Biseau vers le haut
2007 | 45 min 47 s
Maintenant offert gratuitement en ligne !
Biseau vers le haut: Une ressource d’apprentissage novatrice à l’intention des professionnels de la santé
Pour la première fois Biseau vers le haut, un documentaire et une ressource pédagogique conçus pour aider les professionnels de la santé à prodiguer des soins empreints de compassion aux personnes qui consomment de la drogue est offert en ligne en tant que contenu gratuit sur l’approche de réduction des méfaits. Créé par l’équipe d’infirmières itinérantes du BC Centre for Disease Control (BCCDC) et coproduit par l’Office national du film du Canada (ONF), Biseau vers le haut marie l’art et la science pour inspirer le changement social.
Biseau vers le haut offre aux étudiants et aux enseignants en soins de santé les connaissances et l’expérience de praticiens chevronnés. Outre le documentaire original de 45 minutes, Biseau vers le haut comprend :
- 10 sélections éducatives;
- 40 clips supplémentaires illustrant les principaux enjeux et proposant des entrevues avec des spécialistes—des personnes qui consomment des drogues ainsi que des praticiens de la santé;
- Un guide pédagogique;
- 4,5 heures de contenu au total.
Sélections éducatives
Biseau vers le haut est un film éducatif enrichi de menus qui composent ensemble un outil pédagogique interactif conçu pour que les étudiants et les enseignants dans le domaine de la santé prennent connaissance du travail des infirmières œuvrant auprès des personnes qui consomment des drogues dans le quartier Downtown Eastside de Vancouver.
- Chapitre 1 – Introduction
- Chapitre 2 – Wheels et Barry
- Chapitre 3 – Linda
- Chapitre 4 – Becky et Liz
- Chapitre 5 – Jeunes de la rue
- Chapitre 6 – Lee
- Chapitre 7 – Long Tran
- Chapitre 8 – Conclusion
- Réflexions sur la pratique
- Une collection de toutes les Réflexions sur la pratique tirées de la série Biseau vers le haut
- +Sujets
- Une collection de tous les +Sujets tirés de la série Biseau vers le haut
Les personnes qui ont un accès limité ou inexistant à Internet en raison de leur situation géographique / emplacement doivent contacter le service à la clientèle de l’ONF au 1-800-267-7710.
Guide
DESCRIPTION DÉTAILLÉE
Comment une infirmière peut-elle offrir aux personnes qui consomment des drogues des soins de santé efficaces et empreints de compassion?
Biseau vers le haut suit des infirmières de rue qui vont à la rencontre de travailleuses et travailleurs du sexe ainsi que des personnes qui consomment des drogues dans les ruelles et les hôtels du centre-ville de Vancouver. Mais surtout, les infirmières réfléchissent aux attitudes qu’elles adoptent dans l’exercice de leurs fonctions, des attitudes qui peuvent créer ou détruire le lien nécessaire à la prestation quotidienne de soins de santé efficace et exempte de préjugés.
La version originale de Biseau vers le haut a été coproduite en 2007 par le British Columbia Centre for Disease Control (BCCDC) et l’Office national du film du Canada (ONF) avec le soutien financier de Santé Canada et de la British Columbia Nurses’ Union (BCNU), en collaboration avec Canada Wild Productions Ltd. Cette nouvelle version numérisée est rendue possible par une aide supplémentaire du BCCDC, de l’ONF, du BC Women’s Hospital et de Santé Canada.
Sélections éducatives de Biseau vers le haut
Comprenant plus de quatre heures de scènes tournées dans les rues de Vancouver et des entrevues avec des spécialistes, Biseau vers le haut offre aux apprenants un éventail de modes d’apprentissage dynamiques. Enseignants et étudiants ont le choix de : combiner à leur guise les divers éléments; regarder le documentaire de 45 minutes en entier (ICI) ou chaque chapitre séparément; consulter la liste de sélections (lien vers l’onglet Sélections) dans chacun des 8 chapitres. Chaque chapitre comprend une sélection de clips groupés sous deux thèmes : Réflexions sur la pratique, une série d’entrevues avec des infirmières, une éthicienne en soins infirmiers et une consultante en soins infirmiers; +Sujets, une série de 26 entrevues avec des sommités sur des sujets comme Cerveau et drogues, Grossesse et drogues, Santé mentale et drogues, Prohibition et Industrie du sexe.
