Avant qu’il ne soit trop tard…
2016 | 104 min
Prix et sélections
Prix duPont-Columbia The duPont-Columbia Awards 2020
Prix Allan King Memorial Documentary Organization of Canada 2019
Meilleur documentaireLos Angeles Women's International Film Festival 2018
Prix Peabody - DocumentairePeabody Awards 2018
Prix du meilleur long métrageSeattle Asian American Film Festival 2018
Meilleur documentaireLos Angeles Philippines International Film Festival 2017
Prix du jury pour la meilleure long-métrage canadienNorthwestFest International Documentary & Media Arts Festival 2017
Prix du publicCork International Film Festival 2017
Prix du publicInternational Female Sweden Film Festival (IFEMA) 2017
Prix du film de l'annéeIDF West Lake International Film Festival 2017
Meilleur du festivalZonta Film Festival 2017
Mention du prix jury spécial pour médaille UNESCO Gandhi International Film Festival of India 2017
Prix Doc:South - Meilleur documentaireOslo International Short Film Festival 2017
Prix Busan Cinephile - Meilleur documentaire mondialBusan International Film Festival 2016
Prix du public Hot Docs - FinalisteHot Docs Canadian International Documentary Film Festival 2016
Sélection officielleHelsinki Doc Point 2017
Sélection officielleGotheborg International Film Festival 2017
Sélection officielleGuangzhou International Documentary Film Festival 2017
Sélection officielleVilnius International Film Festival 2017
Sélection officielleHuman Rights Watch Amsterdam, London & New York 2017
Prix Allan King d'excellence en documentaire - NominationDirectors Guild of Canada 2017
Synopsis court
Avant qu’il ne soit trop tard ... suit la trajectoire personnelle de trois « femmes de réconfort » qui figuraient parmi les quelque 200 000 adolescentes et jeunes adultes que l’armée japonaise impériale a enlevées et forcées à l’esclavage sexuel durant la Deuxième Guerre mondiale. Plus de soixante-dix ans après leur emprisonnement dans ces prétendus « centres de délassement », les trois aïeules à la santé chancelante – grand-mère Gil en Corée du Sud, grand-mère Cao en Chine et grand-mère Adela aux Philippines – en sont au crépuscule de leur vie. Murées depuis des décennies dans le silence et la honte de leur passé, elles savent qu’il ne leur reste que peu de temps pour témoigner des faits réels et faire en sorte que cette horrible page d’histoire marque les mémoires. Qu’elles cherchent à obtenir des excuses officielles du gouvernement japonais, ou à rassembler le courage nécessaire pour finalement partager leur secret avec leurs proches, c’est leur détermination qui pousse ces femmes à saisir cette dernière occasion de mener les générations futures sur la voie de la réconciliation, de la guérison et de la justice.
Synopsis long
Avant qu’il ne soit trop tard … suit la trajectoire personnelle de trois « femmes de réconfort » qui figuraient parmi les quelque 200 000 adolescentes et jeunes adultes que l’armée japonaise impériale a enlevées et forcées à l’esclavage sexuel durant la Deuxième Guerre mondiale. Plus de soixante-dix ans après leur emprisonnement dans ces prétendus « centres de délassement », les trois aïeules à la santé chancelante – grand-mère Gil en Corée du Sud, grand-mère Cao en Chine et grand-mère Adela aux Philippines – en sont au crépuscule de leur vie. Murées depuis des décennies dans le silence et la honte de leur passé, elles savent qu’il ne leur reste que peu de temps pour témoigner des faits réels et faire en sorte que cette horrible page d’histoire marque les mémoires.
Petit à petit, le film lève le voile sur ce passé, révélant les combats qui les ont façonnées et qui pèsent encore sur leur vie. Des scènes de la vie quotidienne de ces femmes, leurs échanges remplis d’affection avec les êtres chers laissent entrevoir qu’elles ont su poursuivre leur chemin malgré ces traumatisantes expériences. En filigrane nous apparaissent les nombreux choix qu’ont dû faire ces grand-mères au fil des ans – et qu’elles font toujours – en tant que survivantes. Une triste évidence s’impose : le passé demeure et s’ajoutera aux difficultés auxquelles se heurteront les héritiers de ce sordide patrimoine.
