CECI N'EST PAS UNE CÉRÉMONIE
2022 | 20 min 56 s
Expérience cinématographique en réalité virtuelle
Anglais et Pied-Noir avec sous-titres français
Prix et festivals
Sélection officielle - New FrontierSundance Film Festival (2022)
Le scénariste et réalisateur niitsitapi Ahnahktsipiitaa (Colin Van Loon) nous emmène par-delà l’écran des médias traditionnels pour nous transporter tout droit dans un autre royaume. Là, le passé, le présent et le futur ne font qu’un, les règles coloniales et les présomptions sont oubliées, et on peut enfin aller au fond des choses.
Ce passionnant récit en réalité virtuelle se déploie tout autour de nous dans une dimension onirique de l’existence. Des tableaux flottent et se confondent, des histoires s’animent et dansent devant nos yeux, et les protocoles communautaires défient nos notions modernes de responsabilité personnelle. On nous demande ici de prendre acte de certains épisodes particulièrement sombres de la vie au Canada pour les Autochtones.
Expérience inoubliable, CECI N’EST PAS UNE CÉRÉMONIE nous habite longuement et nous invite à témoigner de ce que nous avons vu et entendu. Parce qu’il faut apprendre de ces tragédies et ne jamais les oublier, pour avoir la certitude qu’elles ne se reproduiront pas.
Bande-annonce
Synopsis long
Le scénariste et réalisateur niitsitapi Ahnahktsipiitaa (Colin Van Loon) nous emmène par-delà l’écran des médias traditionnels pour nous transporter tout droit dans un autre royaume. Là, le passé, le présent et le futur ne font qu’un, les règles coloniales et les présomptions sont oubliées, et on peut enfin aller au fond des choses.
Cette passionnante expérience cinématographique en réalité virtuelle nous plonge au cœur d’un récit qui se déploie tout autour de nous, dans une dimension onirique de l’existence où le temps et les esprits flottent et se confondent, où les histoires s’animent et dansent devant nos yeux. Hôtes de ce monde virtuel immersif, deux espiègles poètes autochtones aux longues tresses vêtus de tenues rouges miroitantes nous guident dans un espace où les protocoles communautaires défient nos notions modernes de responsabilité personnelle. Quiconque a séjourné dans une communauté des Premières Nations ne s’étonnera pas de l’esprit vif et de l’humour parfois corrosif du tandem, dont l’attitude amicale nous facilite l’exploration de certains épisodes particulièrement sombres de la vie au Canada pour les Autochtones.
À la tête de ce royaume virtuel se trouvent des matriarches et des Inii (bisons) : avec fermeté, mais non sans bienveillance, ils nous conduisent devant de dures réalités qu’ont dû affronter les peuples autochtones. Nous découvrons l’histoire de deux hommes blessés par la tradition coloniale du racisme systémique. Court-circuitant le statu quo, ces récits mettent en évidence la cruauté normalisée de l’oppression coloniale et osent demander : « Maintenant que vous savez, qu’est-ce que vous comptez faire à ce propos ? »
CECI N’EST PAS UNE CÉRÉMONIE est une expérience inoubliable qui nous habite longuement. L’œuvre nous met au défi de donner suite à ce que nous avons appris et nous invite à témoigner de ce que nous avons vu et entendu. Parce qu’il faut apprendre de ces tragédies, et ne jamais oublier.
En une phrase
Dans cette inoubliable expérience en réalité virtuelle, deux jeunes poètes espiègles, des matriarches et des bisons nous conduisent avec bienveillance devant certains épisodes particulièrement sombres de la vie au Canada pour les Autochtones.
Mot du réalisateur
Dès que j’ai commencé à travailler sur CECI N’EST PAS UNE CÉRÉMONIE, j’ai su qu’il s’agissait là d’une mission. Grâce à d’incroyables conteurs autochtones et à une technologie de pointe, j’ai souhaité créer une expérience de réalité virtuelle inoubliable qui permettrait à l’auditoire de se plonger dans la tradition de témoignage de la Nation des Pieds-Noirs, de faire face à certaines des réalités les plus sombres de la vie d’une personne autochtone habitant au Canada.
Mon objectif ? Abattre les obstacles qui nous séparent d’autrui, amener le public à se sentir plus proche des hommes autochtones présentés dans les deux récits d’injustice coloniale. Je voulais tisser des liens qui iraient bien au-delà des gros titres tragiques, créer des témoins, pas uniquement m’adresser à un auditoire.