Biseau vers le haut s’accompagne également d’un guide pédagogique présentant des activités d’apprentissage, des questions à débattre et des ressources complémentaires. (GÉNÉRIQUE COMPLET, y compris les références photographiques– à reproduire de la jaquette du DVD; ajouter le générique des versions.)
Pour refléter l’évolution linguistique et terminologique des soins de santé, les descriptions du film et des chapitres ont été mises à jour dans la nouvelle version numérisée de Biseau vers le haut. Ces mises à jour n’ont toutefois pas été appliquées à la version originale du film ni au guide pédagogique.
Entretien sur Biseau vers le haut avec Nettie Wild, réalisatrice, et Caroline Brunt, enseignante en soins infirmiers
En quoi le film Biseau vers le haut est-il aussi pertinent aujourd’hui qu’il l’était au moment de sa production et de son lancement en 2007 ?
Caroline Brunt :
Les questions de préjugés et de discrimination à l’endroit des personnes qui consomment des drogues persistent encore parmi les professionnels de la santé, et les toxicomanes ne se sentent toujours pas à l’aise de se prévaloir de soins.
L’éducation commence dans la salle de classe de la prochaine génération, avant que les jeunes trouvent un emploi. Biseau vers le haut offre une vitrine exceptionnelle sur les façons d’établir des liens avec la clientèle là où elle se trouve. On commence ainsi à vraiment comprendre la complexité de sa situation. Le dialogue s’engage dans la classe.
Nettie Wild :
Il y aura toujours une nouvelle drogue dans la rue. En 2007, les drogues de prédilection étaient le crack et l’héroïne. Maintenant, c’est le fentanyl. Les soins dispensés sans préjugés par les infirmières de rue en 2007 sont encore plus pertinents aujourd’hui, car nous vivons une crise de surdoses.
La réduction des méfaits, qui est au cœur même de Biseau vers le haut, assure la pertinence du film — il n’a jamais été question de lutter contre une drogue précise, mais plutôt de montrer par l’exemple en quoi consiste la prestation de soins exempts de préjugés dans la pratique. Les préjugés à l’encontre des personnes qui consomment des drogues demeurent un obstacle majeur à la prestation de soins de santé pour cette communauté. Vaincre les préjugés dans le milieu de la santé est un élément essentiel de Biseau vers le haut, et ces leçons sont d’autant plus importantes que nous faisons actuellement face à une crise de surdoses.
Le documentaire était à l’avant-garde sur le plan non seulement de la forme, mais également du contenu. Les entrevues et les clips très brefs tournés dans la rue conviennent parfaitement à la distribution au moyen des nouvelles technologies qui prévalent aujourd’hui dans les médias sociaux. Ces histoires idéales pour le Web explorent les politiques, l’organisation sanitaire et l’éthique de la réduction des méfaits en segments audiovisuels de trois à sept minutes faciles à regarder en classe, sur un ordiphone ou dans n’importe quel média social.
À qui s’adressait Biseau vers le haut ?
Caroline Brunt :
Biseau vers le haut a été conçu pour donner aux professionnels de la santé, étudiants comme enseignants, les outils et les connaissances nécessaires en vue de développer des relations exemptes de préjugés. C’est là la première étape fondamentale d’une prestation de soins de santé efficace.
En quoi la version en ligne de Biseau vers le haut diffère-t-elle du DVD ?
Nettie Wild :
Le contenu est exactement le même, mais le nouveau format numérique est gratuit, facile à utiliser et, de ce fait, accessible à un plus vaste auditoire.
Pourquoi n’est-il pas question du fentanyl dans Biseau vers le haut ? Pourquoi les sites d’injection supervisée ne sont-ils pas inclus ?