Gil Won-Ok, ou « grand-mère Gil », comme l’appellent affectueusement les membres d’un réseau de militants solidement implanté, a participé pendant des années aux manifestations hebdomadaires tenues devant l’ambassade japonaise à Séoul. Malgré son âge et sa santé vacillante, grand-mère Gil demeure une porte-parole de premier plan du mouvement qui réclame des excuses officielles au gouvernement japonais. Les épuisants voyages qu’elle effectue finissent par la mener jusqu’à la vénérable enceinte du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, à Genève, où elle présente une pétition de plus d’un million de signatures au nom de ses camarades survivantes.
Grand-mère Cao habite un village éloigné de la Chine rurale entouré de montagnes. Parmi les patriarches du lieu, le triste sort réservé aux centaines de filles de la région victimes de l’enlèvement est depuis longtemps un secret de polichinelle. Fière de son indépendance, grand-mère Cao insiste pour vivre seule malgré les protestations de sa fille, laquelle ignore tout de cette épreuve. Ce n’est que lorsqu’un historien lui demande d’en témoigner que grand-mère Cao consent à rompre le silence stoïquement gardé à propos de son pénible passé.
À Roxas City, grand-mère Adela parvient à trouver un réconfort, de la camaraderie et un sentiment de liberté auprès d’un groupe de soutien formé d’autres survivantes. Après la guerre, elle a connu l’amour, mais a soigneusement caché son passé à son mari. Devenue veuve, rongée par la culpabilité de ne pas lui avoir révélé son secret, elle décide de le confier à ses enfants en se demandant si le fait de s’en libérer après toutes ces années compensera ce choix d’avoir dissimulé la vérité à l’amour de sa vie.
Qu’elles cherchent à obtenir des excuses officielles du gouvernement japonais ou à rassembler le courage nécessaire pour finalement partager leur secret avec leurs proches, c’est leur détermination qui pousse ces femmes à saisir cette dernière occasion de mener les générations futures sur la voie de la réconciliation, de la guérison et de la justice.
Document d’information
La Guerre Asie-Pacifique, comme la désignent maintenant les historiens, commence le 18 septembre 1931 lorsque l’armée impériale japonaise envahit le nord-est de la Chine. Cette attaque marque le début de l’expansionnisme japonais en Chine ainsi que dans le reste de l’Asie orientale et du Sud-Est, dans le but d’acquérir de nouvelles ressources. Les historiens et les chercheurs des Nations-Unies estiment que durant cette guerre, qui prend fin en 1945 lorsque les États-Unis larguent deux bombes atomiques sur le Japon, 200 000 à 400 000 femmes et jeunes filles ont été contraintes à se prostituer dans des bordels improvisés ou officiels protégés, supervisés et régis par l’armée nippone. Recrutées par le biais d’offres d’emploi trompeuses, kidnappées, vendues par leur famille ou leur employeur, ces femmes ont été réduites à l’esclavage sexuel dans des maisons closes désignées sous l’euphémisme de « centres de délassement » pour militaires. Un petit nombre de Japonaises ont aussi été recrutées, mais la majorité des « femmes de réconfort », dont l’âge variait de 11 à 33 ans, venaient de colonies comme la Corée et Taïwan, ou de pays nouvellement occupés ou envahis, notamment la Chine, les Philippines et l’Indonésie, où progressait l’armée japonaise. Les victimes ont été affectées dans des bordels locaux ou transportées dans des « centres de délassement » à l’étranger, où elles ont été retenues captives parfois jusqu’à quatre ans.
Bien que l’expérience de chacune des victimes soit unique, des éléments communs se dégagent des témoignages des survivantes et des comptes rendus de témoins oculaires. Les victimes étaient détenues contre leur gré et étaient exécutées quand elles tentaient de s’enfuir. Elles étaient violées jusqu’à 30 fois par jour — sans égard aux menstruations, à la grossesse et aux maladies — et soumises régulièrement à d’autres formes de maltraitance physique et psychologique, ainsi qu’à la torture. On leur injectait des substances chimiques toxiques pour traiter les MTS, et on les forçait à subir des hystérectomies et des avortements. Du fait de ces atroces conditions, les experts du système des droits de la personne de l’ONU en sont venus à parler de système d’esclavage sexuel de masse mis en place par les militaires.