Produire des témoins est une véritable responsabilité. Il incombe ensuite à ces personnes de répéter ce qu’elles ont vu, entendu. J’espère que ces témoins s’approprieront ces connaissances et les transmettront. Lorsque les gens savent, ils ne peuvent plus rester sans rien faire, j’en suis convaincu.
Je me suis toujours intéressé aux films documentaires, à la manière expressive et imaginative avec laquelle ils dépeignent les problèmes du monde réel. Pour moi, la réalité virtuelle, c’était le moyen idéal de créer une histoire à la fois riche en information et captivante.
Ici, nous nous situons à des années-lumière de l’écran carré que l’on fixe. Le corps réagit. On éprouve les images dans sa chair. On n’a pas toujours le choix ; parfois, on ressent ce type de réponse psychosomatique. On se sent très présent, très conscient.
Nous avons dû repenser toute la méthode de tournage pour réaliser le film à 360 degrés, puisque l’équipe ne pouvait pas se cacher derrière la caméra. Elle a dû faire preuve de créativité pour enregistrer les scènes.
Pendant le développement du projet, deux membres de la distribution sont décédés tragiquement : le poète Taran Kootenhayoo et la leader communautaire autochtone Lillian Howard. Il s’agit d’une perte énorme, tant sur le plan personnel que pour la communauté. J’espère que ce film contribuera à honorer leur mémoire et les récits qu’ils nous ont laissés, alors que nous en prenons connaissance, nous en faisons l’expérience et nous en témoignons.
Ahnahktsipiitaa (Colin Van Loon)
Entrevue avec Ahnahktsipiitaa (Colin Van Loon) et Dana Dansereau
Comment en êtes-vous venu à vouloir raconter ce qui était arrivé à Adam North Peigan et à Brian Sinclair ?
Colin : Adam et moi, nous sommes parents. C’est en discutant avec lui que je me suis rendu compte que son histoire ferait un bon récit. Je ne sais pas si vous connaissez bien son parcours professionnel, mais il sensibilise beaucoup de monde au sujet de la rafle des années 1960. Il a tenu à partager son expérience en raison du travail qu’il accomplit.
Quant à ce qui est arrivé à Brian, c’est tellement horrible qu’il fallait trouver un moyen de le raconter. Nous avons parlé à plusieurs personnes de la famille, puis à Robert, et il le dit dans le film : « J’habite là-bas, à Winnipeg, je dois aller à cet hôpital. Mon fils s’y trouvait juste avant le décès de Brian, et puis j’ai des petits-enfants et eux aussi vont devoir y aller un jour. » Il voulait que son témoignage porte fruit.
Qu’est-ce qui a inspiré CECI N’EST PAS UNE CÉRÉMONIE ?
Colin : On voit passer des choses ahurissantes dans les nouvelles, de temps en temps : cet homme, Brian Sinclair, va à l’hôpital et meurt dans la salle d’attente. Comment diable est-ce possible ?
Avec Adam, nous avons parlé du moment où la travailleuse sociale sait que le garçon [Adam] est maltraité. On l’emmène alors dehors, on lui fait faire le tour de la cour, comme si c’était plus sûr.
Viennent les poètes. J’ai toujours été proche de Taran [qui est décédé depuis], je le trouvais brillant. Je me suis dit : si nous montons ce projet et si nous rapprochons les gens de ces personnes et de leurs récits, pourquoi ne témoigneraient-ils pas, eux aussi ? Nous pourrions voir ce qu’ils en pensent.
En quoi le titre — CECI N’EST PAS UNE CÉRÉMONIE — est-il lié à ces récits ?
Colin : Nous cherchions un titre et je songeais à l’impact qu’aurait la transformation des gens du public en témoins, au poids de ce genre de responsabilité.
À un moment donné, ce titre s’est imposé. Les poètes, aussi, l’affirment dans leurs textes : « Ceci n’est pas une cérémonie, c’est une tradition. C’est la tradition du Canada. C’est la tradition canadienne du racisme systémique. »
Nous avions pensé à Can I Get a Witness?, comme dans la chanson de James Brown : « Can I get a witness? Hey ».
Qu’espérez-vous que le public retienne du message du film ? À qui s’adresse ce film ?