Caroline Brunt et Nettie Wild :
Pour ce nouveau lancement, nous visions avant tout à numériser le contenu original pour l’offrir gratuitement en ligne. Nous n’avons rien changé au contenu autre que la remise en contexte. Il y a 11 ans, le fentanyl n’était pas la drogue de prédilection. Et il n’y avait qu’un seul site d’injection supervisée au Canada : Insite, dans le quartier Downtown Eastside de Vancouver. À l’époque, il était délicat de parler d’approche de réduction des méfaits dans le contexte de la prestation de soins aux personnes qui consomment de la drogue.
Tablant sur les enseignements de Biseau vers le haut, nous explorons la possibilité de créer une expérience éducative interactive sur le Web et dans les médias sociaux, en collaboration avec l’Université de Victoria (UVic), la British Columbia Nurses’ Union (BCNU), le Collège communautaire de Vancouver (VCC), la First Nations Health Authority (FNHA) et l’ONF. L’une des premières étapes consiste à mettre à jour le contenu dans le contexte de la crise des opioïdes. On prévoit aussi de créer une section qui sera facile à mettre à jour et à adapter aux nouvelles réalités dans le domaine des soins de santé ou dans la rue. L’équité en matière de santé, la sécurisation culturelle, les pairs, les soins adaptés aux traumatismes, la compréhension de l’historique de la clientèle en matière de toxicomanie ou de consommation supervisée d’alcool et les toutes dernières techniques de traitement sont des exemples de nouveau contenu à ajouter.
Qu’est-ce qui est à l’origine de Biseau vers le haut et quel accueil la production a-t-elle reçu ?
Caroline Brunt :
Le personnel venait de partout en Colombie-Britannique pour s’informer auprès du programme d’infirmières de rue du British Columbia Centre for Disease Control (BCCDC), demandant à l’équipe de quelle façon elle entrait en relation et communiquait avec les personnes qui consomment de la drogue.
Les responsables de ce programme ont fait une évaluation des besoins à l’échelle nationale pour savoir si on enseignait l’approche de réduction des méfaits dans les écoles de sciences infirmières au niveau collégial et universitaire. La réponse ? Très peu, voire pas du tout.
Il y a une dizaine d’années, la réduction des méfaits était un sujet délicat, tout comme celui de la prestation de soins aux personnes qui consomment des drogues. On s’attendait à ce que cette clientèle se présente en clinique et non à ce qu’on lui fournisse des soins dans la rue.
Biseau vers le haut a été conçu comme un outil éducatif pour les étudiants en soins infirmiers des collèges et des universités ainsi que pour les professionnels de la santé.
Nettie Wild :
En 2002, j’ai réalisé le long métrage FIX : Une ville sous influence. FIX porte sur la naissance à Vancouver du mouvement social qui a donné lieu à l’ouverture du premier site d’injection supervisée en Amérique du Nord. À l’époque, je voulais filmer les extraordinaires infirmières de rue qui travaillaient au BCCDC, mais je n’ai pas pu. Les services itinérants qu’elles offraient étaient si avant-gardistes qu’ils en étaient controversés. Cinq ans plus tard, leur travail était reconnu comme étant justement la voie à suivre pour fournir des soins de santé réalistes et empreints de compassion aux personnes qui consomment des drogues.
Quand les infirmières de rue m’ont approchée pour réaliser Biseau vers le haut, j’ai compris qu’elles me demandaient en fait de tourner un film qui montre ce que c’est que de prodiguer des soins exempts de préjugés. J’ai ainsi filmé une série de scènes de cinéma-vérité qui allaient être au cœur du projet. Nous avons ensuite ajouté à chacun de ces chapitres on ne peut plus vrais des entrevues à insérer dans les menus, ce qui nous a aidés à prendre conscience des difficultés qui émaillaient chaque histoire.
En quoi consiste la réduction des méfaits ?
Caroline Brunt :
Il n’y a pas de définition universellement reconnue, mais la réduction des méfaits fait référence à des politiques, des programmes, des pratiques. C’est un ensemble d’idées et de stratégies pratiques qui visent à réduire les conséquences néfastes associées à la consommation de drogue. C’est aussi un mouvement pour la justice sociale basé sur la conviction que les personnes qui consomment des drogues ont des droits qu’il faut respecter. La réduction des méfaits repose sur la justice et les droits de la personne. Elle s’appuie sur la création d’un changement positif, en travaillant auprès des personnes toxicomanes sans porter de jugement, sans exercer de discrimination ni de contraintes et sans exiger qu’elles arrêtent de consommer pour les soigner.
