en récit et de contenu innovateur pour les nouvelles plateformes. Il produit des œuvres d’animation audacieuses dans ses studios situés à Montréal, mais aussi partout au pays, et collabore avec les créateurs et créatrices les plus en vue de la planète dans le cadre de coproductions internationales. Les productions de l’ONF ont remporté plus de 7000 récompenses, dont, en animation, 7 Oscars et 7 Grands Prix du Festival d’Annecy. Pour accéder à ces œuvres uniques, visitez ONF.ca.