Colin : J’espère que les gens prendront leur travail au sérieux, leur travail de témoin. Et puis je crois que c’est aux Autochtones de le voir, pour qu’ils prennent connaissance de ces histoires, mais aussi pour qu’ils puissent défendre ces personnes. C’est pourquoi la fin est plus optimiste. Le film s’adresse aussi aux colons, aux Napikwans, pour qu’ils réfléchissent.
Au départ, avez-vous conçu ce film spécialement pour la réalité virtuelle ? Ou s’agit-il plutôt d’un choix stylistique ?
Colin : Les deux. Si vous visionnez le film sur un écran différent, les effets aussi seront différents. Je pense simplement que si nous voulons nous rapprocher de ces personnes et de leurs récits, la réalité virtuelle déploie une grande capacité de proximité, de présence, dans ces moments. On a l’impression d’y être. Je crois que si nous regardions Taran et Tawahum livrer leur poème [sur un petit écran], nous ne ressentirions pas la même chose.
Lorsqu’ils s’approchent, qu’ils se trouvent très près de nous, leur présence a vraiment un effet sur ce qu’on éprouve, comme spectateur ou spectatrice. Je veux que les gens se sentent mal à l’aise et qu’ils réfléchissent à ce malaise.
Était-ce votre premier projet en réalité virtuelle ? En réaliseriez-vous un autre comme celui-ci ?
Colin : Oui, mais probablement pas avant un moment. Je vais avoir besoin d’une petite pause. C’est le support parfait pour cette histoire, mais peut-être qu’un récit différent exigerait une autre façon de procéder.
Dana, parlez-nous de votre expérience sur ce film et de la nécessité de vous plonger dans ce genre de récits.
Dana : En tant que colon, homme blanc et membre d’un comité qui a travaillé avec imagineNATIVE pour le choix de l’histoire… nous sommes tombés sur celle de Colin, brute, mais magnifique, on sentait toute l’énergie qu’elle contenait. À ce moment-là, le film s’intitulait Walk a Mile in My Moccasins. Et…
Colin : Quel mauvais titre ! On n’avait jamais pensé le garder de toute façon.
Dana : Mais le concept était bien là, et il mettait déjà en scène ce qui se passe quand on place quelqu’un en situation de réalité virtuelle. Qu’est-ce que cela dit de la réalité virtuelle ? De l’histoire qu’on est en train de raconter ? À ce jour, c’est plutôt séduisant, désordonné, la perfection n’existe pas… même dans le titre, CECI N’EST PAS UNE CÉRÉMONIE : c’est une cérémonie, mais ce n’en est pas une, donc ça rebondit constamment. Ça se passe toujours ainsi avec la réalité virtuelle, et nous l’avons vu dans la proposition de Colin. Puis nous avons rencontré Colin, et c’est devenu évident : c’était avec lui que nous devions travailler.
Qu’ont pensé les participants de la version finale ?
Dana : Lorsque nous avons discuté avec Adam, il a eu l’impression que Colin avait vraiment saisi ce qu’il essayait de dire, je crois ; le fait de formuler son histoire ainsi lui a donné une nouvelle présentation à la fois agréable et percutante. Il avait déjà raconté cette histoire [auparavant], mais jamais de cette façon. Nous n’avons pas encore parlé avec Robert, mais il m’a texté pour me dire qu’il avait trouvé le film très émouvant.
Pourquoi était-ce important de travailler avec une équipe autochtone pour ce film ?
Colin : En général, nous n’avons pas assez d’équipes de tournage ; il y a beaucoup de réalisatrices et réalisateurs, mais peu de spécialistes du montage, de la couleur ou de la conception sonore. Certaines personnes se débrouillent dans plusieurs domaines, mais peu excellent vraiment dans une discipline particulière.
Je tiens toujours à avoir une équipe autochtone sur le tournage, pour des raisons culturelles — nous en avons besoin, pour combler le fossé culturel —, mais aussi pour des raisons tout à fait égoïstes.
Dana : Oui, du point de vue de l’ONF également, nous devons soutenir ces métiers et le vaste éventail de spécialistes nécessaires à la réalisation d’un film. Comme Colin, nous tenons à développer les talents et à appuyer le plus grand nombre de personnes possible.