Le programme d’infirmières de rue du BCCDC existe-t-il encore ? Y a-t-il d’autres programmes semblables au Canada ? Les infirmières de rue sont-elles les seules personnes à pouvoir offrir des soins relationnels aux personnes qui consomment des drogues ?
Caroline Brunt :
Le programme d’infirmières de rue a été renommé et n’existe plus dans sa forme initiale au BCCDC. Les autorités sanitaires ont repris le concept de services itinérants et l’ont adapté à leurs besoins. Elles ont adopté différentes combinaisons fondées sur les pairs, les services de proximité, les infirmières et les travailleurs sociaux qui sont en mesure d’offrir des soins aux personnes qui consomment des drogues, qui vont les voir là où elles sont et les aident à accéder à des soins.
Dans le contexte de la crise des opioïdes au Canada, comment la science et l’art peuvent-ils jouer un rôle crucial en matière de changement social ?
Caroline Brunt :
Onze personnes meurent de surdose chaque jour [selon une récente campagne de Santé Canada], et le monde des sciences et des arts, les grosses entreprises, les organismes sans but lucratif, les pairs, les voisins ont tous le devoir moral et éthique de contribuer à la solution et au réseau de soutien visant les personnes toxicomanes. La crise du fentanyl nous oblige tous à réfléchir, à nous creuser la tête, à prendre conscience des réalités et à travailler de concert. Si nous voulons prodiguer des soins, il faut le faire là où se trouve la clientèle.
Nettie Wild :
J’estime que plus il y a de controverses dans le monde, plus l’art a un rôle important à jouer. Pourquoi ? Parce que l’art, le cinéma en l’occurrence, sait composer avec les complexités d’une crise de surdoses éprouvante. Les infirmières témoignent à l’écran de leur expérience extraordinaire. Nous pouvons ainsi transporter les auditoires dans de nouveaux milieux et leur faire explorer des réalités qu’ils connaissent mal. Tandis que les infirmières prodiguent leurs soins empreints de compassion et font connaître leur méthode de travail, les cinéastes portent l’histoire à l’écran. Je pense qu’ensemble, nous pouvons montrer en quoi consiste la prestation de soins exempts de préjugés et, ce faisant, couper court à la rhétorique en ces temps de controverse et changer les choses.
Qui a eu l’idée de lancer de nouveau Biseau vers le haut ?
Caroline Brunt :
Nettie et moi-même étions d’avis que le film est encore pertinent et nécessaire.
Nettie Wild :
C’est que la communauté en avait véritablement besoin. À mesure que la crise de surdoses s’aggravait, les infirmières, les enseignants, les travailleurs de la santé et les pairs demandaient de voir Biseau vers le haut pour profiter des leçons qui s’y trouvent. Mais le format DVD et son prix élevé faisaient obstacle. Comme il nous fallait répondre à un besoin qui se faisait pressant en pleine crise sanitaire, Caroline et moi avons approché I’ONF. L’organisation a répondu à l’appel en mobilisant une grosse équipe de producteurs et de techniciens qui a rapidement numérisé les 4,5 heures de contenu de Biseau vers le haut, le rendant ainsi accessible à tous sur le Web, sans frais.
Images
Extraits
Partenaires
Biseau vers le haut est une coproduction du British Columbia Centre for Disease Control (BCCDC) et de l’Office national du film du Canada (ONF) avec le soutien financier de Santé Canada et de la British Columbia Nurses’ Union (BCNU), créée en collaboration avec Canada Wild Productions Ltd. Cette nouvelle version est rendue possible grâce au soutien des partenaires originaux et à une aide supplémentaire du British Columbia Women’s Hospital & Health Centre et à la participation de l’Institute for Substance Use Research (CISUR) de l’Université de Victoria et du Vancouver Community College (VCC).