Selon les historiens, seulement un tiers de ces esclaves sexuelles ont survécu. Bon nombre sont mortes dans les « centres de délassement »; d’autres ont été tuées dans les bombardements ou assassinées par les soldats japonais à la fin de la guerre. Lors de la reddition du Japon, en 1945, certaines survivantes ont réussi à s’échapper, mais la plupart ont dit qu’elles avaient été abandonnées à elles-mêmes. Sans ressources et souffrant de traumatismes physiques et psychologiques, elles sont retournées dans leur pays d’origine ou sont restées sur place et ont entamé une nouvelle vie dans des cultures qui leur étaient étrangères. Paralysées par la honte et la peur de la stigmatisation, ces survivantes ont pour la plupart gardé le silence sur ce qu’elles ont vécu, d’autant qu’elles n’ont reçu aucun soutien de la part des Forces alliées. En effet, les Alliés, dont l’armée américaine qui gérait l’occupation des territoires japonais, étaient au courant du système d’esclavage sexuel mis en place par l’armée nippone (comme en témoignent des rapports d’enquête, des observateurs et des recherches historiques), mais ont passé ces événements sous silence au lieu de les dénoncer comme crimes de guerre, laissant les survivantes affronter seules les répercussions des sévices endurés.
Il faudra attendre quelque 46 années pour que le silence soit enfin brisé. Vers la fin des années 1980, des organisations féminines de la Corée du Sud prennent connaissance de l’existence de ces « femmes de réconfort » et commencent à interpeler les fonctionnaires japonais, lesquels nient fermement toute implication du Japon impérial dans un tel système. Puis en 1991, grâce au soutien de ces organisations, Kim Hak-soon est la première femme à témoigner publiquement de son expérience en tant que « femme de réconfort ». À la suite de ses révélations, d’autres survivantes de la Corée du Sud et d’ailleurs se manifestent. Des organisations sont constituées pour les soutenir et un mouvement international réclamant justice et réparations pour ces femmes voit le jour. Ces mouvements portent les causes des victimes devant les tribunaux, font pression sur les gouvernements et les Nations Unies et organisent devant l’ambassade du Japon à Séoul des manifestations hebdomadaires qui se tiennent depuis janvier 1992. Échelonnées sur plus de 20 ans, ces campagnes ont généré un important soutien politique et civil à l’échelle du globe. Des résolutions officielles ont été adoptées par les gouvernements des États-Unis, du Canada, des Pays-Bas, du Parlement européen, de la Corée du Sud, des Philippines et de Taïwan, de même que par les Nations-Unies.
Après avoir mis en doute la validité des témoignages pendant de longues années, le gouvernement a présenté des excuses aux victimes pour les souffrances endurées. Mais les survivantes et leurs partisans considèrent que ces excuses ne sont pas complètes, puisque le gouvernement ne reconnaît pas sa responsabilité pour les atrocités commises. Le Japon a aussi tenté d’instaurer des mécanismes de compensation financière que la majorité des survivantes ont rejetée pour des raisons similaires.
Récemment, soit le 28 décembre 2015, les gouvernements japonais et coréen ont conclu une entente finale et irréversible à propos des « femmes de réconfort ». Toutefois, beaucoup de survivantes ont rejeté l’entente parce qu’elles n’ont pas été consultées sur les modalités qui, jugent-elles, sont inacceptables. Au lieu de régler la question, l’entente négociée par les gouvernements ne fait qu’alimenter le combat des survivantes vieillissantes qui réclament des excuses officielles et des réparations depuis 25 ans.
Lectures complémentaires (English Language)
Ressources Web
Amnesty International Australia’s Justice for “Comfort Women” Campaign
http://www.amnesty.org.au/comfort
South Korean Ministry of Gender Equality and Family’s E-Museum for Japanese Military Sexual Slavery
http://actionforpeace.net
Website for the Korean Council for the Women Drafted for Military Sexual Slavery by Japan
https://www.womenandwar.net
Website for the House of Sharing, South Korea
https://www.houseofsharing.org
Women’s Active Museum on War and Peace, Japan
http://wam-peace.org/en/
Books
Henson, M.R. (1999). Comfort Women: A Filipina’s story of prostitution and slavery under the Japanese military. Maryland: Rowman & Littlefield Publishers.