Prononciation (en pied-noir)
Ahnahktsipiitaa: Ah-NOT-sii-BII-tah
Nation Piikani : Bi-Gueuni
Niitsitapi (mot en pied-noir signifiant « notre peuple ») : Nit-SIT-a-bii
Inii (mot en pied-noir signifiant « Bison ») : In-NII
Format : expérience cinématographique en réalité virtuelle
Plus qu’un film, CECI N’EST PAS UNE CÉRÉMONIE est ce qu’on appelle « une expérience cinématographique en réalité virtuelle ». Forcément immersive, une expérience de cette nature exige qu’on examine ce qui nous entoure et qu’on se plonge dans l’histoire. Car le récit qui se déploie nous transporte littéralement au cœur d’un environnement à 360 degrés. C’est la raison pour laquelle il faut se munir d’un casque de réalité virtuelle (plus précisément, l’Oculus Quest 1 ou 2) pour découvrir cette œuvre.
Bande-annonce
Images
Équipe
Générique
Écrit et réalisé par
Colin Van Loon / Ahnahktsipiitaa
Produit par
l’Office national du film du Canada
en partenariat avec
imagineNATIVE Film + Media Arts Festival
Mettant en vedette
Adam North Peigan
Robert Sinclair
Poètes
Taran Standing Sunrise Kootenhayoo
Tawahum Bige
Matriarche
Lillian Howard
Directeur photo
Olivier Leroux
Monteuse
Jessica Dymond
Direction artistique, effets visuels
James Monkman
Musique
Nagamo Publishing
Nigel Irwin
Conception sonore et mixage
Nagamo Publishing
Drew Snyder
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Assistant réalisateur
Rob Guthrie
Concepteur de la production
Sean McQuillan
Recherchistes de lieux de tournage
Michelle Bond (C-B)
Quentin Johnston (Alberta)
Avec
Brian Sinclair — David Lyle
Infirmière — Marlies Dubois
Préposé — Arvind Johal
Agent de sécurité — Otto Szabo
Travailleuse sociale — Michele Wienecke
Jeune Adam — Alexander Eagletail
Rôles de soutien
Jamie Crozier
Donna Kodama
Leanna Nash
Montana Oglesby
Mustafa Yilmaz
Traduction et narration Siksika
Dr. Eldon Yellowhorn
Portraits photographiques
Alanna Blackrider-Onespot
Sujets
Adonis ManyChief
Zane Severite-ManyChief
Adonis Zaharjko
Billy Twigg
Leonard Little Mustache Jr.
Dakota Big Tobacco
Draytin Morden
Justin Meguire
Donald Saddleback
Everett Wolftail
Jonathan Brewer
Brody Bad Eagle
Nathan Avery
Herb Wilson
Kobe Alexander James Morning Bull
Dwayne Delaney
Brayson Breaker
Liam Breaker
Keeran Yellow Horn
Jayden Doore
Earnest Poundmaker
Montana Tyrell Redcalf
Danzel Ear
George Goodstriker
Atreyu Chief Calf
Daniel Pard
Tristen Beebe
Bobby Currie
Joseph Rex Across the Mountain
George Van Loon
James Across the Mountain
Chef électricien
Cameron Watts
Machiniste
Torin Greyeyes-Starblanket
Preneurs de son
Tyler Lucas (C-B)
Zack May (Alberta)
Styliste
Carmen Thompson
Assistantes stylistes
Karuna Breeze Dampsy
Emmy Routledge
Coiffure et maquillage
Keesha Dawson-Harrison (C-B)
Min Jee Mowat (C-B)
Chenise Soosay (Alberta)
Photographes de plateau
Soloman Chiniquay (C-B)
Alanna Blackrider-Onespot (Alberta)
Gestionnaires d’images numériques
Odessa Shuquaya (C-B)
Adam Solway (Alberta)
Régisseuse d’extérieur
Heather McQuillan
Liaison communautaire
Tawnya Plain Eagle
Assistants de production
Dustin McGladrey (C-B)
Richard Wilson (C-B)
Charlene Parsons (C-B)
Kahka-Naikitstakii Crop Eared Wolf (Alberta)
Assistant-monteur
Michael Morin
Animateurs 3D
Brian Vowles
Kodai Yanagawa
Traduction française
Gabrielle Lisa Collard
Traduction blackfoot
Awaakaasaakii
Service de traiteur
Salishan Catering
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Office national du film du Canada
Producteur
Dana Dansereau
Producteur exécutif
Robert McLaughlin
Chargée de projet
Laura Mitchell
Coordonnatrice de production séniore
Jasmine Pullukat
Technologue créatif
Vincent McCurley
Gestionnaire des opérations studio
Camille Fillion
Janine Steele
Administratrices du studio
Victoria Angell
Carla Jones