Dre Jane Buxton, responsable de la réduction des méfaits, BCCDC :
« Biseau vers le haut est susceptible de changer la manière dont les personnes qui consomment des drogues interagissent avec le personnel des soins de santé. Cette ressource offre aux fournisseurs de soins de santé des façons de prodiguer des soins axés sur la clientèle et de lutter contre les préjugés qui empêchent cette même clientèle de chercher de l’aide. Ces leçons sont cruciales, puisque toutes les communautés canadiennes sont aux prises avec une crise de surdoses. »
Dr Eric Cattoni, coresponsable médical de l’unité FIR Square au BC Women’s Hospital + Health Centre :
« Les préjugés entourant la santé mentale et la consommation de drogues constituent un obstacle majeur aux soins de santé. Pour établir des relations thérapeutiques constructives avec les patients, il faut s’abstenir de tout jugement. Les personnes qui font un usage inapproprié des drogues souffrent d’une maladie qui exige l’accès à un traitement spécialisé et des soins empreints de compassion. »
Information du BCCDC sur la lutte contre les préjugés, tirée de la source suivante : Toward the Heart + Poster
Claude Joli-Cœur, commissaire du gouvernement à la cinématographie et président de l’ONF
« Le lancement de la nouvelle version de Biseau vers le haut est une occasion de sensibiliser la population à un grave problème de santé publique qui concerne l’ensemble des Canadiens et des Canadiennes. En tant qu’organisme public, il relève du mandat de l’ONF de prendre part aux conversations nationales qui favorisent le dialogue et mènent à un changement positif au moyen de médias et de ressources d’apprentissage innovatrices. »
Christine Sorensen, présidente de la BC Nurses’ Union (BCNU)
« La British Columbia Nurses’ Union (BCNU) était à l’origine partenaire des vidéos et outils de Biseau vers le haut lancés pour la première fois en 2007. Malheureusement, la crise actuelle de surdoses crée un formidable enjeu de santé publique qui rend ces outils plus pertinents que jamais. Aujourd’hui, nous sommes ravies de voir ces ressources offertes gratuitement en ligne en format numérique, et les fournisseurs de soins de santé y auront accès dans les deux langues officielles ».
Bernie Pauly (inf. aut.), scientifique, Institut canadien de recherche en toxicomanie (CISUR) de l’Université de Victoria (CISUR)
« Le problème des préjugés et de la méfiance comme obstacles aux soins de santé est tout aussi préoccupant aujourd’hui qu’il l’était au premier lancement de Biseau vers le haut. Le rôle que jouent les infirmières autorisées pour établir des relations de confiance et faciliter l’accès aux services de santé et aux services sociaux s’avère crucial pour réduire les méfaits et les décès provoqués par la consommation de drogues. »
Stigma in Primary Care Project, qui vise à lutter contre les préjugés auxquels se heurtent les personnes consommant des drogues quand elles vont voir un médecin.
Bulletin : Creating Culturally Safe Care in Hospital Settings for People who use(d) Illicit Drugs
Installé à l’Université de Victoria, l’Institut canadien de recherche en toxicomanie (CISUR) est un réseau de personnes et de groupes qui ont à cœur d’étudier la toxicomanie et la dépendance afin d’appuyer les efforts communautaires déployés pour promouvoir la santé et réduire les méfaits. Nos recherches servent à éclairer un vaste éventail de projets, de rapports, de publications et d’activités ayant pour but de favoriser une vie plus heureuse et plus saine, qu’on consomme ou non des drogues.
Vancouver Community College (VCC)
Depuis plus de 50 ans, le Vancouver Community College (VCC) motive ses étudiants à atteindre leurs objectifs d’apprentissage et de carrière; il offre une formation postsecondaire dans plus de 120 programmes, y compris des baccalauréats, des diplômes, des certificats et des stages. À ses trois campus, sur Broadway, au centre-ville et sur l’île Annacis, les jeunes peuvent choisir une formation pratique dans divers domaines : arts culinaires, affaires, design, sciences de la santé, tourisme, métiers des transports et musique.
Health Canada