Kim-Gibson, D.S. (1999). Silence Broken: Korean comfort women. Parkersburg, Iowa: Mid-Prairie Books.
Korean Council for Women Drafted for Military Sexual Slavery by Japan (1995). True Stories of the Korean Comfort Women: Testimonies. London: Cassell.
Qui, P. (2013). Chinese Comfort Women: Testimonies from Imperial Japan’s sex slaves. Vancouver: UBC Press.
Ruff-O’Herne, J. (2008). Fifty Years of Silence. North Sydney, N.S.W.: William Heinemann.
Yoshimi, Y. (2000). Comfort Women: Sexual slavery in the Japanese military during World War II. New York: Columbia University Press.
Reports
Coomaraswamy, R. (1996). Report on the mission to Democratic People’s Republic of Korea, the Republic of Korea and Japan on the issue of military sexual slavery in wartime. UN Doc.E/cn.4/1996/53/Add.1.
https://politicsoftrauma.files.wordpress.com/2012/10/coomaraswamy-un-report1.pdf
Korean Council for Women Drafted for Military Sexual Slavery by Japan (2009). A shadow report on the UN Convention on the Elimination of all Forms of Discrimination against Women, 44th session. Japan’s violation of the convention and responsibility regarding the “comfort women” issue.
http://www2.ohchr.org/english/bodies/cedaw/docs/ngos/ComfortWomen_Japan_cedaw44.pdf
McDougall, G. (1998). Contemporary forms of slavery: systemic rape, sexual slavery, and slavery-like practices during armed conflict. Final report. Appendix: An analysis of the legal liability of the government of Japan for “comfort women stations” established during the Second World War. UN Doc.E/CN.4/Sub.2/1998.
https://www1.umn.edu/humanrts/demo/ContemporaryformsofSlavery_McDougall.pdf
Taiwan Women’s Forum (1993). A report on Taiwanese comfort women.
http://newcongress.yam.org.tw/women/comfw.html
Women’s International War Crimes Tribunal 2000 for the Trial of Japanese Military Sexual Slavery (2000). Summary of findings.
http://home.att.ne.jp/star/tribunal/
Resolutions and Statements
Canadian House of Commons, Motion 291
http://www.parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?DocId=3151109&Language=E&Mode=1&Parl=39&Ses=2#OOB-2228066
European Parliament Joint Resolution
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?type=MOTION&reference=P6-RC-2007-0525&language=EN
Philippines House Committee on Gender Equality, House Resolution 124
http://news.abs-cbn.com/nation/metro-manila/03/11/08/house-committee-backs-bill-japan-apology-comfort-women
South Korea, Views Summary
http://archive.alpha-canada.org/learn/DPRK.htm
United States House of Representatives, House Resolution 121
https://www.congress.gov/bill/110th-congress/house-resolution/121
UN Resolutions: E/CN.4/SUB.2/RES/2000/13; E/CN.4/Sub.2/1995/38; E/CN.4/1996/53/Add.1
Bande-annonce
Matériel promotionnel
Images
Équipe
Générique
Écrit et réalisé par
Tiffany Hsiung
Productrice / Productrice exécutive
Anita Lee
Producteurs associés
Chris Kang
Deann Borshay Liem
Direction de la photographie
Tiffany Hsiung
Montage
Mary Stephen
Musique originale
Lesley Barber
Conception sonore
Daniel Pellerin
Développé en association avec Alpha Education
Développé en association avec Schools Without Borders
et Mu Films
Idée originale de Golden Nugget Productions
Mettant en vedette
Gil Won-Ok, Grand-mère Gil
Adela Reyes Barroquillo, Grand-mère Adela
Cao Hei Mao, Grand-mère Cao
Avec la participation de