Agente à la mise en marché
Tammy Peddle
Coordonnateur à la mise en marché
Eric Bondo
Stratège médias sociaux
Hannah Martin
Stratège marketing éducatif
Anne Koizumi
Publicistes
Katja De Bock
Jennifer Mair
Conseiller juridique
Christian Pitchen
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imagineNATIVE Film + Media Arts Festival
Directrice générale
Naomi Johnson
Directeur général
Jason Ryle
Directeur de l’institut
Daniel Northway-Frank
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Remerciements
Reba Rose DeGuevara
Edit Van Loon
Van Loon Family
Jimmy and Joanne Small Legs & Small Legs Family
Philip & Joanne Wolfchild
Jonathan Brewer, Kathy Brewer and Brewer Family
Harry Nose Clan
North Peigan Family
Le chef et le conseil de la nation Piikani
Chef Stanley Grier
Conseiller Erwin Bastien
Conseiller Wesley Crow Shoe
Conseiller Che Little Leaf-Matusiak
Conseiller Riel Provost-Houle
Conseiller Doane Crow Shoe
Conseiller Brian Jackson
Conseiller Troy (Bossman) Knowlton
Conseiller Theodore (Terry) Provost
Percy Bullchild et la famille Bullchild — Merci Percy pour tous tes mots merveilleux et pour les histoires que tu as écrites pour nous, les niitsitapi. Ton livre est une source constante d’inspiration, de direction et de sagesse.
Indigenious Matriarch 4 VR/VR (IM4-LAB)
Emily Carr University of Art + Design
Vancouver Film School
BC Housing
Blackfoot Nation Films
Joan Ralph
Jeff Bullock
Calvin Sosick
Southern Alberta Vintage & Classic Car Club
Provost family
Margo Kane
Loretta Todd
Doreen Manuel
Cease Wyss
Tracey Kim Bonneau
Alannah Mandamin
Cheyanna J. V. Kootenhayoo (djKookum)
Kootenhayoo Family
Trevor Solway
George Van Loon
North Van Loon
Oveta, Dan & Roy Kennedy
Leanne Rooney
Robyn Weasel Bear
Jay Cardinal Villeneuve
Ken Tsui
Lizzy Karp
Tug Phipps
Shirley Vercruysse
Inii
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Ceci n’est pas une cérémonie Ceci n’est pas une cérémonie a été créé en Alberta sur les territoires traditionnels de la Confédération des Pieds-Noirs (Piikani (Brocket)) Siksika, Kainai (Bloods), et Amskapi Piikani (Montana / Browning), des Tsuut’ina, des nations Îyâxe Nakoda, de la nation Métis (Région 3), et de tous les gens qui vivent dans la région du Traité 7 dans le sud de l’Alberta;
à Vancouver sur les territoires non cédés des nations xʷməθkʷəy̓əm (Musqueam), Sḵwx̱wú7mesh (Squamish), et Sel̓íl̓witulh (Tsleil-Waututh);
à Coquitlam, sur le territoire principal de la Première Nation kʷikʷəƛ̓əm (Kwikwetlem) (Kwee-kwet-lem), et qui se trouve dans les territoires traditionnels partagés des Tsleil-Waututh (Slay-wa-tuth), Katzie (Kate-zee), xʷməθkʷəy̓əm (Musqueam), Sḵwx̱wú7mesh Úxwumixw (Squamish), la Première Nation Quay Quayt (Key-Kite) et la nation Sto:lo;
à Toronto, sur les territoires traditionnels des Wendat, des Anishinaabeg, des Haudenosaunee, des Métis et des Mississaugas de la Première Nation de New Credit;
Et sur les terres des peuples Syilx de la Première nation de Westbank et de la bande indienne d’Okanagan; situées dans les territoires non cédés du peuple Syilx de l’Okanagan.
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NASA/Goddard Space Flight Center Scientific Visualization Studio. Images de constellations basées sur celles développées pour l’IAU par Alan McRobert de Sky and Telescope magazine (Roger Sinnott et Rick Fienberg).
Extraits de The Sun Came Down de Percy Bullchild. Copyright (c) 1985 Percy Bullchild. Publié en 1985 par Harper & Row et simultanément au Canada par Fitzhenry & Whiteside, utilisé avec la permission de HarperCollins Publishers.
Relations de presse
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Magalie Boutin
Chef, Relations médias, ONF
C. : 514-233-8646
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