Zhang Shuang Bing
Meehyang Yoon
Montage additionnel
Roslyn Kalloo
Assistantes au montage image
Tiffany Beaudin
Xi Feng
Images additionnelles
Jason Lee Wong
Mark Valino
Chris Kang
Kwoi Gin
Iris Ng
Brandon Relucio
Jong Youl Lee
San Woo
Chefs scénaristes
Anita Lee
Deann Borshay Liem
PRODUCTION
Superviseur de production
Mark Wilson
Administration
Josiah Rothenberg
Stefanie Brantner
Directeur de production
Chris Kang
Coordination de la production
Stefanie Brantner
Jennifer Bertling
Coordonnateur technique
Marcus Matyas
Coordonnatrice de la post-production
Jacqueline Tam
Aide technique
Andrew Martin-Smith
Zoya Rezaie
Recherchistes
Angela Lytle
Jenny Chan
Ruina Bao
Assistants de production
Dana Nyberg
Marisa Mito
Nicholas Liem
Emily Yuan Wang
Ruina Bao
Iyeon Kim
Équipe en Chine|
Mandarin Film
Coordonnateur en chef
Patrick Carr
Prise de son
Ma Jie
Allie Haynes
Coordination de la production
Rayisa Kondracki
Assistants de production
Matias Wang
Martine Marras
Jennifer Hsiung
Jing Niu
Sunny Yao
Transport
Li Jie Xie
Assistante de production
Jing Xian Kong
Traductrices
Carrie Zhang
Yujing Tian
Équipe en Corée du Sud
Steadicam
Lee Sang Yun
Prise de son
Uni Park
Jong Suk [LJ] Lee
Jason Milligan
Assistante de production
Juann Stella Choe
Coordination de la production
Rayisa Kondracki
Jong Suk [LJ] Lee
Assistant de production
Jude Lee
Équipe aux Philippines
Prise de son
Jason Milligan
Coordination de la production
Rayisa Kondracki
Assistante de production
Jennifer Sazon
Montage échantillonnage
Vivien Hillgrove
Montage du matériel supplémentaire
Gloria Tong
Recherchiste en audiovisuel
Elizabeth Klinck
Traductions
Coréen-anglais
Hee Kyong Kim (Helen Lee)
Juann Stella Choe
Jungyeon Heo
Janet Son
Heidi Kim
Michelle Lee
Yeji Park
Claire Yoon Jung
Young Joo Lee
Yoon Ko
Iyeon Kim
Judy Cho
Chinois-anglais
Wendy Tan
Yujing Tian
Raymond Siu
Bisaya-anglais
Shahrzad Nakhai
Marilyn Hidalgo
Haniely Pabelo
Japonais-anglais
Ivy Yukiko Ishihara Oldford
Yusuke Tanaka
Benton Nilson
Sous-titrage français
Zoé Major
Linda Lagroix
Montage en ligne
Yannick Carrier
Mixage
Serge Boivin
Juan Vialard
Conception sonore / Supervision du montage
Daniel Pellerin
Conception sonore originale
James Mark Stewart
Conception sonore et montage additionnel
Bret Killoran
Montage des dialogues et des sons synchros
Rob Hutchins
Montage des effets sonores
Geoff Raffan
Bruitage
John Sievert
Enregistrement du bruitage
Ron Mellegers
Assistant au bruitage
Jason Charbonneau
Montage de la musique
Jakob Thiesen
Transcriptions
Christopher Warren
Conception titres et générique
Ryan Paterson
Avocat
Christian Pitchen
Mise en marché
Melissa Wheeler
Relationniste
Jennifer Mair
Séquences d’archives et photos utilisées avec l’aimable autorisation de
Arirang TV
Alpha Education
Dr Joseph Wong
Flora Chong
Judy Cho
Nous remercions tout particulièrement
Programme Mille Gestes d’Aéroplan
Center for Asian American Media (CAAM)
Chicken and Egg Pictures
Don and Lore Rasmussen Fund of The Tides Foundation
Conseil coréen pour les femmes mobilisées pour l’esclavage sexuel militaire par le Japon
Mu Films
Rasch Foundation
Taipei Women’s Rescue Foundation
The Lola Kampaneras
United Methodist Women
Frantic Films
Ce film est dédié à
Adela Reyes Barroquillo
Grand-mère Chien Tan Chi-ing
Relations de presse
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